18 décembre 2010 à Paris
Christine de Pisan
dimanche 19 décembre 2010
vendredi 10 décembre 2010
jeudi 4 novembre 2010
Un jeune matraque "gratuitement" une femme d'âge mûr
Une femme d'âge mur, "blanche", est matraquée sur la tête par un jeune "noir" lors du pillage par une bande de jeunes d'un tabac à Lyon lors des manifestations contre la réforme des retraites.
Comment un jeune garçon peut il, au lieu d'avoir appris :
- qu'un garçon ne frappe pas une fille
- qu'un jeune doit aider les personnes âgées,
en arriver à agir en frappant une femme plus âgée ?
Doit on croire que le fait qu'elle soit française et lui d'origine africaine, suffit à ses yeux à justifier son geste ? Voici la vidéo, dont la mise en scène finale est sans doute criticable ( la musique de la série "les Envahisseurs", rappellant l'idée de gens hostiles et non reconnaissable, rappelle de façon odieuse la propagande anti-juive d'avant guerre, qui mettait l'accent sur le fait que les juifs étaient un risque parce qu'on ne les distinguait pas facilement des autres dans la population, il rappelle aussi bien plus anciennement, le signe distinctif que le code d'omar obligeait les juifs à porter ...), mais qui a l'utilité de montrer la scène au ralenti, et par là de montrer l'aspect absolument volontaire, ciblé et extrêmement violent de ce geste, qui peut provoquer une hémoragie mortelle.
Le commentaire de Riposte laique est tout à fait pertinent : http://www.ripostelaique.com/ "Cette montée de l’islam, que rien ne paraît capable d’arrêter si le scenario actuel se poursuivait, s’accompagne, sur le territoire national, de la progression d’agressions violentes, gratuites, haineuses, contre tout ce qui ressemble à un Français d’origine européenne. Cette vidéo, de 1’30", elle aussi résume tout. On y voit des jeunes issus de la diversité, en pleins événements lyonnais, piller, en bande, un bureau de tabac. Cette scène, déjà insupportable, s’aggrave par une agression particulièrement sordide d’une jeune racaille, qui balance un grand coup de pied en saut chassé à une vieille dame qui a le malheur de passer par là au mauvais moment. http://www.youtube.com/watch ?v=R-nm354JiFU Cette scène, insupportable, pose deux questions. Ces petites frappes auraient-elles dévalisé de la sorte un magasin halal ? Cette petite crapule aurait-elle frappé de la sorte une femme du même âge, revêtue d’un voile ? Bien sûr que non ! Imaginons qu’un commando de blonds aux yeux bleux aient eu la même attitude raciste. On aurait immédiatement les hordes de l’antiracisme sur les lieux, cela ferait la une de tous les médias qui, à l’unisson, clameraient que c’est la faute du débat sur l’identité nationale, et qu’un mauvais climat, "rappelant les heures les plus sombres de notre Histoire", envahit la France. On en appellerait à la République, et tout et tout... Là, rien ! Accablant !"
La police va -t-elle rechercher ce jeune, manifestement coupable d'agression, peut-être agravée par un motif raciste ?
Code Pénal Article 132-76
Modifié par Loi n°2004-204 du 9 mars 2004 - art. 12 JORF 10 mars 2004
Modifié par Loi n°2004-204 du 9 mars 2004 - art. 38 JORF 10 mars 2004
"Dans les cas prévus par la loi, les peines encourues pour un crime ou un délit sont aggravées lorsque l'infraction est commise à raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
La circonstance aggravante définie au premier alinéa est constituée lorsque l'infraction est précédée, accompagnée ou suivie de propos, écrits, images, objets ou actes de toute nature portant atteinte à l'honneur ou à la considération de la victime ou d'un groupe de personnes dont fait partie la victime à raison de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée."
Rappelons aussi cette agression à Bobigny :
même question : cet homme se permettrait il une telle agression envers une femme noire et en rigolerait il autant ?
"“BBR Négeu“ , originaire de Bamako (Mali) et résidant à Bobigny (93), agresse avec ses amis une adolescente blanche qui refuse de donner son numéro de portable, elle se fait frapper par deux “jeunes” de la bande… Vidéo postée sur Facebook, par BBR Négeu La scène se déroule sur l’espace entre le centre commercial Bobigny 2 et l’esplanade de la préfecture à Bobigny, près du métro et du tramway."
Alors, mesdames et messieurs les défenseurs, promoteurs de RAP incitant à la violence machiste, sexiste, les sociologues et intellos incitant à la revanche sur les colons, ne vous sentez vous pas un peu responsable de l'esprit de haine et de vengeance que vous diffusez ?!
Si vous aviez enseigné à ces jeunes "prolétaires du monde entier unissez vous", ou autre parole pacifique, outre les éléments de morale de base sur l'attitude envers les femmes et les personnes plus âgées, ces jeunes ne réagiraient en aucun cas de telle façon.
Comment un jeune garçon peut il, au lieu d'avoir appris :
- qu'un garçon ne frappe pas une fille
- qu'un jeune doit aider les personnes âgées,
en arriver à agir en frappant une femme plus âgée ?
Doit on croire que le fait qu'elle soit française et lui d'origine africaine, suffit à ses yeux à justifier son geste ? Voici la vidéo, dont la mise en scène finale est sans doute criticable ( la musique de la série "les Envahisseurs", rappellant l'idée de gens hostiles et non reconnaissable, rappelle de façon odieuse la propagande anti-juive d'avant guerre, qui mettait l'accent sur le fait que les juifs étaient un risque parce qu'on ne les distinguait pas facilement des autres dans la population, il rappelle aussi bien plus anciennement, le signe distinctif que le code d'omar obligeait les juifs à porter ...), mais qui a l'utilité de montrer la scène au ralenti, et par là de montrer l'aspect absolument volontaire, ciblé et extrêmement violent de ce geste, qui peut provoquer une hémoragie mortelle.
Le commentaire de Riposte laique est tout à fait pertinent : http://www.ripostelaique.com/ "Cette montée de l’islam, que rien ne paraît capable d’arrêter si le scenario actuel se poursuivait, s’accompagne, sur le territoire national, de la progression d’agressions violentes, gratuites, haineuses, contre tout ce qui ressemble à un Français d’origine européenne. Cette vidéo, de 1’30", elle aussi résume tout. On y voit des jeunes issus de la diversité, en pleins événements lyonnais, piller, en bande, un bureau de tabac. Cette scène, déjà insupportable, s’aggrave par une agression particulièrement sordide d’une jeune racaille, qui balance un grand coup de pied en saut chassé à une vieille dame qui a le malheur de passer par là au mauvais moment. http://www.youtube.com/watch ?v=R-nm354JiFU Cette scène, insupportable, pose deux questions. Ces petites frappes auraient-elles dévalisé de la sorte un magasin halal ? Cette petite crapule aurait-elle frappé de la sorte une femme du même âge, revêtue d’un voile ? Bien sûr que non ! Imaginons qu’un commando de blonds aux yeux bleux aient eu la même attitude raciste. On aurait immédiatement les hordes de l’antiracisme sur les lieux, cela ferait la une de tous les médias qui, à l’unisson, clameraient que c’est la faute du débat sur l’identité nationale, et qu’un mauvais climat, "rappelant les heures les plus sombres de notre Histoire", envahit la France. On en appellerait à la République, et tout et tout... Là, rien ! Accablant !"
La police va -t-elle rechercher ce jeune, manifestement coupable d'agression, peut-être agravée par un motif raciste ?
Code Pénal Article 132-76
Modifié par Loi n°2004-204 du 9 mars 2004 - art. 12 JORF 10 mars 2004
Modifié par Loi n°2004-204 du 9 mars 2004 - art. 38 JORF 10 mars 2004
"Dans les cas prévus par la loi, les peines encourues pour un crime ou un délit sont aggravées lorsque l'infraction est commise à raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
La circonstance aggravante définie au premier alinéa est constituée lorsque l'infraction est précédée, accompagnée ou suivie de propos, écrits, images, objets ou actes de toute nature portant atteinte à l'honneur ou à la considération de la victime ou d'un groupe de personnes dont fait partie la victime à raison de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée."
Rappelons aussi cette agression à Bobigny :
même question : cet homme se permettrait il une telle agression envers une femme noire et en rigolerait il autant ?
"“BBR Négeu“ , originaire de Bamako (Mali) et résidant à Bobigny (93), agresse avec ses amis une adolescente blanche qui refuse de donner son numéro de portable, elle se fait frapper par deux “jeunes” de la bande… Vidéo postée sur Facebook, par BBR Négeu La scène se déroule sur l’espace entre le centre commercial Bobigny 2 et l’esplanade de la préfecture à Bobigny, près du métro et du tramway."
Alors, mesdames et messieurs les défenseurs, promoteurs de RAP incitant à la violence machiste, sexiste, les sociologues et intellos incitant à la revanche sur les colons, ne vous sentez vous pas un peu responsable de l'esprit de haine et de vengeance que vous diffusez ?!
Si vous aviez enseigné à ces jeunes "prolétaires du monde entier unissez vous", ou autre parole pacifique, outre les éléments de morale de base sur l'attitude envers les femmes et les personnes plus âgées, ces jeunes ne réagiraient en aucun cas de telle façon.
mardi 13 juillet 2010
Dominique Sopo nous diffame !
Ecouter cette interview :
http://www.enquete-debat.fr/archives/reportage-au-coeur-du-picnic-antiraciste-le-9-juillet-2010-a-la-goutte-dor/
Dominique Sopo nous qualifie de fascistes et racistes, nous dénie d'être féministe.
Notre association existe depuis plus de 10 ans, notre objet est
- l'étude de la philosophie du droit des femmes
- l'étude et la promotion de réformes féministes
- la défense des intérêts des femmes
- la lutte contre les idées et actes relevant du sexisme, de l'homophobie, du racisme ou de l'antisémitisme.
Dominique Sopo se prétend féministe : c'est une usurpation caractérisée.
S'il l'était, il s'insurgerait contre la doctrine islamique, seule doctrine à la base constitutionnelle d'Etat aujourd'hui qui affirme l'infériorité en droit des femmes par rapport aux hommes, et le devoir des hommes de les frapper en cas de désobéissance.
http://www.enquete-debat.fr/archives/reportage-au-coeur-du-picnic-antiraciste-le-9-juillet-2010-a-la-goutte-dor/
Dominique Sopo nous qualifie de fascistes et racistes, nous dénie d'être féministe.
Notre association existe depuis plus de 10 ans, notre objet est
- l'étude de la philosophie du droit des femmes
- l'étude et la promotion de réformes féministes
- la défense des intérêts des femmes
- la lutte contre les idées et actes relevant du sexisme, de l'homophobie, du racisme ou de l'antisémitisme.
Dominique Sopo se prétend féministe : c'est une usurpation caractérisée.
S'il l'était, il s'insurgerait contre la doctrine islamique, seule doctrine à la base constitutionnelle d'Etat aujourd'hui qui affirme l'infériorité en droit des femmes par rapport aux hommes, et le devoir des hommes de les frapper en cas de désobéissance.
mercredi 16 juin 2010
18 juin 2010 : à l'Etoile
Le CERF se joint à l'appel à manifester le 18 juin 2010 , face à l'Arc de Triomphe.
70 ans après l'appel du Général de Gaulle, .... et 40 ans après la commémoration de la femme du soldat inconnu ...
Communiqué des organisateurs de l’apéro géant à La Goutte d’Or
Posté par Novopress dans France, Politique le 17 juin 2010
Communiqué des organisateurs de l’apéro géant à La Goutte d’Or
La préfecture de police a refusé aux Parisiens le droit de commémorer le soixante-dixième anniversaire de l’appel du 18 juin 1940 ce vendredi à La Goutte d’Or en partageant les produits typiques de nos terroirs dans la simplicité et la convivialité.
En notifiant officiellement cette décision ce mercredi dans l’après-midi – vingt-quatre heures après l’avoir annoncée par voie de presse ! –, elle nous empêche d’organiser ce pique-nique, puisqu’elle donne à la justice jusqu’à vendredi après-midi pour statuer sur le référé-liberté que nous avons déposé.
Nous annulons donc l’apéro prévu dans le quartier de La Goutte d’Or vendredi 18 juin à 19 heures et nous passons au plan B, qui permettra à chacun de manifester, dans le plus grand calme et dans le total respect des lois de la République, sa révolte face à cet interdit administratif et sa volonté d’entrer en résistance contre l’islamisation de la France.
Nous invitons tous les Parisiens à nous rejoindre place de l’Etoile, à l’angle de l’avenue des Champs-Elysées, vendredi 18 juin à 19 heures.
C’est là que, le 11 novembre 1940, malgré la publication d’un communiqué de la préfecture de police affirmant qu’« aucune démonstration publique ne sera tolérée », deux mille lycéens et étudiants eurent le courage de se réunir pour défier l’occupant.
Nous y donnerons une conférence de presse pour :
• présenter et analyser les raisons du refus opposé par la préfecture ;
• rappeler solennellement qu’aucun lieu public en France ne doit être régi par des lois religieuses ;
• annoncer des actions à venir.
Comme pour l’apéro, aucun signe de reconnaissance ou d’appartenance politique ne sera admis.
Nous n’acceptons que des drapeaux français, sans marque dessus.
Seuls les chants patriotiques français pourront être entonnés.
On peut apporter son saucisson et son jus de raisin, mais pas de boisson alcoolisée.
Nous appelons toutes les organisations qui avaient appelé officiellement à se joindre à l’apéro de La Goutte d’Or à relayer cet appel, et à nous signaler leur soutien. Une première liste sera publiée demain jeudi.
Riposte laïque – Bloc identitaire – Résistance républicaine
Jeunes pour la France – Union gaulliste – Bivouac-ID
RAPPEL : en 2003 nous écrivions :
"Laïcardes", puisque féministes, par Anne Vigerie et Anne Zelensky
La question du voile islamique qui réapparaît dans le débat inquiète depuis longtemps les féministes.
Les jeunes filles ou femmes le portent au nom d'une liberté, celle d'exercer leur religion. Le port du voile n'est pas qu'un signe d'appartenance à une religion. Il symbolise la place de la femme dans l'islam tel que le lit l'islamisme. Cette place est dans l'ombre, la relégation, la soumission à l'homme. Que des femmes le revendiquent ne change rien au sens qui l'affecte. Il n'est plus à prouver que les dominé(e)s sont les plus fervents supporteurs de leur mise sous tutelle. Il n'est plus sûre oppression que l'auto-oppression. Mais les jeunes filles qui s'accrochent à leur voile ne veulent pas pour autant renoncer aux bienfaits d'un Etat laïque et officiellement égalitaire.
Or c'est là que réside le noeud du problème. La France est une nation qui respecte deux principes : la laïcité, qui suppose la séparation du religieux et du politique, et l'égalité des sexes. Ces principes sont l'aboutissement de longues luttes qui, tout au long de notre histoire, ont tenté de donner le pas à la loi humaine sur la loi divine et de faire triompher la raison sur la foi. Le droit français s'est construit au cours des siècles, depuis les lois fondamentales du royaume et les Parlements, sur la conciliation et l'équilibrage entre des libertés contradictoires. La laïcité suppose un espace public neutre, libre de toute croyance religieuse, où évoluent des citoyens soumis au même traitement, qui partagent des droits, des devoirs communs et un bien commun, qui les placent au- delà des différences discriminantes.
Tant que le port du voile restait dans la sphère de l'intime conviction personnelle, il ne contrevenait pas aux principes qui gouvernent la France. Chacun, chacune est libre en effet de croire en son for intérieur en un dieu, de penser que les femmes seraient des êtres inférieurs qu'il faut voiler pour éviter aux hommes la tentation, qu'on peut marier de force, lapider si elles sont adultères. C'est cela aussi, la liberté de pensée. Afficher ce symbole dans l'espace public, régi par les principes de laïcité et d'égalité des sexes, marque une remise en cause de ces principes. On peut encore autoriser un tel affichage au nom de la liberté d'expression. Mais à condition qu'il ne soit pas l'instrument insidieux d'un prosélytisme intégriste qui range les femmes en deux camps : soumises ou putes. Là où commence la violence sociale, morale ou physique contre les femmes qui ne portent pas le voile doit s'arrêter la liberté de le porter.
Comment en sommes-nous arrivés à douter de ce qui fait la structure et la fierté de notre démocratie ? L'affaire du voile est un symptôme parmi d'autres de la grande confusion qui règne sur les esprits et des régressions à l'oeuvre. La régression a lieu sous l'effet conjugué d'un individualisme mal compris et d'un complexe d'ex-colonisateur. L'individualisme : le refus crispé de toute norme, qui renvoie à la phobie du moule, conduit à rejeter toute limite, au prétexte qu'elle brimerait la "liberté". Chacun est "libre" dans notre système libéralo-libertaire. Libre tout seul ? Toutes ces libertés additionnées, ça donne quoi ? La grande chienlit ? Ou la prévalence de la liberté de certains sur les autres ? Ainsi, nous avons eu abondamment droit, nous les féministes, aux brames indignés de la gent publicitaire et médiatique sur les atteintes à la "liberté d'expression" dès que nous prétendions faire entendre notre son de cloche sur les débordements des représentations sexistes. Ces indignations hypocrites protègent en fait les intérêts de ceux qui remplissent leurs tiroirs-caisses avec ces images. Idem pour la "liberté" supposée de porter le voile : qui sert-elle en réalité ? Un voile peut cacher une barbe... Mais pas touche à mon "droit à la différence" ! Dans notre société postcoloniale, travaillée par une culpabilité mal assumée, la phobie d'être accusé de racisme par "refus de l'autre" conduit à la sacralisation irraisonnée de la différence. Nous vivons ainsi sous la coupe d'une bien-pensance héritée des réflexes de "gauche", dont même la droite est victime. Voilà comment, au nom du respect des coutumes, on nous a fait honte quand nous avons décidé de dénoncer l'excision et de porter devant la justice les cas d'excision. De cet état d'esprit apeuré qui se réfugie dans une tolérance tous azimuts, les islamistes jouent à fond, sans états d'âme.
Le drame est, en réalité, que cette bien-pensance-là est un véritable racisme, qui ne se voit plus, mais survit et se réincarne dans l'antiracisme apparent du "droit à la différence". Le bigotisme islamiste, dont l'équivalent chrétien nous indignerait, c'est "bon pour les maghrébin(e)s"...
Il est vrai en un sens que le voile n'est qu'un épiphénomène : il n'est que la partie émergée de l'iceberg. L'iceberg, c'est la politique de mainmise des "réseaux d'Allah" sur les populations issues de l'immigration, et en particulier sur les jeunes. Grâce à leurs moyens financiers, ils offrent soutien scolaire, aide aux familles en difficulté, persuadent les élus que les jeunes islamisés seront moins délinquants...
Ne pas abandonner nos jeunes à un endoctrinement aussi mortifère devrait être considéré comme une priorité, un devoir "sacré" de l'Etat. Mais il laisse faire, justifié d'avance par les idées de respect des différences et de libertés absolues...
Les obscurantismes ont la vie dure. Mais ne nous laissons pas tirer insidieusement en arrière : les religions doivent être soumises à la loi, donc au principe de l'égalité des sexes. Evidemment, nous sommes "laïcardes", puisque féministes.
En pratique, nous demandons :
- L'interdiction du voile dans les lieux d'enseignement et de vie commune (école, fac, entreprise, administration).
- Si les agressions envers les femmes non voilées se perpétuaient : l'interdiction du voile dans la rue.
- D'une façon générale, l'application la plus stricte de la loi de 1905.
- La fin de l'enseignement des religions hors des cours d'histoire et de philosophie.
- Un enseignement des principes du droit des libertés publiques et de leurs bornes.
- Un enseignement sur les discriminations : sexisme, antisémitisme, racisme, homo-lesbophobie.
Anne Vigerie est membre du Cercle d'étude de réformes féministes.
Anne Zelensky est présidente de la Ligue du droit des femmes.
ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU MONDE DU 30.05.03
lundi 14 juin 2010
Apéro à la Goutte d'Or le 18 juin 2010
Le CERF appelle à la participation à l'apéro/pique nique du vendredi 18 juin 2010 à Paris.
Rendez vous à 19 h rue Myrrha.
La préfecture aurait interdit l'apéro et les organisateurs ont demandé l'autorisation en référé.
La presse présente cette manifestation de manière totalement mensongère, en parlant de "provocation d'extrême droite".
La réalité est que l'idée a été lancée par www.ripostelaique.com, à la suite de reportage dans ce quartier, montrant que des musulmans occupent illégalement les rues et chaussées tous les vendredis, des musulmans venant de toutes part, alors que la police laisse faire.
L'évenement a été proposé à la date anniversaire de l'appel du Général de Gaulle le 18 juin, la participation de groupes pétainiste a été refusée et des groupes d'extreme droite antisémite ont cru bon d'y dénoncer une manipulation juive (!)
Ainsi, en France, aujourd'hui, la préfecture laisse pendant des mois les militants de l'extreme-droite théocratique islamique, occuper la chaussée, empêcher voitures et habitants de circuler, poser des barrières, apparaitre en milices marquées d'un brassard, devant les policiers français qui n'interviennent pas, alors que cette même préfecture interdit une manifestation de protestation contre cette violation de la loi !
Ainsi, en France dans ce quartier, ce n'est pas la loi républicaine qui règne, mais la loi et la milice islamiques.
L'avenir s'annonce sombre pour tous les français non musulmans ( et ceux des "musulmans" qui ne veulent pas de cet ordre islamique là), et pour les femmes en particulier.
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