Christine de Pisan

Christine de Pisan

samedi 18 octobre 2025

la chasse aux juifs en France avec la collaboration de certaines féministes

En refusant l'accès aux femmes venues témoigner des violences sexistes du  7 octobre et en hurlant " pas de sionistes dans nos manifs", certaines féministes françaises collaborent à la chasse aux juifs ouverte désormais en France. 

Voici l'adresse URL décrivant les atrocités volontairement commises par des fanatiques de Gaza, qui exécutent également des arabophones ne partageant pas leur fanatisme : 

Etant donné le caractère terriblement atroce des documents montrés sur ce site, nous ne mettons pas de lien direct, et nous avertissons que ces images et vidéos ne doivent pas être montrés à des mineurs ni a des personnes à la santé fragile 

https://www.october7files.com/#story

Nous rappelons qu'un génocide antijuif est annoncé par la Sunna, et qu'un génocide est la volonté d'exterminer un peuple en fonction de la généalogie ou génétique, et consiste à rechercher à tuer toutes les personnes de ce peuple.

Accuser sans preuve les juifs ou les israeliens juifs de génocide est une forme de négationisme et une incitation a la chasse aux juifs et un encouragement au génocide annoncé par la sunna.

Cercle d'Etude de Réformes Féministes


Condoléance au veuf et père de Shiri, Ariel et Kfir, bébé mort étranglé à main nues par un "animal humain" parce qu'ils étaient "yaoud".





Information de Mila concernant un Tchtchène résidant en France : A DIFFUSER

 CERF

Présentation du communiqué de Mila et de son père.

Nous présentons aujourd’hui l’appel de Mila concernant un homme tchétchéne chez qui des préparatifs d’assassinat de Mila ont été trouvés et malgré cela, le procureur a proposé un non lieu.

Nous appelons la Justice française à poursuivre l’auteur de ces préparatifs assasins.

Nous rappelons que notre association lutte pour les droits des femmes et des enfants, contre l’homophobie, contre le racisme et l’antisémitisme, donc contre la haine envers les musulmans c’est-à-dire contre la musulmanophobie.

Nous rappelons que chaque personne humaine a son libre arbitre et qu’il ne saurait y avoir de jugement globalisant au sujet d’une population identifiée par telle ou telle caractéristique.

Nous rappelons que, contrairement aux affirmation des théories postmodernistes, il n’y a aucune forme d’erreur ni d’insinuation d’incitation à la haine, dans l’analyse de textes normatifs ou descriptifs, quels qu’ils soient, traitant ou pas du surnaturel.

Nous rappelons également qu’actuellement, la Tchétchenie est un pays en paix, dont la capitale Grozny, a été entièrement reconstruite, membre de la Fédération de Russie, dont il est évident qu’aucun ressortissant ne nécessite le statut de réfugié de guerre.

Nous rappelons que nous nous sommes déjà portées partie civile dans un des procès en 2021 contre des personnes ayant menacé Mila de mort et violences variées, par les réseaux sociaux, lorsqu’elle était encore mineure et se défendait contre  des insultes homophobes, misogynes.

18 octobre 2025


APPEL DE MILA ET DE SON PERE :


Wally 38   

@WallyWally38

Merci de partager massivement, je suis le papa de Mila et je ne peux me résoudre à laisser ce procureur classer cette affaire, les juges en charge de ce dossier nous avaient demandé de ne pas médiatiser cette affaire pour instruire sereinement  Pour quel résultat 

Mila 

@milafique

Ce TERRORISTE veut MA MORT. La justice ferme les yeux, et je refuse de garder le silence.  





Transcription : 

Aujourd’hui,  je vais vous expliquer la gense d’un attentat terroriste sur le sol français.
Je vais vous expliquer o se trouve la faille béante de notre pays. Cette faiblesse qui est à elle seule permet que le sang d’innocents coule sur notre sol.
Je vais vous parler du prénommé Said Khoussen Musliminovitch A. de nationalité tchétchène. 
Cet individu qui propage l’idéologie de l’Etat isamique sur les réseaux sociaux tenat des discours glorifiant le terrorisme, possède des livres relifieux d’une radicalité extrême, un guide du prisonnier, et des objets ornés de la symbolique de Daesh ..
Il a refusé obstinément de livrer le code de son téléphone protégé par une sécurité renforcée pour essayer de cacher ses secrets, jongle avec 22 adresses mail, 6 fournisseurs et une dizaine de pseudos sur 5 réseaux sociaux, comme un fantôme numérique.
J’ai pas fini.
Collectionne des photos et des vidéos liées à l’Etat islamique, fasciné entre autres par des scènes de décapitation, maintient des liens avec des individus dans des actes terroristes en zone irako-syrienne, malgré un soi-disant contrôle judiciaire.
Et j’ai toujours pas fini.
A été en contact avec l’assassin de Samuel Paty, Abdullakh Anzarov, est signalé dans une note récent du Ministère de l’Intérieur, comme une menace d’une particulière gravité pour la sécurité et l’ordre public, en lien régulier avec des personnes ou organisations incitant au terrorisme, appelle les Moudjadihin de France à devenir des martyrs en s’en prenant à moi pour avoir soi-disant insulté Allah,
et si nous savons tout cela, c’est bien parce que cet homme était déjà surveillé par les services du renseignement avant même qu’il ne m’attaque, pour ses multiples publications glorifiant le djihadisme et l’Etat islamique, 
la DGSI l’a formellement identifié comme l’utilisateur de comptes et canaux liés à l’Etat islamique et comme l’auteur de menaces directes contre moi avec un plan en préparation pour me tuer.
Les perquisitions menées par le raid , les interrogatoires et l’analyse de son téléphone dont le code a finalement été forcé, ont révélé un profil d’une dangerosité glaçante .
Tout le monde sait, tout le monde a fait son travail, tout le monde voit la menace. Les services de renseignement , le raid et la sous-direction antiterroriste , la police judiciaire de Reims, ainsi que mes avocats Richard Malka et Marine Viegas qui se battent sans relâche. 
Tout le monde sait ?
Ha non, pas tout à fait ..
Le procureur du Tribunal de Chaumont, en Haute-Marne, vient de proposer un non-lieu ..
Oui vous avez bien entendu, 
Face à ce dossier explosif, peut-être trop explosif pour un petit tribunal de Province, la justice choisit de fermer les yeux, 
Hier à peine, nous commémorions l’assassinat de Samuel Paty, ce professeur exemplaire décapité le 16 octobre 2020 pour avoir simplement fait son métier, c’est-à-dire :  enseigné la liberté d’expression  à ses élèves, 
Cinq ans déjà, 5 ans de deuil national, de promesses solennelles, de discours larmoyants du « plus jamais ça » , et rien, absolument rien n’a changé , nous avons affaire au même type de profil, que ceux qui ont assassiné Samuel Paty, Dominique Bernard et tant d’autres.
Même parcours migratoire, mêmes origines, mêmes âges, mêmes sphères islamisées, mêmes contacts djihadistes, mêmes signaux d’alertes, n’avons-nous donc rien appris ? 
Les mêmes ombres radicales rôdent dans nos rues,  les mêmes liens mortifères avec des assassins comme Abdullah Anzarov,  persistent, et voilà qu’on oserait proposer un non-lieu pour un individu, aussi déterminé et dangereux ?
Par ailleurs, sa famille avait même demandé la naturalisation française à l’époque. 
J’ose espérer qu’elle n’ait jamais été accordé depuis. 
Combien de vies faudra-t-il sacrifier avant qu’on réagisse ?
C’est révoltant, exaspérant, insupportable !
Mais cette décision n’est pas encore dénitive.
Faisons du bruit.
Mobilisons nous.
Car il est hors de question de laisser encore la Justice sacrifier nos vies. 




samedi 17 février 2024

Communiqué de presse 18 février 2024 Affaire Godrèche contre Jacquot

 


Cercle d’Etude de Réformes Féministes

Communiqué de presse - 18 février 2024

Affaire Godrèche contre Jacquot :

Les faits comme leur déni étaient flagrants.

 

La Justice et les enfants peuvent remercier l’actrice Judith Godrèche d’avoir enfin porté plainte contre le metteur en scène Benoit Jacquot.

 

Les faits

Une partie au moins des faits majeurs dans l’affaire Jacquot ont été flagrants, pendant des années, pour toutes les personnes s’intéressant aux artistes du cinéma.

Le déni de la gravité de ces faits n’en est que plus terrible.  Le déni est toujours une violence supplémentaire.  Dans le cas de Judith Godrèche il l’est doublement.

Car Judith Godrèche est de plus victime d’avoir servi de publicité pour l’incestuel, pour les violences sexuelles envers les adolescent’es par des adultes.

Aujourd’hui elle dit la réalité, très violente, derrière le glamour apparent que le monde du cinéma de l’époque a produit en l’exploitant.

Aujourd’hui elle explique clairement sa démarche par son souci d’infirmer totalement le message dont elle a été l’instrument.

La procédure

Parler de violences subies est toujours une épreuve pour les victimes, toujours douloureux, toujours difficile à plusieurs niveaux, et porter plainte encore plus.  Merci à Judith Godrèche d’avoir eu ce courage.

A la suite de la plainte, une enquête a été ouverte, conformément à la Dépèche du 26 février 2021 ( https://www.gazette-du-palais.fr/actualites-professionnelles/infractions-sexuelles-susceptibles-detre-prescrites-vers-louverture-systematique-dune-enquete-preliminaire/ ) confirmée par la Circulaire n° CRIM-2023-6/E1-22-03-2023 du Ministère de la Justice du 28 mars 2023 - § 1.3 :

«  Conformément à la dépêche du 26 février 2021 relative au traitement des infractions sexuelles susceptibles d'être prescrites, vous vous attacherez à ouvrir systématiquement une enquête même si les faits apparaissent a priori prescrits notamment afin de découvrir l'existence d'autres victimes pour lesquelles les faits ne seraient pas prescrits (et ainsi le cas échéant faire jouer, au bénéfice de la première victime, le mécanisme de la prescription prolongée, voire pour lesquelles seule l'enquête serait de nature à révéler des faits dont elles continueraient à souffrir. Ces directives apparaissent primordiales pour la protection des mineurs victimes. »

L’expérience du Parquet dans ce genre d’enquêtes, est qu’elles peuvent avoir des effets bénéfiques thérapeutiques, pour les victimes, et pour les coupables aussi. Il n’est donc jamais vain de les entreprendre.

Espérons qu’il en sera ainsi pour Judith Godrèche.

Rappel de nos revendications

Le principe d’intégrité physique exige que dans le domaine sexuel, rien ne soit imposé.

Or depuis 68 au moins, l’Occident vit sous une antienne binaire de liberté sexuelle (sexe = bien, non sexe= mal),  masquant la norme effective : «  homme = liberté sexuelle = bien, femme = à sa disposition, dire non = mal », qui donne une apparence de légitimité aux violences sexuelles contre les enfants (1).

Les adultes n’ont pas d’excuse pour se conforter dans ce binarisme imbécile. Ils n’ont aucune excuse pour avoir profité du slogan criminel : « Jouir sans entrave » sans le moindre début de questionnement moral à ce sujet …

Nous demandons (2) l’interdiction de toute relation d’un adulte avec un enfant mineur, (sauf cas exceptionnels entre adolescent’es du même âge à très peu près, sans violence, emprise, grooming (3)).

Nous demandons l’obligation d’assurer partout et suffisamment, la mise à disposition des enfants et adolescents, des services publics nécessaires à leur information et à leur mise en  sécurité d’urgence en cas de (risque de) violence physique : enseignants, infirmerie scolaire, bibliothèques scolaires, pédiatres, gynécologues, juges spécialisés, refuges …

Nous demandons l’obligation de signaler, la protection de l’enfant qui a dévoilé et des signalants,  et que nulle poursuite ou mise en cause de responsabilité ne puisse être intentée contre eux.

Les enfants doivent être rassurés et savoir où trouver de l’aide , soit quand ils ressentent un malaise quelconque face à un adulte ou savent être victimes de violences, soit quand ils s’inquiètent au sujet de ce qu’ils éprouvent eux-mêmes, soit quand ils cherchent des informations médicales. Les plus grands doivent apprendre que le principe d’intégrité physique exige que, dans le domaine sexuel, rien ne soit imposé.

Pour permettre aux plus petits de détecter les conduites anormales d’adultes envers eux, et favoriser l’inclusivité parmi les plus grands, l’enseignement des bases de la politesse, des bonnes manières, des  vertus de bonté et de gentillesse, est suffisant.  Les adolescents ont surtout besoin de savoir que l’on peut toujours être heureux, aussi queer/zarbi que l’on soit, dès lors que l’on cultive ces deux vertus.

La conception actuelle (celle de l’ONU) de l’éducation sexuelle, consiste à imposer aux enfants des représentations sexuelles explicites, qui sont autant d’effractions sexuelles, autant d’ attentats à la pudeur. Ceci est en contradiction évidente  avec le principe d’intégrité physique et psychique.  Aussi nous demandons l’interdiction de cette forme d’éducation sexuelle.

 

Cercle d’Etude de Réformes Féministes    15 février 2024.

 

.(1) La norme effective, par sa dissymétrie, est le contraire du droit, du moins tel que le définit l’article 4 de la Déclaration de 1789 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits ».

(2) NB : Nos revendications sont présentées ici sous une forme schématique, et non comme proposition de loi.

(3) « Grooming » : Approcher un enfant (par internet par ex) en dissimulant l’intention de l’agresser sexuellement ; il s’agit d’une infraction dans plusieurs législations anglo-saxonnes.


mercredi 15 février 2023

mycyclestory.com : aux USA aussi les femmes "vaccinées" ont des troubles du cycle ...

 

  Tiffany Parotto 




Alors que le covid peut être traité par des médicaments anciens, dont les contre indications sont connues et par conséquent la prescription par des médecins sans aucun danger,

Alors que la prescription de ces médicaments a été entravée et les médecins et pharmaciens la permettant ont été attaqués par les Etats de nombreux pays, au moment même où il était nécessaire pour autoriser des nouveaux produits non testés selon les protocoles normaux, de prétendre qu'il n'aurait pas existé de traitement médicamentaux ou autres, 

Alors que les dangers des produits présentés comme vaccinaux ont été annoncés par leurs concepteurs eux-mêmes, en particulier l'inventeur de la technique de l'injection d'Arnmessager, et plusieurs prix nobel de médecine : Pr Luc Montagnier, Pr Levitt, Pr Satoshi Omura, 

Nombre de femmes dans le monde subissent des troubles du cycle, et des avortements spontanés, à la suite de l'injections des produits présentés comme vaccins contre le covid.

En France, l'association " Ou est mon cycle ? ", fondées par des jeunes femmes souffrant de ces effets, est censurée et salie par la presse. 

Aux USA, l'association " My Cycle Story ", " Mon histoire de cycle", a initié une étude scientifique de ces effets. 

Lire ici : 

https://mycyclestory.com

L'étude est ici : 

https://www.thegms.co/publichealth/pubheal-ra-22041401.pdf


L'initiatrice de l'association,Tiffany Parotto, est interviewée ici par un médecin américain : 


https://odysee.com/@drsyedhaider:e/tiffany-parotto-on-fertility-and-the:5







 




mardi 19 juillet 2022

Emmanuel Darles : Livre sur les mesures anticovid subies par les enfants


A lire d'urgence par tous les parents.

 



Livre terrible sur les souffrances des enfants, infligées sciemment ou par négligence inexcusable par les adultes.

Livre pouvant être commandé par le site de l'auteure : emmanuelle.darles.fr

Existe aussi en Ebook 


Présentation de l'auteure par elle même :

Quelques mots sur moi

Comme je n’aime pas parler de moi, je vais faire court.

Je suis enseignante-chercheuse et Docteure d’Etat en Informatique spécialisée en simulation numérique et modélisation. Maman de deux jeunes enfants.

Depuis septembre 2020, je m’interroge et j’analyse les chiffres disponibles dans les bases de données officielles afin de mettre en lumière l’impact des mesures sanitaires sur les enfants et les adolescents. A ce titre, nous avons produit différentes études avec Vincent Pavan, (enseignant-chercheur à l’Université d’Aix Marseille) à la demande d’avocats et de plusieurs collectifs afin de déceler des signaux d’alerte concernant les mesures gouvernementales sur la santé des enfants (masques, vaccins Covid19)

Nous avons été auditionné durant la commission d’enquête parlementaire sur les effets secondaires.

Membre permanent du Conseil Scientifique Indépendant créé en janvier 2021 par la Coordination Santé Libre et porté par les voix des Docteurs Louis Fouché et Eric Menat, j’oeuvre donc avec ma plus grande ferveur pour que les intérêts supérieurs des enfants soient préservés dans cette crise sanitaire. 


dimanche 17 juillet 2022

Par "OU est mon Cycle ? " : réponse à Libération

 

Le journal Libération a publié sur l'association de victimes des "vaccins anti covid" "Ou est mon cycle ?", un article particulièrement abject envers des victimes qui tentent de trouver de l'aide, comme il y a quelques décennies, les victimes du VIH l'avaient fait. 

Nous souhaitons les soutenir en copiant ici la réponse de l'association "OU est mon cycle" à ce journal.

Collectif « Où est mon cycle ? »

Communique de presse

 14.07.2022

 Réponse au « Check News » de Elsa de la Roche Saint-André paru dans Libération du 09.07.2022

 

https://www.liberation.fr/checknews/comment-ou-est-mon-cycle-collectif-covidosceptique-sest-fait-une- place-parmi-les-interlocuteurs-de-lansm-20220709_6CDC6BKAQNBLFOFA4UCFVNPLJY/

https://www.ouestmoncycle.com/

 

 

Droit de réponse : le déni de souffrance est un déni d’humanité.

Cet article du 9 juillet consacré à l’association « Où est mon cycle » nous a interpellé à plus d’un titre sur la manière de traiter l’information par votre journal.

En effet, plutôt de que d’effectuer une analyse objective des raisons d’être du collectif, de ses objectifs et du sens profond de son message, l’autrice a principalement remis en question la personnalité des acteurs derrière ce collectif, en termes souvent douteux et partiaux.

L’article se perd également en long et en large dans une recherche poussée des liens entretenus par le collectif et sa créatrice, Mélodie Féron, avec des figures de la sphère dite « complotiste » ou

« anti-vax », n’hésitant d’ailleurs pas au passage à décrédibiliser ou tourner en ridicule, à tort ou à raison, certaines de ces liaisons.

C’est une technique : détourner l’attention sur les personnes, les liens… plutôt que traiter le fond du sujet : « Qui est cette association qui veut faire entendre sa voix ? »

En effet, Mélodie Féron et toutes celles qui apportent leurs témoignages à l’Association n’avaient strictement aucun lien avec les mouvements « covido-sceptiques » ou « anti-vax ».

Que du contraire ! Ces femmes se sont toutes fait vacciner en toute confiance ! ! ! Elles ont écouté et suivi le message des autorités ! Se voir assimilées à des « complotistes » ou des « anti-vax » a dû s’en faire étrangler plus d’une.

Car c’est, dûment vaccinées (!), quand leurs symptômes sont apparus et qu’elles ont demandé aux instances médicales et scientifiques de prendre en compte leur situation de santé qu’elles se sont heurtées à un déni total de ce qu’elles vivaient.

Leurs demandes d’analyses et d’expertises scientifiques sont systématiquement refusées.

 

Comment faire autrement alors pour se faire entendre que de chercher de l’aide auprès des personnes qui acceptent de vous écouter et de relayer votre message ?

Et c’est ainsi que des citoyennes, uniquement demandeuses de vérité et d’expertise scientifique, se voient assimilées aux sphères « complotistes ».

Il est facile aussi de critiquer les manquements juridiques et autres de l’Association, qui sont réels, mais qui illustrent bien l’inexpérience de ces femmes propulsées malgré elles sous les projecteurs et obligées de jouer des rôles auxquelles elles ne s’attendaient pas.

« Où est mon cycle » rassemble déjà plus de 5000 témoignages de femmes attestant de troubles de leur cycle menstruel suite à la vaccination contre la Covid-19. Des femmes jeunes et moins jeunes qui attestent de leur situation dans une procédure encadrée juridiquement.

Elles n’ont rien à gagner de s’exposer ainsi publiquement. Elles se sentent seules, oubliées face à leurs maux, ignorées par la médecine qui, tout en tentant de les soigner, traîne des pieds à ne fut- ce qu’envisager d’en rechercher la causalité.

 

Elles sont négligées et raillées par la presse qui préfère utiliser des amalgames douteux, de traiter des gens vaccinés d’anti-vax plutôt que de s'intéresser au fond du problème.

Mélodie Feron ne fait rien d'autre que d'offrir un espace d'expression et de témoignage à ces femmes en détresse et qu’on ne veut pas entendre. Le nombre de témoignages, et l'intérêt suivi des réseaux sociaux pour ceux-ci, laisse présager d’un problème d'une ampleur largement sous- estimée, et qui dépasse nos frontières.

Il serait donc juste et normal que nos institutions (ANSM, Sénat, Parlement européen) se saisissent de ce sujet sensible, et entament une analyse approfondie et un débat transparent. C’est leur devoir démocratique envers les citoyens et les citoyennes.

Face à une campagne de vaccination inédite par ses proportions, par sa technologie novatrice, par sa répétition effrénée d’injections, par sa durée jamais vue auparavant, il n'y a rien de complotiste à vouloir entendre et prendre en considération attentivement la parole de ces nombreuses femmes. L’avantage est évident : permettre à ce sujet vital un débat neutre et ouvert.

Dans un contexte où cette même vaccination nous montre ses faiblesses face aux transmissions et aux infections, qu’elle n’est pas sans conséquences sur notre santé, il est plus que temps de remettre la balance bénéfices/risques individuelle au cœur du débat démocratique.

Le déni de souffrance est un déni d’humanité !  "