Christine de Pisan

Christine de Pisan

mercredi 28 octobre 2009

Cantal : une pub de mauvais goût et dangereuse … mais pourquoi les féministes ne font elles pas « tout un fromage » du coran et voile ?



La publicité pour le Cantal, rappelle à toute personne connaissant la violence conjugale, l’attitude des hommes qui commencent ce processus par des reproches disproportionnés et des humiliations envers leur femme, pour des faits mineurs de la vie quotidienne. La violence physique commence par des violences morales, par des « scandales » fait par le mari qui s’ « outrage » parce que son épouse n’a pas respecté le moindre de ses désirs, commençant ainsi à humilier, menacer, punir, à se conduire en tyran ...

C’est donc à juste titre que les Chiennes de Garde protestent contre la diffusion de ces clips montrant un homme qui humilie publiquement une femme ou l’abandonne en rase campagne, pour un bout de fromage. Il est bien dommage pour le cantal que ses promoteurs fassent une publicité … de si mauvais goût.

Mais « diable », s’il y a bien ici de quoi « faire un fromage », pourquoi ne voit on pas les féministes européennes, à part quelques unes comme la Ligue du droit des femmes, ou Naibed, ou quelques autres, s’insurger contre les textes autrement outrageants et directement violents du coran et de la sunna, et contre leurs femmes et hommes-sandwichs qui en font la promotion en portant barbe et voile ?

En effet le coran contient la prescription, sensée être la voix même de Dieu, de frapper les femmes désobéissantes, et celle « d’aller à sa femme comme à son labour », qui signifie selon les indications de la sunna, qu’un homme a le droit d’imposer à sa femme une relation sexuelle dans une position humiliante, quant à la sunna elle indique que Mahomet a permis l’excision.

Plus généralement, la loi islamique promeut des institutions basées sur l’inégalité en droit et en dignité des musulmans et des non musulmans, le massacre des non musulmans ( soit qu’ils soient athées ou polythéistes ou juifs, soit qu’ils se révoltent contre leur statut discriminatoire), et la lutte par les armes ou tout autre moyen pour imposer la domination des musulmans sur le monde entier.
Pas de quoi « faire un fromage » sans doute, aux yeux de la plupart des féministes d’aujourd’hui …

Le C.E.R.F.
25-10-2009
http://www.oublier-le-cantal-c-fatal.com/index.html
http://www.lameute.fr/agir/cantal.php3

mardi 14 avril 2009

Soutenir l'Université de Toulouse III contre les militants de l'islam et les féministes collaborationnistes

Soutenir l'Université de Toulouse III contre les militants de l'islam et les féministes collaborationnistes

J'apprends qu'une liste d'universitaires féministes, fait passer sans protestation aucune, une pétition en faveur d'une étudiante universitaire licenciée de son poste pour port du voile.

Je soutiens la décision de son université, l’Université Toulouse III dont une commission disciplinaire aurait "licencié une doctorante pour faute professionnelle sans préavis ni indemnité, sans convocation préalable, en l'accusant d'avoir troublé l'ordre public et porté atteinte à la liberté de conscience de ses collègues" selon les défendeurs de cette étudiante.

Soutenir les manifestations de l'islam militant comme le port du voile, l'islam qui soutient l'application du droit islamique, lequel prévoit que les femmes doivent être soumises aux hommes et frappées en cas de "désobéissance" (coran 4/34) et que les musulmans doivent combattre les non musulmans jusqu'à les soumettre (coran chapitre 9 etc), relève de la trahison au bénéfice d'une idéologie impérialiste, génocidaire et sexiste.
Ceux et celles qui le font sont soit imbéciles soit vendues, collabos de fait ou conscientes.

J'appelle à soutenir l'université de Toulouse III !
Si vous, internautes, voulez réagir, écrivez moi et je ferai apparaitre vos messages de soutien sur ce blog.

elisseievna@gmail.com
http://elisseievna.blogspot.com

Pour plus d'explication sur le droit musulman, la "guerre sainte" et le voile dans cette guerre :
http://elisseievna.blogspot.com/2008/10/droit-musuman-voile-et-jihad-judiciaire.html

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(PS : le texte de soutien a l'etudiante est ici : http://www.soutien-sabrina.org/phpPetitions/index.php?petition=2)

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Premieres signatures de l'appel en faveur de l'université de Toulouse III
2009/4/14 bonjour!
je suis bien sûre, tout à fait d'accord pour signer cette pétition
bonne journée
Philiberte

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Le 14 avril 2009:
Bonjour Elisseievna,
J’apporte mon soutien total à la décision prise par l’Université de ne pas accepter qu’une enseignante porte en cours un symbole de l’oppression de la femme et de la volonté d’imposer une idéologie déclarant que les hommes ne sont pas égaux. Nadia

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Le 14 avril 2009 09
Bien évidemment, je soutiens la décision de l'Université de Tolouse III. Il n'est pas admissible qu'un enseignant, fût-il en université, fasse du proslytisme religieux et porte une marque de discrimination sexuelle.
Christine Tasin
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Le 14 avril 2009 14:57,
Je soutiens avec les vraies femmes qui n'ont pas honte de l'être, la
décision de l'université de Toulouse de ne pas accepter une femme qui se
cache sous des chiffons.
Maud Tabachnik, écrivaine.
PS. À quand la même tolérance pour les non musulmanes dans les les pays qui
le sont ?
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Mardi, 14 Avril 2009
Je soutiens sans aucune réserve l'université de Toulouse III
dans ce licenciement. Ce n'est pas à la France de s'adapter
à l'islam mais à l'islam de s'adapter à la France.
Robert Redeker
www.robertredeker.fr

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Bravo ! Je suis scandalisée par cette situation et soutiens totalement l’Université !
Annie Sugier
Présidente de la Ligue du Droit International des Femmes

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JE soutiens l’Université de Toulouse III, qui a appliqué la loi de la République laique en licenciant une étudiante voilée. Le port du voile, symbole de l’apartheid des femmes, porte atteinte gravement à l’égalité des sexes et à la laïcité, fondement de la République.
Anne Zelensky, présidente de la Ligue du droit des femmes, co fondé avec Simone de Beauvoir en 1974.

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Le 14 avril 2009
Chère Elisseievna,
Bien sûr je soutiens l'université dont rien ne dit d'ailleurs qu'il soit vrai qu'elle ait licencié cette personne en raison du port du voile.

Le voile est une protection contre le viol. Une femme non voilée peut être violée sans fautre du violeur, selon la chariah. Donc le voile islamique est agressif à l'encontre des femmes non voilées. Comme langage antisocial, il doit être interdit.
Respectueusement.
Denis Merlin
http://denismerlin.blogspot.com/

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Je soutiens la décision de l’Université Toulouse III d’avoir licencié une étudiante universitaire en raison de son prosélytisme musulman mis en évidence par le port du voile islamique troublant ainsi l’ordre laïque républicain et portant atteinte à la liberté de conscience de ses collègues.
Le voile musulman est loin d’être un simple morceau de tissu que les femmes musulmanes portent sur la tête, c’est « un code de vie » qui induit les autres règles de l’islam : la polygamie, la supériorité de l’homme sur la femme, l’inégalité devant la succession entre les hommes et les femmes, la femme en l’islam ne valant que la moitié d’un homme. Le voile est là pour interdire ce que les oulémas appellent le « nudisme » qui concerne principalement les femmes car elles sont réputées être les instruments de Satan en voulant séduire les hommes par l’exposition de leurs appâts. Les musulmans entendent par « nudisme » l’exposition publique des chevelures, bras, jambes, poitrines, cous ou oreilles des femmes ! Le voile n’étant obligatoire qu’à partir du moment où une jeune fille a ses règles, le voile indique qu’elle est prête à être mariée, puisqu’elle est en âge d’avoir des enfants. Le voile la place ainsi sur le marché matrimonial musulman ; voile qui indique aux non-musulmans que ces femmes leur sont interdites puisque l’islam interdit à une musulmane de se marier avec un non-musulman.
Le voile est donc un signe d’auto-discrimination.
Par ces considérations, le voile islamique est incompatible avec les principes républicains d’égalité entre les hommes et les femmes, il est par conséquent tout à fait logique que les institutions issues de cette République l’interdisent.

Louis CHAGNON
Historien

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Je vous soutiens du fond du coeur !

Les entorchonnées n'ont pas leur place à l'Université en France. Qu'elles aillent doctorer à Alger, à Téhéran ou à...Kaboul ! Elles verront bien comment elles seront acceptées.

Tout ce qui peut barrer la route à l'Islam et à l'expression de l'Islam est bon.
A 80 ans, je peux comparer ce qu'est l'invasion des barbus et des barbares aujourd'hui à ce que fut l'invasion des hordes fascistes : le danger est cent fois plus grand parce que plus sournois.

Il faut écraser ces fanatiques de la charia, du sang et de la mort avant qu'ils ne nous tuent. Leur sale guerre commence par le torchon-voile de leurs femmes et se terminera par le linceul de nos enfants si l'on n'y prend garde.

L'Islam est la plus grande calamité de tous les temps. Le tolérer est déjà une grande faute. Le combattre est un devoir absolu qui ne nécessite même pas un instant de réflexion.
L'Islam, c'est la mort. "Il est des morts qu'il faut qu'on tue" (Fernand Desnoyers).

Bernard, 80 ans, agnostique.

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Nouvelles signatures en soutien à l'Université de Toulouse
Mon soutien inconditionnel a l'universite de Toulouse III pour ce geste citoyen. Il est grand temps que nous nous mobilisions pour arreter toute derive sexiste; il est grand temps que nous reagissions pour preserver notre style de vie. NON au modele musulman, non a l'envahissement de la France; defendons nos acquis, nos coutumes, tout ce qui fait de nous des francais! Luttons contre ceux qui osent proclamer: France, terre d'islam! Non aux phobies musulmanes ! Honte aux feministes qui soutiennent cette femme, meme si cette femme est victime de pressions de la part de sa communaute, les feministes devraient mesurer l'importance et le bien fonde de la decision de l'universite de Toulouse, qui est pour notre bien a tous, a toutes!
Françoise

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Je soutiens bien évidemment l'université de Toulouse !
Talila
www.talila.net

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J'apporte mon soutien à l'université de Toulouse III.
Ces femmes soumises font le bonheur des extrémistes musulmans, ils s'en servent comme un outil pour mieux assoir le pouvoir des hommes sur les femmes et faire de la discrimination sociale. Elles ne savent pas ce qu'elles font, ou ne peuvent pas faire autrement de peur de représailles, et il est bon de décider pou elles dès l'instant où il faut défendre la laïcité et l'égalité des sexes. Il n'est pas si loin le temps où les femmes catholiques étaient sensiblement traitées de la même manière (séparation des hommes et des femmes dans les églises comme dans les mosquées, port d'une coiffe pour les femmes comme pour le voile), en fait dans toutes les religions la femme est impure, satanique au sens où elle aguiche les hommes par ses atours féminins et n'a pas droit au plaisir (la femme est là pour être fécondée pas pour jouir de l'acte de fécondation).
Ce que les femmes françaises ont obtenu dans les changements sociaux et religieux pourquoi ne pas l'obtenir pour la femme musulmane?
En fait cette soumission, souvent forcée, de la femme musulmane au travers du port du voile va plus loin qu'un système coercitif à son encontre, elle est une façon d'imposer la volonté musulmane à tous les peuples non musulmans.
De plus il n'y a aucune raison d'accepter cela dans le système laïque, l'un des principes républicain.
Cette enseignante était sans doute mariée selon les méthodes musulmanes (qui étaient encore en vigueur chez nous il n'y a pas si longtemps) et je suppose que son souteneur de mari (sans doute polygame) aura grise mine d'apprendre que les ressources financières de sa femme (qui souvent étaient ses seuls revenus) ont été supprimées. Cela aura bien sûr des conséquences fâcheuses voire dramatiques, on peut craindre pour la femme (femmes musulmanes souvent battues ou répudiées puisque la religion le permet voire l'encourage). C'est la conséquence négative de cette décision mais il faut la maintenir et en passer par là pour sauver la femme musulmane de l'oppression des hommes et réduire le pouvoir des souteneurs déguisés.
Pitou

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Bonjour,
Bravo pour votre action de soutien à l'indépendance de l'université et à la défense de la laïcité menacée au nom de la perversion de la grande idée de démocratie et de liberté de conscience. Je me sens méprisée et insultée chaque fois que je croise une voilée.
On ne le sait que trop, les Musulmans ont l'art de retourner les situations à leur avantage. On n'accepte pas la charia, on est intolérante. On se sent insultée par le voile, on est raciste. On se révolte contre une main aux fesses, on est une pute. On refuse l'introduction de la religion musulmane dans les espaces publics, on n'a rien compris à la laïcité, on s'oppose au financement des mosquées par les fonds publics, on refuse d'assumer le paiement de notre dette coloniale, etc.
Ne nous laissons pas culpabiliser par cette rhétorique perverse et assumons haut et fort notre indépendance et notre liberté de penser sans nous soucier de la volonté perfide de nous destabiliser en nous accusant de racisme, de lepénisme, de villiérisme, de d'extreme-droitisme et de tous ces gros mots avec lesquels notre lutte et notre défense de la dignité des femmes, de la laïcité et de la liberté n'ont rien à voir.
Alice Braitberg
Féministe historique, athée, citoyenne du monde vigilante, électrone très libre et amie de Riposte laïque
http://fr.blog.360.yahoo.com/blog-QnEH6bQ5fqdUnjwwQpY-?cq=1

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Je soutiens également, sans réserve, la décision de l'Université de Toulouse III.
Le port du voile n'est pas seulement une forme de mépris inadmissible envers les femmes libres de nos pays occidentaux, c'est aussi un acte de racisme envers les non-musulmans, hommes et femmes, en ce qu'il tend à dénier leur droits individuels, et faire fi des lois et des valeurs démocratiques de nos pays auxquels les musulmans doivent se plier, et non tenter d'imposer leur idéologie sectaire.
Naibed

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Oui, j'ai été choquée par cet appel sur la liste etudes feministes et surtout de l'absence de réaction;
J'essaie pour ma part de respecter et de faire respecter la laïcité qui est un fondement la vie en société garantie de respect mutuel.
C'est avec vigueur que je soutiens l'appel à soutenir la décision de l'université d'exiger l'enlèvement de tout insigne ostentatoire religieux, et en particulier néfaste pour les droits des femmes.
Claire.

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Je soutiens l'Université de Toulouse dans sa lutte contre la nouvelle offensive du voile.
Nous avons déjà cédé au-delà de ce qui est raisonnable ; si nous cédons aujourd'hui sur le voile, nous céderons demain aux exigences de tribunaux régis par la charia, et bientôt nous devrons porter le voile, nous aussi, pourquoi pas, pour "ne pas les offenser" ?
Pourquoi devrions-nous être tolérants envers une religion qui ne l'est pas avec les autres et n'a qu'un but, dominer le monde, si l'on en croit les déclarations de ses propres adeptes ?
Lisez Les Dessous du Voile, ouvrage collectif édité par Riposte Laïque (disponible chez amazon.fr)
myriam baudrillard

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http://annawatch.blogs.nouvelobs.com/archive/2009/04/15/soutenir-l-universite-de-toulouse-iii.html

Moi aussi je soutiens la décision de l'université de Toulouse. Ces universitaires prétendument féministes qui soutiennent l'étudiante voilée ne savent visiblement plus ce qu'est le féminisme ou alors c'est qu'ils n'ont pas compris ce que représentait le port du voile pour les droits de la femme. Pour des universitaires une telle méconnaissance est très grave !
Ecrit par : Marthe | 16.04.2009

mardi 13 janvier 2009

Action Urgente Pakistan : écolières menacées

p/o Réseau Féministe « Ruptures »
38 Rue Polonceau
75018 PARIS
Tél : 01 42 23 78 15
Courriel : monique.dental@orange.fr

Le 12 Janvier 2009.
Lettre recommandée avec AR
Madame Asma ANISA
Ambassadeur du Pakistan
18 Rue Lord Byron
75008 - PARIS


Objet : Menaces de mort par un groupe « talibans »
sur des fillettes scolarisées de la Vallée de Swat (Pakistan)


Madame l’Ambassadeur,

Vous n’êtes pas sans savoir que des menaces de mort ont été publiquement proférées par M. Shah Durran, chef religieux local, lié au « mouvement des talibans pakistanais », dans la région de Swat, à l’encontre des filles et fillettes qui braveraient son « interdiction » de se rendre à l’école pour y recevoir l’éducation due à tous les enfants des pays du monde. Il a également menacé de faire exploser les établissements scolaires de ce district s’ils continuaient à accueillir et à dispenser leur enseignement à des fillettes et des jeunes filles (*).

Cet ultimatum criminel, fixé au 15 janvier 2009, nous amène à poser de toute urgence diverses questions au gouvernement pakistanais que vous représentez en France :

Quelles dispositions le gouvernement pakistanais a-t-il mis en place afin de combattre cette intolérance - hors du temps, de la justice et de la raison - excluant la moitié d’une population - sa part féminine - du droit à l’éducation et à la connaissance, ce en violation des Conventions internationales sur les droits humains fondamentaux (le Pakistan est en particulier signataire de la Convention CEDAW**) et des Conventions internationales sur les Droits de l’Enfant ?

Quelles sont les mesures prises par le gouvernement pakistanais pour rechercher et mettre hors d’état de nuire ces criminels de droit commun dont nous connaissons jusque dans nos contrées le nom du « chef » et la localisation qui ont (par une impunité très inquiétante) encore franchi un palier dans leur emprise sur une région de votre pays, en terrorisant des familles vivant au Pakistan et en menaçant de mort leurs filles si celles-ci (ou leurs familles) souhaitaient poursuivre leur scolarisation ?

A ce propos, nous souhaitons connaître le déploiement policier mis en œuvre dans votre pays après la destruction par cette bande organisée de plus de 250 écoles (ce qui n’a pas dû se faire en quelques jours) dans cette région pakistanaise ?

Enfin, pourriez-vous nous décrire précisément les moyens déployés par le gouvernement pakistanais pour protéger ces enfants mortellement menacées ?
Le temps presse, Madame l’Ambassadeur. Dès ce 15 janvier 2009, ces dangereux individus peuvent mettre leurs menaces à exécution : agresser et tuer des fillettes de votre pays.

Nous, femmes et organisations féministes, signataires de cette lettre, exigeons de votre Ambassade une réponse rapide et détaillée sur les mesures de coercition mises en place par votre pays à l’encontre de ces lâches criminels et sur les dispositifs de protection des familles et des enfants en danger.

Vigilantes aux côtés des organisations nationales, européennes, onusiennes et internationales, préoccupées comme nous, du sort de ces fillettes et de leurs familles, nous sommes soucieuses du respect des droits humains fondamentaux et de la sécurité des personnes quels que soient leur genre, leur pays ou leurs croyances ; nous attendons vos précisions.

Et dans cette attente, recevez, Madame l’Ambassadeur, nos salutations particulièrement distinguées.


Personnes contacts :
Monique Dental Tél : 01 42 23 78 15
Doucha Belgrave Tél : 01 43 38 58 17


Premières associations signataires (par ordre alphabétique) :
AFEMCI (Femmes Euro-méditerranéennes contre les Intégrismes) ; Africa 93, CADAC (Coordination Nationale des Associations pour le Droit à l’Avortement et à la Contraception) ; CNDF (Collectif National pour les Droits des Femmes) ; Collectif de Pratiques et de Réflexions Féministes « Ruptures » ; FEM (Féministes-Ecologistes-Mixité) ; Femmes Solidaires ; IFE-EFI (Initiative Féministe pour une Autre Europe) ; LEA (Laïcité-Ecologie-Association) ; Les Insoumises ; Ligue du Droit des Femmes (Association fondée par Simone de Beauvoir) ; Regards de Femmes ; Réseau Féministe « Ruptures », C.E.R.F. …

Première personnalités signataires (par ordre alphabétique) :
Francine Bavay, Vice-présidente du Conseil Régional Ile-de-France ; Chahla Chafik, Sociologue-écrivaine ; François Chouquet, Professeur de Philosophie Université Paris 7-Denis Diderot ; Xavière Gauthier, philosophe-chercheur CNRS, écrivaine ; Michèle Loup Conseillère régionale Ile-de-France ; Yvette Tréhin, adjointe au Maire, en charge du droit des Femmes, Athis-Mons (91) ; Anne Zelensky, historienne-écrivaine …