Dries Verhoeven
expose dans plusieurs villes cette mise en
scène.
Les Dernières Nouvelles d’Alsace relatent cette réaction
d’un Strasbourgeois : « Dans un courrier adressé à la rédaction, il
fait part de la «prestation artistique» à laquelle il a assisté samedi dernier,
s’interrogeant sur «la protection des mineurs». «Devant les nombreux passants,
dans une boîte vitrée, un homme d’âge mûr, en slip, tient sur ses genoux une
jeune fille à peine pubère, elle aussi en sous-vêtements. C’est un spectacle
très limite compte tenu des problèmes de pédophilie récurrent (…)».
Dries
Verhoeven en décrivant cette scène donne toutes les phrases utiles à l’abuseur :
https://www.facebook.com/events/226476040886643/
- Le déni : « Ceci
n’est pas de l’amour »
- … allié au cynisme : certes l’inceste n’est pas de l’amour….
- La carambouille : sur l’airt du « ce que l’on
perçoit n’est pas ce qui est … » : « On a de plus en plus conscience qu’en touchant des
enfants, on
peut activer des désirs sexuels en eux, ou que cela puisse être interprété
comme tel par le monde extérieur. »
peut activer des désirs sexuels en eux, ou que cela puisse être interprété
comme tel par le monde extérieur. »
- La justification par le besoin de l’enfant : « En touchant la peau nue d’une personne, des signaux sont
envoyés au cervelet, le centre de contrôle des émotions. Les enfants ont besoin de ce contact physique pour s’attacher à leurs parents"
-
La victimisation : « Aujourd’hui, les pères sont plus
réticents qu’ils ne l’étaient dans les années 80-90 à afficher publiquement l’affection qu’ils portent à leurs enfants… En revanche, le contact physique entre femme et enfant est toujours considéré comme rassurant. »
-
Puis il explique son but : « En
exposant ces tabous, je tente de donner un aperçu de l’ADN de notre époque » :
Et si tel était bien l’ADN de notre époque ?
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