Christine de Pisan

Christine de Pisan

samedi 17 février 2024

Communiqué de presse 18 février 2024 Affaire Godrèche contre Jacquot

 


Cercle d’Etude de Réformes Féministes

Communiqué de presse - 18 février 2024

Affaire Godrèche contre Jacquot :

Les faits comme leur déni étaient flagrants.

 

La Justice et les enfants peuvent remercier l’actrice Judith Godrèche d’avoir enfin porté plainte contre le metteur en scène Benoit Jacquot.

 

Les faits

Une partie au moins des faits majeurs dans l’affaire Jacquot ont été flagrants, pendant des années, pour toutes les personnes s’intéressant aux artistes du cinéma.

Le déni de la gravité de ces faits n’en est que plus terrible.  Le déni est toujours une violence supplémentaire.  Dans le cas de Judith Godrèche il l’est doublement.

Car Judith Godrèche est de plus victime d’avoir servi de publicité pour l’incestuel, pour les violences sexuelles envers les adolescent’es par des adultes.

Aujourd’hui elle dit la réalité, très violente, derrière le glamour apparent que le monde du cinéma de l’époque a produit en l’exploitant.

Aujourd’hui elle explique clairement sa démarche par son souci d’infirmer totalement le message dont elle a été l’instrument.

La procédure

Parler de violences subies est toujours une épreuve pour les victimes, toujours douloureux, toujours difficile à plusieurs niveaux, et porter plainte encore plus.  Merci à Judith Godrèche d’avoir eu ce courage.

A la suite de la plainte, une enquête a été ouverte, conformément à la Dépèche du 26 février 2021 ( https://www.gazette-du-palais.fr/actualites-professionnelles/infractions-sexuelles-susceptibles-detre-prescrites-vers-louverture-systematique-dune-enquete-preliminaire/ ) confirmée par la Circulaire n° CRIM-2023-6/E1-22-03-2023 du Ministère de la Justice du 28 mars 2023 - § 1.3 :

«  Conformément à la dépêche du 26 février 2021 relative au traitement des infractions sexuelles susceptibles d'être prescrites, vous vous attacherez à ouvrir systématiquement une enquête même si les faits apparaissent a priori prescrits notamment afin de découvrir l'existence d'autres victimes pour lesquelles les faits ne seraient pas prescrits (et ainsi le cas échéant faire jouer, au bénéfice de la première victime, le mécanisme de la prescription prolongée, voire pour lesquelles seule l'enquête serait de nature à révéler des faits dont elles continueraient à souffrir. Ces directives apparaissent primordiales pour la protection des mineurs victimes. »

L’expérience du Parquet dans ce genre d’enquêtes, est qu’elles peuvent avoir des effets bénéfiques thérapeutiques, pour les victimes, et pour les coupables aussi. Il n’est donc jamais vain de les entreprendre.

Espérons qu’il en sera ainsi pour Judith Godrèche.

Rappel de nos revendications

Le principe d’intégrité physique exige que dans le domaine sexuel, rien ne soit imposé.

Or depuis 68 au moins, l’Occident vit sous une antienne binaire de liberté sexuelle (sexe = bien, non sexe= mal),  masquant la norme effective : «  homme = liberté sexuelle = bien, femme = à sa disposition, dire non = mal », qui donne une apparence de légitimité aux violences sexuelles contre les enfants (1).

Les adultes n’ont pas d’excuse pour se conforter dans ce binarisme imbécile. Ils n’ont aucune excuse pour avoir profité du slogan criminel : « Jouir sans entrave » sans le moindre début de questionnement moral à ce sujet …

Nous demandons (2) l’interdiction de toute relation d’un adulte avec un enfant mineur, (sauf cas exceptionnels entre adolescent’es du même âge à très peu près, sans violence, emprise, grooming (3)).

Nous demandons l’obligation d’assurer partout et suffisamment, la mise à disposition des enfants et adolescents, des services publics nécessaires à leur information et à leur mise en  sécurité d’urgence en cas de (risque de) violence physique : enseignants, infirmerie scolaire, bibliothèques scolaires, pédiatres, gynécologues, juges spécialisés, refuges …

Nous demandons l’obligation de signaler, la protection de l’enfant qui a dévoilé et des signalants,  et que nulle poursuite ou mise en cause de responsabilité ne puisse être intentée contre eux.

Les enfants doivent être rassurés et savoir où trouver de l’aide , soit quand ils ressentent un malaise quelconque face à un adulte ou savent être victimes de violences, soit quand ils s’inquiètent au sujet de ce qu’ils éprouvent eux-mêmes, soit quand ils cherchent des informations médicales. Les plus grands doivent apprendre que le principe d’intégrité physique exige que, dans le domaine sexuel, rien ne soit imposé.

Pour permettre aux plus petits de détecter les conduites anormales d’adultes envers eux, et favoriser l’inclusivité parmi les plus grands, l’enseignement des bases de la politesse, des bonnes manières, des  vertus de bonté et de gentillesse, est suffisant.  Les adolescents ont surtout besoin de savoir que l’on peut toujours être heureux, aussi queer/zarbi que l’on soit, dès lors que l’on cultive ces deux vertus.

La conception actuelle (celle de l’ONU) de l’éducation sexuelle, consiste à imposer aux enfants des représentations sexuelles explicites, qui sont autant d’effractions sexuelles, autant d’ attentats à la pudeur. Ceci est en contradiction évidente  avec le principe d’intégrité physique et psychique.  Aussi nous demandons l’interdiction de cette forme d’éducation sexuelle.

 

Cercle d’Etude de Réformes Féministes    15 février 2024.

 

.(1) La norme effective, par sa dissymétrie, est le contraire du droit, du moins tel que le définit l’article 4 de la Déclaration de 1789 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits ».

(2) NB : Nos revendications sont présentées ici sous une forme schématique, et non comme proposition de loi.

(3) « Grooming » : Approcher un enfant (par internet par ex) en dissimulant l’intention de l’agresser sexuellement ; il s’agit d’une infraction dans plusieurs législations anglo-saxonnes.


mercredi 15 février 2023

mycyclestory.com : aux USA aussi les femmes "vaccinées" ont des troubles du cycle ...

 

  Tiffany Parotto 




Alors que le covid peut être traité par des médicaments anciens, dont les contre indications sont connues et par conséquent la prescription par des médecins sans aucun danger,

Alors que la prescription de ces médicaments a été entravée et les médecins et pharmaciens la permettant ont été attaqués par les Etats de nombreux pays, au moment même où il était nécessaire pour autoriser des nouveaux produits non testés selon les protocoles normaux, de prétendre qu'il n'aurait pas existé de traitement médicamentaux ou autres, 

Alors que les dangers des produits présentés comme vaccinaux ont été annoncés par leurs concepteurs eux-mêmes, en particulier l'inventeur de la technique de l'injection d'Arnmessager, et plusieurs prix nobel de médecine : Pr Luc Montagnier, Pr Levitt, Pr Satoshi Omura, 

Nombre de femmes dans le monde subissent des troubles du cycle, et des avortements spontanés, à la suite de l'injections des produits présentés comme vaccins contre le covid.

En France, l'association " Ou est mon cycle ? ", fondées par des jeunes femmes souffrant de ces effets, est censurée et salie par la presse. 

Aux USA, l'association " My Cycle Story ", " Mon histoire de cycle", a initié une étude scientifique de ces effets. 

Lire ici : 

https://mycyclestory.com

L'étude est ici : 

https://www.thegms.co/publichealth/pubheal-ra-22041401.pdf


L'initiatrice de l'association,Tiffany Parotto, est interviewée ici par un médecin américain : 


https://odysee.com/@drsyedhaider:e/tiffany-parotto-on-fertility-and-the:5







 




mardi 19 juillet 2022

Emmanuel Darles : Livre sur les mesures anticovid subies par les enfants


A lire d'urgence par tous les parents.

 



Livre terrible sur les souffrances des enfants, infligées sciemment ou par négligence inexcusable par les adultes.

Livre pouvant être commandé par le site de l'auteure : emmanuelle.darles.fr

Existe aussi en Ebook 


Présentation de l'auteure par elle même :

Quelques mots sur moi

Comme je n’aime pas parler de moi, je vais faire court.

Je suis enseignante-chercheuse et Docteure d’Etat en Informatique spécialisée en simulation numérique et modélisation. Maman de deux jeunes enfants.

Depuis septembre 2020, je m’interroge et j’analyse les chiffres disponibles dans les bases de données officielles afin de mettre en lumière l’impact des mesures sanitaires sur les enfants et les adolescents. A ce titre, nous avons produit différentes études avec Vincent Pavan, (enseignant-chercheur à l’Université d’Aix Marseille) à la demande d’avocats et de plusieurs collectifs afin de déceler des signaux d’alerte concernant les mesures gouvernementales sur la santé des enfants (masques, vaccins Covid19)

Nous avons été auditionné durant la commission d’enquête parlementaire sur les effets secondaires.

Membre permanent du Conseil Scientifique Indépendant créé en janvier 2021 par la Coordination Santé Libre et porté par les voix des Docteurs Louis Fouché et Eric Menat, j’oeuvre donc avec ma plus grande ferveur pour que les intérêts supérieurs des enfants soient préservés dans cette crise sanitaire. 


dimanche 17 juillet 2022

Par "OU est mon Cycle ? " : réponse à Libération

 

Le journal Libération a publié sur l'association de victimes des "vaccins anti covid" "Ou est mon cycle ?", un article particulièrement abject envers des victimes qui tentent de trouver de l'aide, comme il y a quelques décennies, les victimes du VIH l'avaient fait. 

Nous souhaitons les soutenir en copiant ici la réponse de l'association "OU est mon cycle" à ce journal.

Collectif « Où est mon cycle ? »

Communique de presse

 14.07.2022

 Réponse au « Check News » de Elsa de la Roche Saint-André paru dans Libération du 09.07.2022

 

https://www.liberation.fr/checknews/comment-ou-est-mon-cycle-collectif-covidosceptique-sest-fait-une- place-parmi-les-interlocuteurs-de-lansm-20220709_6CDC6BKAQNBLFOFA4UCFVNPLJY/

https://www.ouestmoncycle.com/

 

 

Droit de réponse : le déni de souffrance est un déni d’humanité.

Cet article du 9 juillet consacré à l’association « Où est mon cycle » nous a interpellé à plus d’un titre sur la manière de traiter l’information par votre journal.

En effet, plutôt de que d’effectuer une analyse objective des raisons d’être du collectif, de ses objectifs et du sens profond de son message, l’autrice a principalement remis en question la personnalité des acteurs derrière ce collectif, en termes souvent douteux et partiaux.

L’article se perd également en long et en large dans une recherche poussée des liens entretenus par le collectif et sa créatrice, Mélodie Féron, avec des figures de la sphère dite « complotiste » ou

« anti-vax », n’hésitant d’ailleurs pas au passage à décrédibiliser ou tourner en ridicule, à tort ou à raison, certaines de ces liaisons.

C’est une technique : détourner l’attention sur les personnes, les liens… plutôt que traiter le fond du sujet : « Qui est cette association qui veut faire entendre sa voix ? »

En effet, Mélodie Féron et toutes celles qui apportent leurs témoignages à l’Association n’avaient strictement aucun lien avec les mouvements « covido-sceptiques » ou « anti-vax ».

Que du contraire ! Ces femmes se sont toutes fait vacciner en toute confiance ! ! ! Elles ont écouté et suivi le message des autorités ! Se voir assimilées à des « complotistes » ou des « anti-vax » a dû s’en faire étrangler plus d’une.

Car c’est, dûment vaccinées (!), quand leurs symptômes sont apparus et qu’elles ont demandé aux instances médicales et scientifiques de prendre en compte leur situation de santé qu’elles se sont heurtées à un déni total de ce qu’elles vivaient.

Leurs demandes d’analyses et d’expertises scientifiques sont systématiquement refusées.

 

Comment faire autrement alors pour se faire entendre que de chercher de l’aide auprès des personnes qui acceptent de vous écouter et de relayer votre message ?

Et c’est ainsi que des citoyennes, uniquement demandeuses de vérité et d’expertise scientifique, se voient assimilées aux sphères « complotistes ».

Il est facile aussi de critiquer les manquements juridiques et autres de l’Association, qui sont réels, mais qui illustrent bien l’inexpérience de ces femmes propulsées malgré elles sous les projecteurs et obligées de jouer des rôles auxquelles elles ne s’attendaient pas.

« Où est mon cycle » rassemble déjà plus de 5000 témoignages de femmes attestant de troubles de leur cycle menstruel suite à la vaccination contre la Covid-19. Des femmes jeunes et moins jeunes qui attestent de leur situation dans une procédure encadrée juridiquement.

Elles n’ont rien à gagner de s’exposer ainsi publiquement. Elles se sentent seules, oubliées face à leurs maux, ignorées par la médecine qui, tout en tentant de les soigner, traîne des pieds à ne fut- ce qu’envisager d’en rechercher la causalité.

 

Elles sont négligées et raillées par la presse qui préfère utiliser des amalgames douteux, de traiter des gens vaccinés d’anti-vax plutôt que de s'intéresser au fond du problème.

Mélodie Feron ne fait rien d'autre que d'offrir un espace d'expression et de témoignage à ces femmes en détresse et qu’on ne veut pas entendre. Le nombre de témoignages, et l'intérêt suivi des réseaux sociaux pour ceux-ci, laisse présager d’un problème d'une ampleur largement sous- estimée, et qui dépasse nos frontières.

Il serait donc juste et normal que nos institutions (ANSM, Sénat, Parlement européen) se saisissent de ce sujet sensible, et entament une analyse approfondie et un débat transparent. C’est leur devoir démocratique envers les citoyens et les citoyennes.

Face à une campagne de vaccination inédite par ses proportions, par sa technologie novatrice, par sa répétition effrénée d’injections, par sa durée jamais vue auparavant, il n'y a rien de complotiste à vouloir entendre et prendre en considération attentivement la parole de ces nombreuses femmes. L’avantage est évident : permettre à ce sujet vital un débat neutre et ouvert.

Dans un contexte où cette même vaccination nous montre ses faiblesses face aux transmissions et aux infections, qu’elle n’est pas sans conséquences sur notre santé, il est plus que temps de remettre la balance bénéfices/risques individuelle au cœur du débat démocratique.

Le déni de souffrance est un déni d’humanité !  "

samedi 2 juillet 2022

Appel du Dr Robert Malone, inventeur du vaccin a ARNmessager, à NE PAS VACCINER LES ENFANTS

 


Transcription de la déclaration du Dr Malone :

Je m'appelle Robert Malone. Je suis un médecin et scientifique, mais plus important encore, je suis père et grand-père. Je n'ai pas l'habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m'assurer que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts.

Je m'en tiens à cette déclaration, car j'ai consacré ma carrière à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J'ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses. Voilà mon message :

Avant de faire injecter votre enfant - une décision qui est irréversible - je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j'ai créée.

Il y a trois points essentiels que les parents doivent comprendre avant de prendre cette décision irrévocable.

Le premier est qu'un gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène oblige l'organisme de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes critiques des enfants. Ces organes comprennent leur cerveau et leur système nerveux, leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris des caillots sanguins, le système reproducteur. Et le plus important : ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire.

Le point le plus alarmant à ce sujet est qu'une fois que ces dommages ont eu lieu, ils sont irréparables. Ils ne peuvent pas être inversés. Vous ne pouvez pas réparer les lésions à l'intérieur de leur cerveau. Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque. Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé, et ce vaccin peut causer des dommages du système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n'a pas été testée de manière adéquate. Nous avons besoin d'au moins 5 ans de tests et de recherches avant que nous puissions réellement comprendre les risques associés à cette nouvelle technologie. Les effets néfastes et les risques des nouveaux médicaments sont souvent révélés des années plus tard seulement. Posez-vous s’il vous plaît, en tant que parent, cette question : voulez-vous que votre propre enfant fasse partie de l'expérience la plus radicale de l'histoire de l'humanité ?

Un dernier point : la raison qu'ils vous donnent pour vacciner votre enfant est un mensonge. Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents. C'est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir reçu le Covid, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.

Enfin, en résumé, il n'y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les vacciner contre le faible risque du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de la vie.

L'analyse bénéfice-risque n’est absolument pas favorable à ces vaccins s’agissant des enfants. En tant que parent et grand-parent, je vous recommande vivement de résister et de vous battre pour protéger vos enfants.

La Source du Mal : l'obéissance inconditionnelle

 

" JE N'AI FAIT QU'OBÉIR AUX ORDRES " déclare Eichmann à ses juges

Le Monde

Publié le 08 juillet 1961 à 00h00 - Mis à jour le 08 juillet 1961 à 00h00 

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