Le sketch de Coluche est très daté, aujourd'hui les policiers ont à peine le droit de se défendre quand on leur tire dessus à l'arme de guerre, "excusez moi de vous demander pardon", c'est souvent eux qui doivent le dire aux délinquants violents ... ce sketch est cité pour sa manière humoristique de parler de l'art de frapper autrui : écoutez Coluche, écoutez l'imam, et comparez ..
[A la police], On tape avec le plat de la main. Comme ça dans les côtes. Alors ça fait ach'ment mal mais euh, ça fait pas de traces. Ah non ! Parce que on n'a pas droit aux traces. Parce que les mecs quand y z'ont des traces, y paraît qu'y peuvent porter plainte !
Les époux Lavier condamnés pour "violences habituelles sur
mineurs"
|23.02.2012
Le tribunal correctionel de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) a condamné, jeudi
23 février, Frank etSandrine
Lavierà
respectivement dix et huit mois de prison avec sursis pour"violences
habituelles"sur
deux de leurs enfants. Le couple, acquitté en 2005 dans l'affaire de pédophilie
d'Outreau, a été relaxé du chef de"corruption de
mineurs"pour lequel ils
étaient également poursuivis. Le tribunal a estimé que si ces
derniers faits étaient moralement répréhensibles, l'infraction pénale n'était
pas constituée, car la volonté decorrompreles mineurs n'était pas
prouvée.
....
En début d'année
dernière, deux des cinq enfants des Lavier, un garçon et une fille de 10 et 11
ans, avaient dénoncé des maltraitances sans caractère sexuel, aprèsavoirfugué etavoirété placés chez une
assistante maternelle. Ils ont raconté des punitions interminable"à genoux sur le sol", sur"un manche à balai", et ont affirmé qu'ils recevaient
régulièrement des coups
L'enquêteavait abouti à la saisie devidéos, dont
certaines ont été projetées à l'audience, qui mettaient les six adultes en
scène, dénudés et mimant des actes sexuels devant plusieurs jeunes enfants de
lafamille, lors de
soirées d'anniversaire ou de réveillons arrosés au domicile des époux Lavier.
Les mis en cause auraient
simulé des actes sexuels, partiellement dénudés, devant des enfants de 5 et 7
ans au cours d'un anniversaire de mariage «un peu arrosé» en mars 2009, le tout
immortalisé sur vidéo. L'un des enfants était celui du couple Lavier, l'autre
celui du frère de Franck Lavier. Tous se sont défendus en indiquant qu'ils
ignoraient que ce genre de pratique pouvait être assimilé à une corruption de
mineur.
«Quiconque entre dans cette
pièce sera obligé de me sucer» Le couple Lavier est par
ailleurs mis en cause dans un second cas de corruption de mineurs. Dans le
couloir, devant la chambre de leurs enfants, les enquêteurs ont en effet trouvé
un panneau indiquant «quiconque entre dans cette pièce sera obligé de me sucer.
Signé: l'occupant des lieux». Selon une source proche de l'enquête interrogée
par20
Minutes, ces mises en garde à vue son consécutives à la découverte au
domicile des époux Lavier, sur un disque dur, de la vidéo effacée mais qui a pu
être restaurée par les inspecteurs.
Les enfants qui ont porté les
accusations, un garçon et une fille de 10 et 11 ans, ont été placés il y a deux
mois après avoir fugué et s'être confiés à une assistante maternelle qui
s'était occupée de certains mineurs impliqués dans l'affaire d'Outreau. Le
couple Lavier, sansemploi, vit à Boulogne-sur-Mer avec quatre de
ses cinq enfants.
Ils parlent "d'amusement", de "délire", de
"déguisements" ou encore de comportements "enfantins", mais
pour la justice il s'agit bel et bien de corruption de mineurs.
Tous reconnaissent des "gestes déplacés", "des
choses à ne pas faire devant les enfants", mais réfutent le terme de
"corruption." "Loin de là, loin de là" répète Laurent, qui
"regrette amèrement." "Est-ce normal de commenter un livre
de positions sexuelles devant votre fille de 12 ans ?" demande la
présidente du tribunal à Sandrine Lavier. Cheveux relevés en chignon, créoles
dorées aux oreilles, elle répond "non, c'est assez déplacé." A
plusieurs reprises au cours de l'audience, elle aura du mal à dissimuler son
malaise et baissera la tête pour la prendre entre ses mains. Hélène, tee-shirt
noir avec brillants et cheveux blonds, fait son possible pour la soutenir.
"Je pensais pas à mal" dit celle-ci à la barre, en pleurs, "des
choses ont été faites devant des enfants et n'auraient pas dû, je n'aurais
jamais pensé être là aujourd'hui."
Franck Lavier et son frère Laurent, de noir vêtus, portent le même
jean. "J'aime bien me déguiser, mais je ne pensais pas à mal" déclare
Laurent. Des mots repris par tous, qui assurent "ne jamais avoir voulu
faire de mal aux enfants" et n'avoir eu "aucune pensée
malsaine." Le tribunal a diffusé des extraits de vidéos tournées chez les
Lavier. A Noël 2009, ils "s'amusent" en musique. Laurent, en caleçon
et bonnet de père Noël, et Franck, torse nu, prennent des poses lascives autour
de Jérôme, immobile et mal à l'aise. On entend des voix d'enfants. Sur d'autres
images, Renaud Valance est en nuisette fuchsia. Pendant la projection, le rouge
lui monte aux joues et il ne maîtrise plus ses jambes qu'il bouge nerveusement.
"Si j'ai fait ça devant des enfants, je n'étais pas conscient"
déclare celui qui était "sous l'euphorie de l'alcool". Plâtrier en
recherche d'emploi, il vient d'avoir un enfant et assure s'être
"calmé".
"On passe son temps à mimer des actes sexuels sous le regard
des enfants. La fête c'est forcément mimer des actes sexuels ?" s'emporte
la procureure Nathalie Bany après qu'une autre vidéo a montré plusieurs accusés
s'adonner à leurs "délires" à côté des enfants. Mais l'avocat de
Sandrine Lavier Philippe Lescene n'en démord pas : "Il n'y a pas de corruption
de mineur, on est dans la morale, et la justice n'a pas à s'en occuper."
.... Pour la procureure, bouillonnante, il ne s'agit pas de
"punitions", mais de "maltraitance." ... Tapant du poing sur le pupitre, la
procureure a voulu y couper court : "le parquet et le commissariat ne se
sont pas réveillés un jour en se disant 'vengeons-nous, allons chercher des
noises aux époux Lavier et leurs proches. On a agi comme dans n'importe quel
dossier similaire."
Entre jeux sexuels simulés et
violences présumées, les relations entre les époux Lavier et ces deux enfants
se révèlent compliquées. A contrario, ils avouent
«l'inconscience» de leur comportement lors de soirées d'ivresse. Dans les
extraits des vidéos projetés lors de l'audience, on y voit les Lavier, en
compagnie d'amis et de membres de la famille, adopter des positions obscènes
auxquels assistent des enfants, parfois pris à partie. «C'est venu dans
l'amusement», souligne Sandrine Lavier. «Et vous trouvez normal d'embrasser
votre fille mineure à pleine bouche ?», tonne la juge. Dix-huit mois de prison
avec sursis ont été requis par la procureure.
Des photographies, projetées
lors du procès, montraient les genoux des enfants déformés par de gros
hématomes, conséquence de stations prolongées sur un manche à balai destinées à
sanctionner leurs «bêtises» répétées, selon les parents.
L'accusation de corruption de
mineurs, qui visait les six prévenus, reposait sur des vidéos filmées pendant
plusieurs soirées arrosées. Des bacchanales de fort mauvais goût dont des
enfants pouvaient être témoins sans que quiconque, toutefois, ne cherche à les
faire participer aux pantomimes salaces qui, visiblement, les intéressaient
moins que leurs jeux vidéo… Le tribunal a donc prononcé une relaxe générale sur
ce point.
Outeau : 12 enfants ont été reconnus victimes ... mais la presse n'a fait passé qu'un résumé de l'affaire en deux points : des adultes innocentés et un juge puni.
Depuis, la parole des enfants est suspectée de manipulation par des mères malveillantes ("syndrome d'aliénation parentale")
Témoignage inédit sur Outreau/Chérif Delay - Afro-Insolent 08/1
Source:
http://www.blogtalkradio.com/afro-insolent
Témoignage inédit sur Outreau/Chérif Delay -...par JaneBurgermeister
Il est navrant qu'un projet aussi baclé puisse être proposé.
Deux anomalies flagrantes :
- avec ce projet, si la PMA est jointe au texte, elle ne concernerait que les femmes homosexuelles mariées et non les célibataires, homo ou hétéro, or la conception d'un enfant entre un "donneur/père biologique" et une femme doit être ouverte aux femmes, de préférence avec un don non anonyme,
- avec ce projet, étant donné qu'en France les dons de gamète sont anonymes et que par contre, le lien entre filiation juridique et biologique tend à se resserrer (possibilité de plus en plus grande de prouver la filiation nbiologique), il y aurait une contradiction avec l'extension du droit aux PMA et l'adoption plénière homosexuelle qui elles interdisent la connaissance des origines et créen tdes filiation purement conventionnelles.
On remarque encore une fois l'abus de la notion de "non-discrimination" invoquée ici par une juriste pour faire craindre que l'autorisation de PMA n'amène à l'autorisation de la GPA : comme si les situations étaient les mêmes ...
Telle est la conclusion des
auditions du 20 décembre 2012 sur le projet de loi mariage pour tous,
consacrées à l’approche des juristes.
Comment s’explique cette
apparence de contradiction ? Tout simplement parce que quelle que soit leur
position personnelle, les juristes ont tous dénoncé la façon dont ce projet
était rédigé.
Au centre des
critiques, d’abord le périmètre de la loi.- Les cinq juristes auditionnés, Hugues
Fulchiron, Annick Batteur, Laurence Brunet, Claire Neirinck et Guillaume Drago
ont remis en question le périmètre de la loi. Si le cœur de ce projet de loi
est bien d’ouvrir le mariage aux couples de même sexe, il faut bien avoir
conscience, ont-ils rappelé, que c’est tout le droit de la filiation et
de la procréation médicalement assistée (PMA) qui est touché. Rappelons que le
droit de la filiation est en France fondée sur la vraisemblance biologique et
sur une filiation sexuée. Or, parce qu’il n’aborde que certains points et pas
d’autres (PMA, gestation pour autrui, présomption de paternité, etc.), le
Conseil constitutionnel pourrait soulever la question de l’intelligibilité de
la loi et de l’incompétence négative du législateur, selon Guillaume Drago.
Questions autour de
l’ouverture de l’adoption.-Pour
Hugues Fulchiron, le projet de loi procède de façon un peu étonnante. Le
législateur considère que, puisque le mariage est ouvert aux couples
homosexuels, il faut ouvrir l’adoption. Mais parallèlement, le texte entend
décorréler mariage et filiation. Une rupture logique non satisfaisante pour ce
spécialiste du droit de la famille, qui demande que toutes les règles de
l’adoption soient dès lors repensées. Tout comme celles de la PMA. Pourquoi
limiter la PMA aux couples mariés ? Pourra-t-on longtemps refuser l’accès aux
personnes seules ? Ou interdire la multiparenté ? La PMA doit faire l’objet
d’une réflexion d’ensemble. Opinion, là encore, très largement partagée par les
personnes auditionnées.
De la suppression des
mots « père » et « mère » dans le Titre V du Livre I du Code civil.- Annick Batteur a démontré qu’il
n’était pas nécessaire de supprimer ces deux concepts et a d’ailleurs demandé
au législateur de reprendre l’ensemble des dispositions du projet de loi,
dénonçant l’erreur que constitue cette suppression : «même
quand on est très favorable au projet, on ne peut pas admettre la façon dont ce
projet est rédigé»,
a-t-elle insisté. Sans compter les coquilles qu’elle entraîne, par exemple
quand le remplacement de ces mots par celui de «membre
de la famille»
implique que le juge doive convoquer tous les membres de la famille pour
vérifier leur consentement au mariage de la personne protégée.
Autre point soulevé par cette juriste, comment aborder la question du statut
des enfants des couples homosexuels, au regard de l’article 57 du Code civil ?
Avec en arrière-plan, bien évidemment, la question de l’accès aux origines et
de l’anonymat. Sa conclusion : ouvrons seulement l’adoption simple, dans un
premier temps, et travaillons à un texte cohérent sur l’ensemble du droit de la
famille.
Laurence Brunet s’est également prononcée pour l’ouverture de la seule adoption
simple et a demandé que le législateur se penche sur le droit de l’enfant à
connaître ses origines. Elle a soutenu qu’il n’est pas nécessaire de supprimer
les mots « père » et « mère ». Et « ilfaut éviter de désexualiser l’acte
de naissance»
a-t-elle ajouté. De même, pour Laurence Brunet, l’ouverture du don de gamète
aux couples de femmes devra entraîner la mention du donneur sur l’acte de
naissance.
Les piliers du droit
de la filiation devront être revus.-Claire Neirinck est notamment
revenue sur la difficulté de remettre en cause une comaternité ou une
copaternité, l’expertise biologique, bien évidemment, ne pouvant être un
instrument utile. D’où cette remarque : une inégalité est créée par ce projet
de loi entre un couple homosexuel, dont la filiation ne pourra pas facilement
être contestée, et un couple hétérosexuel, qui pourra voir une filiation
détruite par la preuve biologique. Même réflexion s’agissant de l’adoption de
l’enfant de l’époux/épouse, prévue par les articles 357 et 365 du Code civil :
elle sera possible dans un couple homosexuel, mais pas dans un couple
hétérosexuel, dès lors que l’enfant a déjà deux parents. Une nouvelle source de
discrimination.
Pour Claire Neirinck, l’ouverture de la PMA aux couples de même sexe entraînera
forcément la légalisation de la gestation pour autrui. Faute de quoi, une
inégalité apparaîtrait entre les couples de même sexe, ceux de femmes qui
auraient droit à la PMA et ceux d’hommes à qui ce droit serait refusé.
D’ailleurs, en Espagne, les juristes sont confrontés à cette revendication des
couples d’hommes.
Des propos annonciateurs d’un
grand nombre d’amendements ?
Gaëlle
Marraud des Grottes
Projet de
loi AN n° 344, 2012-2013, auditions, 20 déc. 2012
Une juriste catholique explique les détails des problèmes juridiques soulevés (maitre de conférence en droit civil)
Aude Mirkovic Les Contradictions juridiques du Mariage pour tous.
Elle affirme, c'est sans doute son point de vue catholique, que le couple en lui-même n'apporte rien à la société et ne mérite pas d'avantages financiers : il parait pour le moins contestable de dire que le couple n'apporte rien, quand on sait par exemple les statistiques de santé entre personnes seules et personnes en couple.
A la suite de la vidéo citée dans notre précédent message, des machinistes suspectées d'avoir parlé, ont reçu des menaces de mort ! Nous appelons à les soutenir !
Il faut bien avoir conscience, que si la RATP et le public ne réagissent pas, à force de terrrorisme, les "islamistes" parviendront peu à peu à interdire aux femmes le métier de machiniste, avant peut-être de l'interdire à tous les non-musulmans ...
. Il n’est peut-être pas inutile que nos lecteurs sachent dans quel contexte elle a été tournée, et surtout comment les choses évoluent depuis sa publication.
Il se trouve que l’auteur de la vidéo est un ami de longue date d’un machiniste de la RATP. Celui-ci lui a exprimé le désarroi, le découragement et la révolte de nombre de ses collègues femmes. Victimes d’insultes sexistes quotidiennes, et surtout du prosélytisme musulman de trop de leurs collègues de travail, elles exprimaient leur impuissance devant la situation, et leur attachement à la laïcité. La direction cherchait à noyer le poisson, expliquant aux rares salariés qui osaient surmonter leur peur qu’il ne fallait pas envenimer les choses. Les organisations syndicales refusaient de réagir, même si, dans l’intimité, des militants exprimaient leur ras-le-bol devant le communautarisme religieux de nombre de leurs collègues de travail.
Guy a rencontré plusieurs machinistes de la RATP. Le contact a été bon, il a donc été invité, avec sa caméra, à filmer les libres conversations d’une vingtaine d’entre eux, dont quelques hommes et une majorité de femmes, durant une heure et demie. En cherchant à préserver leur anonymat, il a sélectionné 6 minutes de ces échanges, et a donc proposé à notre rédaction cette vidéo, que nous avons mise en ligne immédiatement, et qui a été vue depuis par plus de 60.000 visiteurs, en période de fêtes de fin d’années.
Nous avons tout de suite vu la nature des réactions. Un curieux syndicaliste, Mourad Ghazli, est immédiatement monté au créneau sur oumma.com et sur son blog, pour essayer de discréditer notre site, les femmes interviewées, et se plaindre, un brin jaloux, que la président de la RATP ait répondu à Anne Zelensky, mais pas à lui… oubliant de préciser qu’il était en procès avec sa direction ! Cet ancien sportif de haut niveau a même été invité sur Beur FM pour calomnier notre site, ce qui lui a valu une nouvelle mise au point de Guy Sauvage.
Un autre machiniste, le nommé Rachid Hamani, a lui aussi contesté la vidéo, remis en cause son authenticité, parlé de faux témoignages, et évoqué de possibles poursuites judiciaires contre notre site.
Les propos de ces deux personnages laissent deviner l’ambiance qui doit régner dans les dépôts de la RATP, où des salariées – parfois à juste titre, souvent à tort – sont suspectées d’avoir été de la fameuse réunion filmée par Guy Sauvage. Nous savons que plusieurs machinistes ont, depuis la publication de cette vidéo, reçu des menaces de mort téléphoniques à leur domicile. Nous regrettons que certaines, tétanisées, n’aient pas encore déposé plainte, ce qui serait pourtant, au-delà d’un réflexe républicain normal, leur meilleure protection. Nous savons également que ces salariés viennent travailler avec la peur au ventre, craignant une agression verbale, voire physique. Nous savons qu’ils doivent être sur le qui-vive permanent, sur leur lieu de travail, mais aussi en dehors.
La réalité est là. Telle une police religieuse se croyant à Téhéran ou à La Mecque, les plus fanatiques des chauffeurs traquent les « coupables », les intimident, les menacent ouvertement, et contestent leurs propos, leur disant, d’un air menaçant, que « ce n’est pas bien d’avoir bavé ».
Que dire de cet autre quotidien des machinistes, trop souvent passé sous silence, fait de multiples agressions, crachats et insultes de racailles qui savent qu’elles demeureront impunies.
Ce reportage montre ce dont les utilisatrices peuvent également facilement témoigner : des actes d'impolitesse, d'outrage, de mépris de la part de chauffeurs musulmans "visiblement" par leur tenue, quelle que puisse être leur origine par ailleurs.
Le harcèlement moral est une faute rappelons-le, la politesse envers la clientèle doit être la même pour tous, que l'on soit musulman ou non, homme ou femme : si des chauffeurs ne respectent pas cette règle, ils doivent être sanctionnés, il est insupportable d'entendre prétendre que "l'entreprise va bien", que "la paix sociale règne" lorsque les mêmes responsables qui le prétendent, demandent aux femmes d'accepter de subir ces actes de maltraitance, ces insultes et ce mépris affiché.
Mais bien sur : qui supporte cette maltraitance ? Pas les privilégiés qui utiliseront leur voiture quel que soit le prix, mais les gens moins argentées, les "travailleurs". En rendant l'usage de la voiture encore plus couteux et difficile, ce sont ces travailleurs français d'origine chrétienne ou ces femmes en général que nos dirigeants livrent à la violence de musulmans fanatisés. Le harcèlement atteint son comble quand celles qui s'en plaignent, au lieu d'être soutenue par leur hiérarchie, se sont insulter en étant traitées de "raciste".
http://youtu.be/O_-ENQrnlDU
14 déc. 2012
Des femmes machinistes chauffeurs travaillant à la RATP témoignent de la grave détérioration des conditions de travail, causée par certains de leurs collègues musulmans.
Points fort de ce reportage exclusif :
- Recrutement sélectif : la RATP recrute de préférence des Maghrébins musulmans, plutôt que des Français de souche.
- Des chauffeurs musulmans sont agressifs et malpolis envers les passagers.
- Des chauffeurs musulmans refusent de serrer la main à leurs collègues femmes, les traitent avec mépris, les insultent.
- La hiérarchie refuse d'intervenir et de soutenir le personnel agressé par ces employés musulmans, sous prétexte de maintenir "la paix sociale".
- Certains chauffeurs musulmans refusent de conduire un bus parce qu'une femme l'a conduit avant eux.
- Des chauffeurs musulmans prient sur leur lieu de travail, voire dans les bus, pendant le temps de travail.
Ainsi, des musulmans fascistes et racistes traitent leurs collègues blanches comme des êtres inférieurs, et imposent peu à peu l'islam dans la RATP.
http://ripostelaique.com/
Beaucoup
de patients se sont indignés des propos tenus par le Pr Rufo affirmant : " L'immense majorité
des enfants abusés vont bien à distance après le sévice, elles ont des craintes
un peu précises mais elles vont bien dans leur vie amoureuse, sexuelle,
personnelle, professionnelle. Donc en quelque sorte, un abus ne peut pas entrainer
un tel dégât sauf si la fragilité et la vulnérabilité du sujet vient faire que
l'abus renforce cette pathologie d'organisation. Là dans ce que vous décrivez,
c'est concrètement fantasmatique. Ça fait peut être partie de son organisation
un peu plus de reconstruction délirante du monde (sic...) "
La jeune
fille âgée de 28 ans dont il est question est hospitalisée à la demande d'un
tiers pour une addiction aux antalgiques, complication fréquente des violences
sexuelles... On ignore sur quels arguments, Rufo en fait un sujet délirant,
fantasmant des agressions sexuelles dont sa mère dit qu'elle a toujours eu
conscience. Or nous dit Rufo :" Ce n'est pas parce qu'elle est
en psychiatrie que sa parole ne doit pas être entendue (...) "nous ne saurions mieux le dire !
Disons
d'emblée que les agressions sexuelles et autres graves maltraitances ont de
graves conséquences comme le démontre à foison la recherche scientifique
anglo-saxonne, canadienne, néozélandaise, etc. là où la France brille par son
absence, quoi que le Conseil Général de Seine Saint Denis1ait démontré le contraire. Je le
développe dans un livre à paraitre en janvier aux éditions Dunod2, dont le titre s'inscrit
en faux contre ce que dit le Pr Rufo sur la bénignité des conséquences des
violences sexuelles (voir également l'ouvrage d'Anne Tursz3).
On
s'étonne que Rufo conseille à la mère d'interroger l'agresseur présumé dont la
jeune fille cite le nom. Pense-t-il qu'il se dénoncera ? Ce d'autant qu'il
aborde la question d'un dépôt de plainte :" D'abord, est-ce qu'il faut le
rendre juridique ou non ? La mode, la loi même, c'est dire signalement, mais en
même temps, il y a quelque chose qui... Mais moi je suis très favorable au
signalement des enfants, mais en même temps je m'étonne de quelque chose (...)
"... Rappelons simplement qu'un classement sans suite ou qu'un
non lieu ne signifient pas que l'enfant ait menti mais bien souvent que la
justice ne dispose pas d'éléments de preuves suffisants pour poursuivre, et
dans ce cas les parents peuvent légitimement soutenir leur enfant.
Disons-le
: la mode n'est pas au signalement qui n'est d'ailleurs pas obligatoire pour
les médecins, mais conseillé de façon ambiguë dans la mesure où le Code de
déontologie médicale dans son article 44 permet au médecin de s'abstenir de
signaler un mineur en danger pour des "circonstances
particulières, qu'il apprécie en conscience" et s'il le fait " en
faisant preuve deprudence et
de circonspection". On
admet que moins de 10 % de ces signalements sont le fait des professionnels de
santé. Il est en revanche obligatoire de faire cesser la situation de danger
sous peine de poursuite pénale.
De plus,
un signalement au procureur de la République n'est possible qu'avec l'accord
d'un sujet majeur.
Pire, les propos de Rufo pourraient décourager un dépôt de plainte en
méconnaissant totalement les délais de prescription pour cette affaire
particulière.
Le Pr Rufo donnerait cependant de précieux conseils si la jeune fille était
délirante. Mais est-ce bien le cas ? L'a-t-il examinée ? Hospitalise-t-on à la
demande d'un tiers uniquement pour des troubles psychotiques ? Non ! Et
certains troubles dissociatifs post traumatiques sont de fausses psychoses
comme les décrivent un livre récent .
Le déni de la fréquence et des graves conséquences des violences sexuelles et
autres graves maltraitances infantiles a décidément la peau dure.
Dr Gérard Lopez
1Observatoire des violences envers les
femmes du Conseil général de la Seine-Saint-Denis (eronai@cg93.fr) 2Lopez G, Enfants
violés et violentés. Le scandale ignoré, Paris, Dunod, janvier 2013 à paraître. 3Tursz A, Les
oubliés. Enfants maltraités en France et par la France, Paris, Seuil, 2010
Lundi 30 Janvier 2012
Les abus laissent une trace biologique dans l'ADN
Source : tsr.ch
Des chercheurs de l'Université de Genève ont découvert que les abus laissent une trace biologique dans l'ADN des victimes.
http://collectif-inceste.org/