Une auto-ecole est accusée par le MRAP de discrimination pour avoir interdit le port de tout couvre-chef et demandé en particulier à une femme d'enlever son voile.
Le CERF s'élève contre cette accusation totalement sans fondement et contraire aux principes fondamentaux de notre République.
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/elle-porte-le-voile-l-inscription-dans-une-auto-ecole-lui-est/920/0/274843
Cf l'article du Parisien :
HTTP://WWW.LEPARISIEN.FR/SEINE-SAINT-DENIS-93/PORT-DU-VOILE-PLAINTE-DU-MRAP-CONTRE-UNE-AUTO-ECOLE-17-09-2008-233256.PHP
SEINE SAINT-DENIS
Port du voile : plainte du MRAP contre une auto-école
17.09.2008,
Le MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples) a annoncé mercredi avoir saisi la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde) après qu'une jeune musulmane a été refoulée d'une auto-école de Seine-Saint-Denis parce qu'elle portait le voile. Il y a une semaine, XXXX, 26 ans, a demandé à s'inscrire à l'auto-école XXXX où on lui a répondu que «les tchadors» et «foulards» étaient «interdits» avant de lui conseiller de chercher une autre auto-école, a assuré à l'AFP cette Française d'origine maghrébine, mère de trois enfants, qui se dit «choquée» et «blessée».
Le moniteur qu'elle a rencontré a expliqué à l'AFP que son agence «n'interdit à personne de s'inscrire mais prévient les candidats que tous les couvre-chefs doivent être retirés dans la salle de code et en leçon de conduite». «On les informe, ça fait partie de notre règlement intérieur car on ne veut pas de signes distinctifs entre candidats, on veut que tout le monde soit à égalité», a-t-il ajouté en invoquant «la République». Il précise que «la religion n'entre pas en ligne de compte» et que l'auto-école «ne fait pas de discrimination raciale». Et d'ajouter que les couvre-chefs «peuvent aussi gêner au niveau de l'audition».
Dans le règlement intérieur baptisé «conditions générales», affiché dans le bureau de l'agence, il est exigé «une tenue correcte et adaptée» et le retrait des couvre-chefs suivants: «bonnet, turban, foulard, casquette». Pour le Mrap, la condition posée par l'auto-école constitue «un refus de service à caractère discriminatoire à raison de la religion», au titre des articles 225-1 et 225-2 du code pénal. L'association affirme qu'elle va déposer plainte dans les prochains jours auprès du parquet de Bobigny.
Leparisien.fr avec AFP
Christine de Pisan
vendredi 19 septembre 2008
mercredi 17 septembre 2008
La HALDE promeut la discrimination sexiste et enseigne des erreurs de droit !
La HALDE promeut la discrimination sexiste et enseigne des erreurs de droit !
Dans un journal distribué à l’ensemble des enfants de sixième en novembre 2007, la HALDE montre un dessin répresentant un homme, et une femme et une PETITE FILLE voilées, se présentant à une réception de camping, portant la légende « discrimination liée à la religion dans le domaine des biens et services privés » et mentionnant :
- parole de la réceptionniste : « le port du voile n’est pas autorisé ici »
- réponse de la femme voilée « leport du voile est interdit à l’école mais il est autorisé partout ailleurs ».
SANS HONTE, la HALDE promeut ainsi :
- une norme DISCRIMINATOIRE ENVERS LES FEMMES, celle qui leur enjoint de couvrir leur corps pour complaire aux présumés besoins physiques des hommes,
- un MAUVAIS TRAITEMENT ENVERS LES FILLETES, qui consiste à leur faire porter un vêtement inutile et gênant, et à avoir une représentation dégradée d’elles-mêmes.
Du point de vue juridique, la HALDE commet deux erreurs :
- la discrimination ne consiste pas à refuser une vente ou un service en raison de tout comportement « lié à la religion », mais en raison de « l’appartenance à une religion déterminée »,
Le code de la consommation permet de refuser un service ou une vente en raison d’un comportement abusif du consommateur dans les lieux commerciaux, y ocmpris lorsque ce comportement abusif est « lié à la religion. »
- la HALDE commet une erreur de droit majeure en étendant le champs d’une infraction pénale par un raisonnement à contrario en partant d’une interdiction civile : ceci est un raisonnement qui bafoue l eprincipe fondamental du droit pénal de la légalité des peines.
La HALDE raisonne comme si la loi de 2004 qui est une loi civile avait modifié la définition pénale d’un délit : un tel raisonnement est une aberration par rapport aux principes du droit pénal français.
Le raisonnement exact est celui-ci :
- la loi de 2004 a interdit le voile à l’école : en vertu du principe de liberté , le voile n’est donc pas interdit légalement ailleurs,
- en raison du même principe de liberté du commerce, il n’est nullement interdit à des commerçants ou employeurs d’interdire le port du voile dans leurs locaux, s’il leur parait incompatible avec un bon usage de ces lieux et en tenant compte notamment de la présence de personnes (autres clients, autres employés ou eux-mêmes) qui ne sont pas des musulmans.
Nous rappelons que le voile n’est pas uniquement un signe d’appartenance, mais le signe d’adhésion à la charia islamique et aux textes de l’islam, textes qui prônent la discrimination, l’exploitation et en certain cas la violence et la mise à mort envers certaines catégories de personnes, à raison du sexe et de l’appartenance philosophique ou religieuse.
Cette marque d’adhésion est un message d’une grave violence envers les catégories de personnes concernées.
En d’autres terme, la HALDE promeut sans l’ombre d’une honte, la promotion par le port du voile :
- du statut inférieur des femmes,
- de la mise à mort des gays concentants ou de l’enfermement à vie des lesbiennes
- du statut inférieur des juifs et des chrétiens,
- de la réduction en esclavage ou de la mise à mort des non musulmans autres que juifs ou chrétiens.
- le droit des membres de l’ « oumma » à traiter ainsi le reste de l’humanité.
Le texte de la HALDE sur son site est reproduit ci-dessous. Il est à noter l’impressionnant négationisme en matière de sexisme que constitue sa présentation de sa mission auprès des jeunes : ainsi pour elle, présenter des femmes soumises à la norme sexisme et abaissante du voile, et se faire le porte –parole des promoteurs de l’application de la charia ( et de ses autres normes sexistes), ce serait « combattre les stéréotypes qui sont à l’origine des discriminations » ….
Texte de la Halde :
La HALDE s’est associée aux éditions Play Bac pour un numéro spécial du journal « Mon Quotidien » sur la lutte contre les discriminations et la promotion de l’égalité.
En plus des abonnés, tous les élèves de 6ème, ainsi que leur professeurs d’histoire - géographie, recevront un exemplaire individuel de ce journal. Près de 680 000 exemplaires seront ainsi diffusés à partir du 23 novembre 2007.
Conçu pour permettre d’aborder le sujet en classe ou à la maison, cet outil pédagogique explique de manière concrète et illustrée les cas de discriminations et les moyens de recours, et présente des actions de prévention.
La sensibilisation en milieu scolaire est essentielle pour combattre les stéréotypes et les préjugés qui sont souvent à l’origine des discriminations, c’est pourquoi la HALDE a fait de l’éducation est un de ses thèmes prioritaires. Elle organise ainsi le 5 décembre à Marseille un colloque sur « la prévention des discriminations dans l’éducation et l’apprentissage », dans le cadre de l’année européenne de l’égalité des chances.
Reproduction du journal distribué aux enfants de 6ème :
http://www.halde.fr/IMG/pdf/Mon_quotidien_-_HALDE-2.pdf
voir page deux
Dans un journal distribué à l’ensemble des enfants de sixième en novembre 2007, la HALDE montre un dessin répresentant un homme, et une femme et une PETITE FILLE voilées, se présentant à une réception de camping, portant la légende « discrimination liée à la religion dans le domaine des biens et services privés » et mentionnant :
- parole de la réceptionniste : « le port du voile n’est pas autorisé ici »
- réponse de la femme voilée « leport du voile est interdit à l’école mais il est autorisé partout ailleurs ».
SANS HONTE, la HALDE promeut ainsi :
- une norme DISCRIMINATOIRE ENVERS LES FEMMES, celle qui leur enjoint de couvrir leur corps pour complaire aux présumés besoins physiques des hommes,
- un MAUVAIS TRAITEMENT ENVERS LES FILLETES, qui consiste à leur faire porter un vêtement inutile et gênant, et à avoir une représentation dégradée d’elles-mêmes.
Du point de vue juridique, la HALDE commet deux erreurs :
- la discrimination ne consiste pas à refuser une vente ou un service en raison de tout comportement « lié à la religion », mais en raison de « l’appartenance à une religion déterminée »,
Le code de la consommation permet de refuser un service ou une vente en raison d’un comportement abusif du consommateur dans les lieux commerciaux, y ocmpris lorsque ce comportement abusif est « lié à la religion. »
- la HALDE commet une erreur de droit majeure en étendant le champs d’une infraction pénale par un raisonnement à contrario en partant d’une interdiction civile : ceci est un raisonnement qui bafoue l eprincipe fondamental du droit pénal de la légalité des peines.
La HALDE raisonne comme si la loi de 2004 qui est une loi civile avait modifié la définition pénale d’un délit : un tel raisonnement est une aberration par rapport aux principes du droit pénal français.
Le raisonnement exact est celui-ci :
- la loi de 2004 a interdit le voile à l’école : en vertu du principe de liberté , le voile n’est donc pas interdit légalement ailleurs,
- en raison du même principe de liberté du commerce, il n’est nullement interdit à des commerçants ou employeurs d’interdire le port du voile dans leurs locaux, s’il leur parait incompatible avec un bon usage de ces lieux et en tenant compte notamment de la présence de personnes (autres clients, autres employés ou eux-mêmes) qui ne sont pas des musulmans.
Nous rappelons que le voile n’est pas uniquement un signe d’appartenance, mais le signe d’adhésion à la charia islamique et aux textes de l’islam, textes qui prônent la discrimination, l’exploitation et en certain cas la violence et la mise à mort envers certaines catégories de personnes, à raison du sexe et de l’appartenance philosophique ou religieuse.
Cette marque d’adhésion est un message d’une grave violence envers les catégories de personnes concernées.
En d’autres terme, la HALDE promeut sans l’ombre d’une honte, la promotion par le port du voile :
- du statut inférieur des femmes,
- de la mise à mort des gays concentants ou de l’enfermement à vie des lesbiennes
- du statut inférieur des juifs et des chrétiens,
- de la réduction en esclavage ou de la mise à mort des non musulmans autres que juifs ou chrétiens.
- le droit des membres de l’ « oumma » à traiter ainsi le reste de l’humanité.
Le texte de la HALDE sur son site est reproduit ci-dessous. Il est à noter l’impressionnant négationisme en matière de sexisme que constitue sa présentation de sa mission auprès des jeunes : ainsi pour elle, présenter des femmes soumises à la norme sexisme et abaissante du voile, et se faire le porte –parole des promoteurs de l’application de la charia ( et de ses autres normes sexistes), ce serait « combattre les stéréotypes qui sont à l’origine des discriminations » ….
Texte de la Halde :
La HALDE s’est associée aux éditions Play Bac pour un numéro spécial du journal « Mon Quotidien » sur la lutte contre les discriminations et la promotion de l’égalité.
En plus des abonnés, tous les élèves de 6ème, ainsi que leur professeurs d’histoire - géographie, recevront un exemplaire individuel de ce journal. Près de 680 000 exemplaires seront ainsi diffusés à partir du 23 novembre 2007.
Conçu pour permettre d’aborder le sujet en classe ou à la maison, cet outil pédagogique explique de manière concrète et illustrée les cas de discriminations et les moyens de recours, et présente des actions de prévention.
La sensibilisation en milieu scolaire est essentielle pour combattre les stéréotypes et les préjugés qui sont souvent à l’origine des discriminations, c’est pourquoi la HALDE a fait de l’éducation est un de ses thèmes prioritaires. Elle organise ainsi le 5 décembre à Marseille un colloque sur « la prévention des discriminations dans l’éducation et l’apprentissage », dans le cadre de l’année européenne de l’égalité des chances.
Reproduction du journal distribué aux enfants de 6ème :
http://www.halde.fr/IMG/pdf/Mon_quotidien_-_HALDE-2.pdf
voir page deux
Pendant qu'elles attaquent F.Truchelut, ni la Licra, ni la LDH, ni le MRAP n'agissent contre l'homophobie islamique !
Voici le texte gravement homophobe et incitant au meurtre que le net en français diffuse :
- sans la moindre réaction des associations pseudos anti-racistes qui attaquent Fanny Truchelut,
- sans la moindre réaction de la Halde, qui s'empresse de faire la promotion du port du voile auprès des élèves de 6eme,
- et sans la moindre réaction pour l'instant des organisations gays et lesbiennes, que nous nous empressons d'alerter ...
Il est important de noter que auteurs cités par cet avis (cette "fatwa"), ne sont pas des auteurs mineurs ou "islamistes" mais les fondateurs des principales écoles sunnites, c'est à dire, les auteurs principaux de la jurisprudence islamique.
La "sunna" dont est extrait le "hadith" cité étant elle meme la deuxieme source de droit musulman.
Ce texte n'est donc pas une expression venant d'une secte "islamistes", mais bien la théorie de l'islam classique, orthodoxe lui-même.
Et pendant ce temps là ... notre justice est sommée par les pseudos antiracistes entre autres de poursuivre une femme, Fanny Truchelut, qui n'a fait qu'appliquer son devoir d'hotesse d'organiser la convivialité dans son gite rural.
Le C.E.R.F.
http://reformesfeministes.blogspot.com
http://c-e-r-f.org
le.cerf@laposte.net
-----------------------------------------------------------------------------
http://www.islam-qa.com/fr/ref/2104
L’attitude des musulmans à l’égard des homosexuels
Question : Je suis actuellement en train d’effectuer sur l’oppression des homosexuels dans le contient asiatique et notamment en Malaisie et j’espère que vous voudrez bien répondre à mes questions que voici:
1.Comment traite-t-on les homosexuels musulmans et non musulmans en Malaisie?
2.Quelle est la peine maximale qui leur est appliquée?
3.Quelle est le degré de compréhension de la société pour l’homosexualité?
4.L’homosexualité est-elle légalement permise ?
Réponse:
Louange à Allah
Nous ne sommes pas renseignés sur la situation de l’homosexualité en Malaisie. Mais nous présumons que ce peuple musulman nourrit de la répugnance à l’égard de cette pratique sale. Car l’Islam qu’ils ont choisi pour religion l’interdit vigoureusement et lui réserve une très dure peine ici-bas et dans l’au-de là.Comment pouvait-il en être autrement alors que le Prophète de l’Islam (bénédiction et salut soient sur lui) déclare: « Si vous trouvez des personnes en train de pratiquer la pédérastie tuez-les toutes les deux » C’est-à-dire si les deux partenaires sont consentants. » Le hadith est rapporté par at-Tarmidhi dans ses Sunan,1376.
Les ulémas de l’Islam tels que Malick, Shaf’i , Ahmad et Ishaq soutiennent qu’on doit appliquer à l’homosexuel la peine de l’adultère , qu’il soit marié ou pas.
Celui qui s’oppose à la nature telle que créée par Allah et se conduit d’une façon qui pousse les hommes à se contenter des hommes et les femmes des femmes de façon à provoquer la dislocation des familles, la perturbation de la procréation, la propagation de la débauche dans la société, l’éclosion de maladies très mortelles, l’atteinte à des innocents, la transmission des affections aux enfants et la généralisation de la corruption sur la terre, celui-là perpétue sans aucun doute une tare qu’il faut éradiquer.
Nous espérons que vos recherches vous permettront de découvrir de près les grandes dispositions et les règlements précis de cette religion et la sagesse de son auteur. Je demande à Allah de vous assister à réussir. Allah est celui qui guide dans le droit chemin.
Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid
- sans la moindre réaction des associations pseudos anti-racistes qui attaquent Fanny Truchelut,
- sans la moindre réaction de la Halde, qui s'empresse de faire la promotion du port du voile auprès des élèves de 6eme,
- et sans la moindre réaction pour l'instant des organisations gays et lesbiennes, que nous nous empressons d'alerter ...
Il est important de noter que auteurs cités par cet avis (cette "fatwa"), ne sont pas des auteurs mineurs ou "islamistes" mais les fondateurs des principales écoles sunnites, c'est à dire, les auteurs principaux de la jurisprudence islamique.
La "sunna" dont est extrait le "hadith" cité étant elle meme la deuxieme source de droit musulman.
Ce texte n'est donc pas une expression venant d'une secte "islamistes", mais bien la théorie de l'islam classique, orthodoxe lui-même.
Et pendant ce temps là ... notre justice est sommée par les pseudos antiracistes entre autres de poursuivre une femme, Fanny Truchelut, qui n'a fait qu'appliquer son devoir d'hotesse d'organiser la convivialité dans son gite rural.
Le C.E.R.F.
http://reformesfeministes.blogspot.com
http://c-e-r-f.org
le.cerf@laposte.net
-----------------------------------------------------------------------------
http://www.islam-qa.com/fr/ref/2104
L’attitude des musulmans à l’égard des homosexuels
Question : Je suis actuellement en train d’effectuer sur l’oppression des homosexuels dans le contient asiatique et notamment en Malaisie et j’espère que vous voudrez bien répondre à mes questions que voici:
1.Comment traite-t-on les homosexuels musulmans et non musulmans en Malaisie?
2.Quelle est la peine maximale qui leur est appliquée?
3.Quelle est le degré de compréhension de la société pour l’homosexualité?
4.L’homosexualité est-elle légalement permise ?
Réponse:
Louange à Allah
Nous ne sommes pas renseignés sur la situation de l’homosexualité en Malaisie. Mais nous présumons que ce peuple musulman nourrit de la répugnance à l’égard de cette pratique sale. Car l’Islam qu’ils ont choisi pour religion l’interdit vigoureusement et lui réserve une très dure peine ici-bas et dans l’au-de là.Comment pouvait-il en être autrement alors que le Prophète de l’Islam (bénédiction et salut soient sur lui) déclare: « Si vous trouvez des personnes en train de pratiquer la pédérastie tuez-les toutes les deux » C’est-à-dire si les deux partenaires sont consentants. » Le hadith est rapporté par at-Tarmidhi dans ses Sunan,1376.
Les ulémas de l’Islam tels que Malick, Shaf’i , Ahmad et Ishaq soutiennent qu’on doit appliquer à l’homosexuel la peine de l’adultère , qu’il soit marié ou pas.
Celui qui s’oppose à la nature telle que créée par Allah et se conduit d’une façon qui pousse les hommes à se contenter des hommes et les femmes des femmes de façon à provoquer la dislocation des familles, la perturbation de la procréation, la propagation de la débauche dans la société, l’éclosion de maladies très mortelles, l’atteinte à des innocents, la transmission des affections aux enfants et la généralisation de la corruption sur la terre, celui-là perpétue sans aucun doute une tare qu’il faut éradiquer.
Nous espérons que vos recherches vous permettront de découvrir de près les grandes dispositions et les règlements précis de cette religion et la sagesse de son auteur. Je demande à Allah de vous assister à réussir. Allah est celui qui guide dans le droit chemin.
Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid
lundi 15 septembre 2008
La LDH attaque F. Truchelut mais défend T.Ramadan !
http://www.ldh-france.org/agir_manifestations2.cfm?idmanif=189
> 05/01/2006
Pétition Tariq Ramadan
Les organisateurs du Colloque de philosophie La raison dans l’islam, qui devait se tenir à la Maison de la Recherche à Clermont-Ferrand le vendredi 9 décembre 2005, viennent d’informer que la location de la salle a été purement et simplement annulée « en raison de la présence de Tariq Ramadan parmi les intervenants », sans autre explication.
Professeur invité à l’Université d’Oxford (St Antony’s College), docteur ès Lettres, spécialisé dans la pensée de Nietzsche, enseignant l’étude comparée des philosophies (occidentale et islamique) de même que l’islamologie, Tariq Ramadan a également été invité par le gouvernement britannique à participer une Commission de réflexion sur les violences qui ont touché le pays. La censure dont il est victime est inacceptable.
(...)
Premiers signataires :
Jean-Pierre Dubois (président de la LDH), Michel Tubiana (Président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme).
> 05/01/2006
Pétition Tariq Ramadan
Les organisateurs du Colloque de philosophie La raison dans l’islam, qui devait se tenir à la Maison de la Recherche à Clermont-Ferrand le vendredi 9 décembre 2005, viennent d’informer que la location de la salle a été purement et simplement annulée « en raison de la présence de Tariq Ramadan parmi les intervenants », sans autre explication.
Professeur invité à l’Université d’Oxford (St Antony’s College), docteur ès Lettres, spécialisé dans la pensée de Nietzsche, enseignant l’étude comparée des philosophies (occidentale et islamique) de même que l’islamologie, Tariq Ramadan a également été invité par le gouvernement britannique à participer une Commission de réflexion sur les violences qui ont touché le pays. La censure dont il est victime est inacceptable.
(...)
Premiers signataires :
Jean-Pierre Dubois (président de la LDH), Michel Tubiana (Président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme).
le MRAP attaque F. Truchelut mais défend T.Ramadan !
http://www.atheisme.org/mrap-islam.html (extraits)
Le MRAP assure la défense de l'islamDepuis deux ans, le MRAP se perd régulièrement dans l'impasse de la défense de l'indéfendable : critiquer l'islam serait du racisme.
Une chronologie, non exhaustive, des actions et déclarations pro-islamiques du MRAP et de son très irritable secrétaire général permet d'en juger aisément :
Septembre 2003 : le MRAP soutient les sœurs Levy pour porter le voile islamique dans le lycée Henri Wallon à Aubervilliers
20 septembre 2003 : le MRAP organise un colloque à l'Assemblée nationale intitulé Du racisme anti-arabe à l’islamophobie
Septembre 2003 - février 2004 : le MRAP organise la cabale contre l'enseignant Louis Chagnon
24 octobre 2003 : dans un communiqué de presse réagissant aux propos de Claude Imbert, qui s'était déclaré "un peu islamophobe", le MRAP assimile la critique de l'islam au racisme anti-musulman
30 octobre 2003 : tribune de Mouloud Aounit dans Libération où il se repaît, jusqu'à l'indigestion, du terme islamophobie qu'il assimile à du racisme.
2003 : la section de Paris du MRAP prend la défense de Tariq Ramadan à propos de son texte sur les intellectuels juifs (Caroline Fourest, Frère Tariq, p. 384)
15 novembre 2003 : Mouloud Aounit participe avec Tariq Ramadan à une conférence au Forum Social Européen à Ivry sur Seine
20 novembre 2003 : le MRAP pour le port du voile islamique à l'école
Novembre 2003 : Mouloud Aounit s'énerve contre Caroline Fourest lors d'un débat en l'accusant de faire "des amalgames qui excitent la peur" (Caroline Fourest, Frère Tariq, p. 360)
Décembre 2003 : Mouloud Aounit participe à une conférence sur l'islamophobie avec Tariq Ramadan et Vincent Geisser à Saint Etienne Écouter la conférence sur le site du centre islamique Tawhid de Lyon.
14 février 2004 : le MRAP pour le port du voile islamique à l'école
Le MRAP apporte sa signature à un texte du collectif "Une école pour toutes et pour tous, contre les lois d'exclusion" qui considère la loi contre les signes religieux à l'école comme une loi raciste (liste des signataires).
2 avril 2004 : Mouloud Aounit bénéficie d'une tribune sur oumma.com
30 avril 2004 : Mouloud Aounit intervient sur OummaTV
Voir la vidéo réalisée pour oumma.com
21 mai 2004 : collaboration de Mouloud Aounit avec Tariq Ramadan
L'université de Jussieu à Paris décide de ne pas accorder de salle pour une conférence où devait participer Mouloud Aounit aux côtés de Tariq Ramadan (Caroline Fourest, Frère Tariq, p. 407)
7 novembre 2004 : MRAP et UOIF, même combat
Le MRAP accepte la présence de l'UOIF dans une manifestation antiraciste dont l'appel est aussi signé par le Collectif Une école pour toutes et tous, le Collectif des Musulmans de France (pro-Ramadan) et la Fédération Nationale des Musulmans de France.
(...)
6 janvier 2005 : Mouloud Aounit plus halal que halal
Au journal de 13h de France 2, Mouloud Aounit demande que des repas halal soient proposés dans les écoles et sa colère habituelle s'abat sur Jean-Yves Vayssières de l'Union des Familles Laïques qui défendait la stricte application des principes laïques à l'école.
13 janvier 2005 : Mouloud Aounit pour le rétablissement du délit de blasphème
Au journal de 13h de France 3, dans une réaction aux propos pro-nazis de Le Pen, Mouloud Aounit demande que soit rétabli le délit de blasphème : "La justice doit être d'une fermeté exemplaire pour éviter non seulement la récidive mais aussi pour prévenir et de montrer qu'aujourd'hui si la liberté d'expression est un bien fondamental qui fait partie des droits de l'homme, la liberté de blasphémer et la liberté d'ouvrir le champ au racisme doit être condamnée avec la plus grande fermeté" (transcription exacte des propos entendus). Voir aussi L'Express du 24 janvier 2005.
14 janvier 2005 : le MRAP pour le port du voile islamique à l'école
Lors de sa rencontre avec Jean-Pierre Raffarin,
(...)
4 février 2005 : la phobie de l'islamophobie
Mouloud Aounit demande à la Ligue de l'Enseignement que le terme "islamophobie" soit placé sur le document de présentation de la Semaine d'éducation contre le racisme du 21 au 26 mars (AFP 4 février 2005).
8 mars 2005 :
Mouloud Aounit proteste contre l'exclusion du collectif Une école pour toutes et tous des signataires de l'appel à manifester pour le droit des femmes le 8 mars (AFP 7 mars 2005).
15 mars 2005 : le MRAP pour le voile islamique à l'école
Dans un communiqué de presse du 15 mars 2005, le MRAP manifeste une fois de plus son opposition à la loi contre les signes religieux à l'école. Cette loi aurait "des incidences non négligeables et particulièrement inquiétantes dans le développement du racisme anti-musulman" ! Le MRAP se désole en outre que le débat sur le voile à l'école ait "dégradé la perception de l'islam par l'opinion publique".
(...)
7 avril 2005 : Mouloud Aounit pour le voile à l'école
Au cinéma Cin'Hoche de Bagnolet, une intervention de Mouloud Aounit est prévue à l'issue de la projection du film de Jérôme Host "Un racisme à peine voilé" pour apporter son soutien aux musulmanes voilées.
1er février 2006 : les caricatures de Mahomet
Après la publication des caricatures de Mahomet dans France Soir le 1er février, le MRAP exprime sa "consternation devant une inquiétante et piteuse provocation" (AFP 1er février 2006).
4 février 2006 : le MRAP porte plainte contre France Soir
Le MRAP porte plainte contre France Soir pour la publication du dessin représentant une bombe dans le turban de Mahomet au titre de "provocation et incitation à la haine raciale" (AFP 4 février 2006). Le MRAP estime qu'il s'agit d'un "détournement raciste de la liberté d'expression".
Actualisé mars 2006
Le MRAP assure la défense de l'islamDepuis deux ans, le MRAP se perd régulièrement dans l'impasse de la défense de l'indéfendable : critiquer l'islam serait du racisme.
Une chronologie, non exhaustive, des actions et déclarations pro-islamiques du MRAP et de son très irritable secrétaire général permet d'en juger aisément :
Septembre 2003 : le MRAP soutient les sœurs Levy pour porter le voile islamique dans le lycée Henri Wallon à Aubervilliers
20 septembre 2003 : le MRAP organise un colloque à l'Assemblée nationale intitulé Du racisme anti-arabe à l’islamophobie
Septembre 2003 - février 2004 : le MRAP organise la cabale contre l'enseignant Louis Chagnon
24 octobre 2003 : dans un communiqué de presse réagissant aux propos de Claude Imbert, qui s'était déclaré "un peu islamophobe", le MRAP assimile la critique de l'islam au racisme anti-musulman
30 octobre 2003 : tribune de Mouloud Aounit dans Libération où il se repaît, jusqu'à l'indigestion, du terme islamophobie qu'il assimile à du racisme.
2003 : la section de Paris du MRAP prend la défense de Tariq Ramadan à propos de son texte sur les intellectuels juifs (Caroline Fourest, Frère Tariq, p. 384)
15 novembre 2003 : Mouloud Aounit participe avec Tariq Ramadan à une conférence au Forum Social Européen à Ivry sur Seine
20 novembre 2003 : le MRAP pour le port du voile islamique à l'école
Novembre 2003 : Mouloud Aounit s'énerve contre Caroline Fourest lors d'un débat en l'accusant de faire "des amalgames qui excitent la peur" (Caroline Fourest, Frère Tariq, p. 360)
Décembre 2003 : Mouloud Aounit participe à une conférence sur l'islamophobie avec Tariq Ramadan et Vincent Geisser à Saint Etienne Écouter la conférence sur le site du centre islamique Tawhid de Lyon.
14 février 2004 : le MRAP pour le port du voile islamique à l'école
Le MRAP apporte sa signature à un texte du collectif "Une école pour toutes et pour tous, contre les lois d'exclusion" qui considère la loi contre les signes religieux à l'école comme une loi raciste (liste des signataires).
2 avril 2004 : Mouloud Aounit bénéficie d'une tribune sur oumma.com
30 avril 2004 : Mouloud Aounit intervient sur OummaTV
Voir la vidéo réalisée pour oumma.com
21 mai 2004 : collaboration de Mouloud Aounit avec Tariq Ramadan
L'université de Jussieu à Paris décide de ne pas accorder de salle pour une conférence où devait participer Mouloud Aounit aux côtés de Tariq Ramadan (Caroline Fourest, Frère Tariq, p. 407)
7 novembre 2004 : MRAP et UOIF, même combat
Le MRAP accepte la présence de l'UOIF dans une manifestation antiraciste dont l'appel est aussi signé par le Collectif Une école pour toutes et tous, le Collectif des Musulmans de France (pro-Ramadan) et la Fédération Nationale des Musulmans de France.
(...)
6 janvier 2005 : Mouloud Aounit plus halal que halal
Au journal de 13h de France 2, Mouloud Aounit demande que des repas halal soient proposés dans les écoles et sa colère habituelle s'abat sur Jean-Yves Vayssières de l'Union des Familles Laïques qui défendait la stricte application des principes laïques à l'école.
13 janvier 2005 : Mouloud Aounit pour le rétablissement du délit de blasphème
Au journal de 13h de France 3, dans une réaction aux propos pro-nazis de Le Pen, Mouloud Aounit demande que soit rétabli le délit de blasphème : "La justice doit être d'une fermeté exemplaire pour éviter non seulement la récidive mais aussi pour prévenir et de montrer qu'aujourd'hui si la liberté d'expression est un bien fondamental qui fait partie des droits de l'homme, la liberté de blasphémer et la liberté d'ouvrir le champ au racisme doit être condamnée avec la plus grande fermeté" (transcription exacte des propos entendus). Voir aussi L'Express du 24 janvier 2005.
14 janvier 2005 : le MRAP pour le port du voile islamique à l'école
Lors de sa rencontre avec Jean-Pierre Raffarin,
(...)
4 février 2005 : la phobie de l'islamophobie
Mouloud Aounit demande à la Ligue de l'Enseignement que le terme "islamophobie" soit placé sur le document de présentation de la Semaine d'éducation contre le racisme du 21 au 26 mars (AFP 4 février 2005).
8 mars 2005 :
Mouloud Aounit proteste contre l'exclusion du collectif Une école pour toutes et tous des signataires de l'appel à manifester pour le droit des femmes le 8 mars (AFP 7 mars 2005).
15 mars 2005 : le MRAP pour le voile islamique à l'école
Dans un communiqué de presse du 15 mars 2005, le MRAP manifeste une fois de plus son opposition à la loi contre les signes religieux à l'école. Cette loi aurait "des incidences non négligeables et particulièrement inquiétantes dans le développement du racisme anti-musulman" ! Le MRAP se désole en outre que le débat sur le voile à l'école ait "dégradé la perception de l'islam par l'opinion publique".
(...)
7 avril 2005 : Mouloud Aounit pour le voile à l'école
Au cinéma Cin'Hoche de Bagnolet, une intervention de Mouloud Aounit est prévue à l'issue de la projection du film de Jérôme Host "Un racisme à peine voilé" pour apporter son soutien aux musulmanes voilées.
1er février 2006 : les caricatures de Mahomet
Après la publication des caricatures de Mahomet dans France Soir le 1er février, le MRAP exprime sa "consternation devant une inquiétante et piteuse provocation" (AFP 1er février 2006).
4 février 2006 : le MRAP porte plainte contre France Soir
Le MRAP porte plainte contre France Soir pour la publication du dessin représentant une bombe dans le turban de Mahomet au titre de "provocation et incitation à la haine raciale" (AFP 4 février 2006). Le MRAP estime qu'il s'agit d'un "détournement raciste de la liberté d'expression".
Actualisé mars 2006
Helene Palma répond au manifeste masculiniste
http://reformesfeministes.blogspot.com/2007/10/hlne-palma-est-militante-de-solidarit.html
Helene Palma avait publié une critique du « Manifeste citoyen pour les garçons, les hommes et les pères ».
Voici la réponse d'une des signataires :
http://www.altersexualite.com/spip.php?article343
Réponse de Nataline Alessandrini-Leroy au CERF
Elle nous demande : " Au nom de quoi, les « féministes de dernières générations » s’arrogent-elles le droit de partir en guerre contre les pères homos ?"
Or le CERF n'est jamais "parti en guerre contre les pères homos". Au contraire nous les soutenons, à l'exception du cas de ceux qui se prétendent en droit de recourir à une mère porteuse.
Réponse d’Hélène Palma à Nataline Alessandrini
Bonsoir,
je suis d’abord très étonnée de lire qu’un simple commentaire à la pétition de Monsieur Verdier—commentaire posté sur une liste de discussion privée—soit ici pompeusement qualifié d’"article" par madame Alessandrini-Leroy.
Ensuite, je suis assez interloquée par la violence du ton (mais au fond, faut-il s’en étonner ?) employé par cette personne : "révisez vos fiches", "plongez les mains dans le cambouis" et par les amalgames volontairement créés.
Je tiens surtout ici à renvoyer le lecteur au texte que j’ai écrit.
Mon commentaire sur cette pétition se borne à décrire un phénomène en plein développement, le masculinisme, dont je rappelle ici la définition : « pour nommer ce particularisme, qui non seulement n’envisage que l’histoire ou la vie sociale des hommes, mais encore double cette limitation d’une affirmation (il n’y qu’eux qui comptent et leur point de vue), j’ai forgé le terme de masculinisme. » (Michèle Le Doeuff, L’Etude et le rouet, volume 1, p 55). Mon commentaire pointe cette pétition comme un symptôme de la croissance du phénomène masculiniste en France.
Je n’ai pas évoqué l’homoparentalité dans mon texte de réaction à cette pétition. Là n’était pas mon propos. D’ailleurs, la pétition n’est elle-même pas centrée de manière très claire sur cette thématique : Eric Verdier parle, pêle-mêle, de suicide de pères, d’hommes, de garçons, de souffrances, de garde alternée, de violences et aussi, au passage, de pères "gays" (mais pas de mères homosexuelles). Ce sont ces amalgames systématiques entre les "droits" des pères et ceux des homosexuels, entre la souffrance des uns et celle des autres associés à une justification et une minimisation choquantes des violences masculines qui m’ont incitée à réagir.
J’ai donc écrit une réaction dans laquelle j’ai rappelé quelques éléments essentiels que je vais répéter ici en citant simplement un passage de mon commentaire :
"* Le discours qui nous est tenu là est complètement déconnecté des réalités :
on sait que si les hommes parviennent plus que les femmes à se suicider, c’est qu’ils emploient des moyens plus violents qui les tuent plus sûrement que les méthodes qu’emploient généralement les femmes,
on sait qu’on ne peut pas mettre dans le même panier tous les suicides en posant a priori que "c’était-un-homme-donc-il-est-mort-parce-qu’il-souffrait-trop" : un suicide peut avoir un million de causes différentes,
on sait qu’en 2002, aux toutes premières heures de la mise en place de la résidence alternée (et même dans les mois qui ont précédé l’adoption de la loi par l’Assemblée Nationale) les TGI se sont déchaînés et ont abusé d’ordonnances autoritaires de résidences alternées : un très grand nombre de parents divorcés qui ne voulaient pas de ce mode d’habitat pour leurs enfants, n’ont pas pu y échapper et y sont bien souvent toujours soumis aujourd’hui ; de nombreuses femmes ont dû renoncer à un emploi pour cause de résidence alternée autoritaire,
on sait que la justice ne protège pas correctement les victimes de violences domestiques (qu’ils s’agisse de femmes ou d’enfants victimes) de leurs agresseurs.
* Le type de discours que nous tient ce manifeste s’inscrit dans un contexte généralisé dangereux :
de minimisation et de justification des violences à l’encontre des femmes (contestation des chiffres, tentative d’établir des statistiques démontrant que les hommes seraient autant battus, justification de meurtres conjugaux, indulgence coupable à l’égard de meurtriers célèbres..),
de négation des inégalités persistantes entre hommes et femmes,
de suspicion à l’encontre de la parole des victimes (cf la batterie de théories douteuses que développent, à la demande, des psys entièrement dévoués à la cause des hommes : "fausses allégations", "syndrome d’aliénation parentale", "aliénation parentale", "faux souvenirs"),
de suspicion grandissante à l’encontre des mères et plus généralement des femmes, perçues comme manipulatrices et menteuses."
J’insiste à titre d’information sur le fait que très peu de plaintes de femmes victimes de violences aboutissent, que très peu d’enfants victimes d’agressions domestiques sont écoutés par la justice : je renvoie le lecteur intéressé aux données présentées régulièrement par des instances de secours à ces victimes (Fédération Nationale Solidarité Femmes, Collectif Féministe Contre le Viol entre autres). Je renvoie également le lecteur aux données statistiques indiquant la fréquence des meurtres de femmes dans le cadre domestique en France. Je rappelle enfin aux incrédules qu’il existe de très nombreux cas de personnes subissant une résidence alternée alors qu’ils/elles n’en voulaient pas : l’imposition autoritaire de ce type de résidence est extrêmement fréquente, les violences domestiques ne sont jamais prises en compte comme un élément pouvant sérieusement remettre en cause le principe de co-parentalité, les cas de femmes ayant dû renoncer à un emploi ou à une promotion pour cause de résidence alternée sont très nombreux.
Avec de tels éléments en main, il me semble que continuer à exiger que la résidence alternée soit appliquée systématiquement démontre au moins une réelle difficulté à tenir compte des réalités concrètes auxquelles je viens de faire succintement allusion.
Il me semble qu’il faut insister sur le fait que cette pétition est extrêmement préoccupante parce qu’elle s’insère incontestablement dans un contexte d’apitoiement sur les hommes, de minimisation voire de négation des violences masculines privées, de mise en accusation des femmes et de celles qui les défendent. A ce titre, voir des militantes du Mouvement Français pour le Planning Familial y apposer leur signature est simplement choquant. Mais on avait déjà vu Evelyne Sullerot accepter de devenir membre du comité d’honneur de SOS Papa : c’est sans doute cela que madame Alessandrini appelle "réviser ses fiches" c’est-à-dire, en termes clairs, "tourner casaque".
J’ajoute que je ne suis plus membre de Solidarité Femmes Grenoble (FNSF) mais que j’y ai suffisamment milité pour savoir que ce que j’écris plus haut est rigoureusement exact (pour reprendre le vocabulaire de madame Alessandrini, j’ai bel et bien "mis les mains dans le cambouis" et plus encore qu’elle ne peut l’imaginer). J’ai aussi envie de lui dire que lorsqu’on milite à la FNSF on voit de près ce que sont les violences masculines privées commises à l’encontre des femmes : c’est une expérience que n’apporte peut-être pas le fait de militer au Planning Familial et cela explique sans doute l’aveuglement obstiné de Madame Alessandrini...
Mais madame Voynet, qui n’est pourtant ni membre de la FNSF ni membre du MFPF a cependant eu la sagesse de réfléchir et de ne pas signer cette pétition qu’elle a dû trouver passablement réactionnaire.. (pour mémoire, je cite simplement la dernière phrase de cette pétition qui, si elle n’était pas si grave, inciterait à sourire : "À titre symbolique, nous vous demandons de vous engager à rajouter dans notre code civil que le magistrat, s’il rejette la résidence alternée, doit confier la résidence principale de l’enfant à celui des deux parents qui demande la résidence alternée et la rend possible et non à celui qui la refuse ou la rend impossible (Article 373-2-9). Si une telle mesure était adoptée, tous les agresseurs pourraient sans aucun problème continuer de terroriser et de dominer leur famille : les signataires de cette pétition sont-ils égoïstes, aveugles, peu informés au point de ne pas en avoir conscience ?
Cordialement
Hélène Palma.
Helene Palma avait publié une critique du « Manifeste citoyen pour les garçons, les hommes et les pères ».
Voici la réponse d'une des signataires :
http://www.altersexualite.com/spip.php?article343
Réponse de Nataline Alessandrini-Leroy au CERF
Elle nous demande : " Au nom de quoi, les « féministes de dernières générations » s’arrogent-elles le droit de partir en guerre contre les pères homos ?"
Or le CERF n'est jamais "parti en guerre contre les pères homos". Au contraire nous les soutenons, à l'exception du cas de ceux qui se prétendent en droit de recourir à une mère porteuse.
Réponse d’Hélène Palma à Nataline Alessandrini
Bonsoir,
je suis d’abord très étonnée de lire qu’un simple commentaire à la pétition de Monsieur Verdier—commentaire posté sur une liste de discussion privée—soit ici pompeusement qualifié d’"article" par madame Alessandrini-Leroy.
Ensuite, je suis assez interloquée par la violence du ton (mais au fond, faut-il s’en étonner ?) employé par cette personne : "révisez vos fiches", "plongez les mains dans le cambouis" et par les amalgames volontairement créés.
Je tiens surtout ici à renvoyer le lecteur au texte que j’ai écrit.
Mon commentaire sur cette pétition se borne à décrire un phénomène en plein développement, le masculinisme, dont je rappelle ici la définition : « pour nommer ce particularisme, qui non seulement n’envisage que l’histoire ou la vie sociale des hommes, mais encore double cette limitation d’une affirmation (il n’y qu’eux qui comptent et leur point de vue), j’ai forgé le terme de masculinisme. » (Michèle Le Doeuff, L’Etude et le rouet, volume 1, p 55). Mon commentaire pointe cette pétition comme un symptôme de la croissance du phénomène masculiniste en France.
Je n’ai pas évoqué l’homoparentalité dans mon texte de réaction à cette pétition. Là n’était pas mon propos. D’ailleurs, la pétition n’est elle-même pas centrée de manière très claire sur cette thématique : Eric Verdier parle, pêle-mêle, de suicide de pères, d’hommes, de garçons, de souffrances, de garde alternée, de violences et aussi, au passage, de pères "gays" (mais pas de mères homosexuelles). Ce sont ces amalgames systématiques entre les "droits" des pères et ceux des homosexuels, entre la souffrance des uns et celle des autres associés à une justification et une minimisation choquantes des violences masculines qui m’ont incitée à réagir.
J’ai donc écrit une réaction dans laquelle j’ai rappelé quelques éléments essentiels que je vais répéter ici en citant simplement un passage de mon commentaire :
"* Le discours qui nous est tenu là est complètement déconnecté des réalités :
on sait que si les hommes parviennent plus que les femmes à se suicider, c’est qu’ils emploient des moyens plus violents qui les tuent plus sûrement que les méthodes qu’emploient généralement les femmes,
on sait qu’on ne peut pas mettre dans le même panier tous les suicides en posant a priori que "c’était-un-homme-donc-il-est-mort-parce-qu’il-souffrait-trop" : un suicide peut avoir un million de causes différentes,
on sait qu’en 2002, aux toutes premières heures de la mise en place de la résidence alternée (et même dans les mois qui ont précédé l’adoption de la loi par l’Assemblée Nationale) les TGI se sont déchaînés et ont abusé d’ordonnances autoritaires de résidences alternées : un très grand nombre de parents divorcés qui ne voulaient pas de ce mode d’habitat pour leurs enfants, n’ont pas pu y échapper et y sont bien souvent toujours soumis aujourd’hui ; de nombreuses femmes ont dû renoncer à un emploi pour cause de résidence alternée autoritaire,
on sait que la justice ne protège pas correctement les victimes de violences domestiques (qu’ils s’agisse de femmes ou d’enfants victimes) de leurs agresseurs.
* Le type de discours que nous tient ce manifeste s’inscrit dans un contexte généralisé dangereux :
de minimisation et de justification des violences à l’encontre des femmes (contestation des chiffres, tentative d’établir des statistiques démontrant que les hommes seraient autant battus, justification de meurtres conjugaux, indulgence coupable à l’égard de meurtriers célèbres..),
de négation des inégalités persistantes entre hommes et femmes,
de suspicion à l’encontre de la parole des victimes (cf la batterie de théories douteuses que développent, à la demande, des psys entièrement dévoués à la cause des hommes : "fausses allégations", "syndrome d’aliénation parentale", "aliénation parentale", "faux souvenirs"),
de suspicion grandissante à l’encontre des mères et plus généralement des femmes, perçues comme manipulatrices et menteuses."
J’insiste à titre d’information sur le fait que très peu de plaintes de femmes victimes de violences aboutissent, que très peu d’enfants victimes d’agressions domestiques sont écoutés par la justice : je renvoie le lecteur intéressé aux données présentées régulièrement par des instances de secours à ces victimes (Fédération Nationale Solidarité Femmes, Collectif Féministe Contre le Viol entre autres). Je renvoie également le lecteur aux données statistiques indiquant la fréquence des meurtres de femmes dans le cadre domestique en France. Je rappelle enfin aux incrédules qu’il existe de très nombreux cas de personnes subissant une résidence alternée alors qu’ils/elles n’en voulaient pas : l’imposition autoritaire de ce type de résidence est extrêmement fréquente, les violences domestiques ne sont jamais prises en compte comme un élément pouvant sérieusement remettre en cause le principe de co-parentalité, les cas de femmes ayant dû renoncer à un emploi ou à une promotion pour cause de résidence alternée sont très nombreux.
Avec de tels éléments en main, il me semble que continuer à exiger que la résidence alternée soit appliquée systématiquement démontre au moins une réelle difficulté à tenir compte des réalités concrètes auxquelles je viens de faire succintement allusion.
Il me semble qu’il faut insister sur le fait que cette pétition est extrêmement préoccupante parce qu’elle s’insère incontestablement dans un contexte d’apitoiement sur les hommes, de minimisation voire de négation des violences masculines privées, de mise en accusation des femmes et de celles qui les défendent. A ce titre, voir des militantes du Mouvement Français pour le Planning Familial y apposer leur signature est simplement choquant. Mais on avait déjà vu Evelyne Sullerot accepter de devenir membre du comité d’honneur de SOS Papa : c’est sans doute cela que madame Alessandrini appelle "réviser ses fiches" c’est-à-dire, en termes clairs, "tourner casaque".
J’ajoute que je ne suis plus membre de Solidarité Femmes Grenoble (FNSF) mais que j’y ai suffisamment milité pour savoir que ce que j’écris plus haut est rigoureusement exact (pour reprendre le vocabulaire de madame Alessandrini, j’ai bel et bien "mis les mains dans le cambouis" et plus encore qu’elle ne peut l’imaginer). J’ai aussi envie de lui dire que lorsqu’on milite à la FNSF on voit de près ce que sont les violences masculines privées commises à l’encontre des femmes : c’est une expérience que n’apporte peut-être pas le fait de militer au Planning Familial et cela explique sans doute l’aveuglement obstiné de Madame Alessandrini...
Mais madame Voynet, qui n’est pourtant ni membre de la FNSF ni membre du MFPF a cependant eu la sagesse de réfléchir et de ne pas signer cette pétition qu’elle a dû trouver passablement réactionnaire.. (pour mémoire, je cite simplement la dernière phrase de cette pétition qui, si elle n’était pas si grave, inciterait à sourire : "À titre symbolique, nous vous demandons de vous engager à rajouter dans notre code civil que le magistrat, s’il rejette la résidence alternée, doit confier la résidence principale de l’enfant à celui des deux parents qui demande la résidence alternée et la rend possible et non à celui qui la refuse ou la rend impossible (Article 373-2-9). Si une telle mesure était adoptée, tous les agresseurs pourraient sans aucun problème continuer de terroriser et de dominer leur famille : les signataires de cette pétition sont-ils égoïstes, aveugles, peu informés au point de ne pas en avoir conscience ?
Cordialement
Hélène Palma.
jeudi 11 septembre 2008
Deux ou trois choses que nous savons de la venue du Pape
LE CERF s'associe à ces trois textes :
Deux ou trois choses que nous, « vraies féministes », savons de la venue du Pape
Nous avons deux ou trois choses à dire au Pape, à l'occasion de sa venue.
Que sacraliser une «vierge Marie » conduit trop souvent à renforcer le mépris pour les femmes réelles de chair et d'os,
Que priver les femmes de contraception c'est les priver de santé et de liberté, elles et leurs enfants,
Que définir l'homosexualité comme un péché conduit encore à trop de drames …
Mais nous ne participerons certainement pas à une manifestation où seront présentes des associations et partis –qui ont lutté, comme de nombreux catholiques, contre la loi de 2004 sur les signes religieux à l'école, qui malgré ses défauts, était indispensable.
Et nous participerons encore moins à une manifestation à laquelle participe le MRAP, dont le président Mouloud Aounit a demandé une LOI CONTRE LE BLASPHEME. Mouloud Aounit, a en effet déclaré, sur France 3 le 13 janvier 2005 au journal de midi : «Aujourd'hui si la liberté d'expression est un bien fondamental et fait partie des droits de l'homme, la liberté de blasphémer doit être réprimée avec la plus grande fermeté. » Il est certes ensuite revenu sur ses propos, mais il continue à agir dans le même sens et taxe la loi de 2004 de « racisme anti-musulman ».
Une telle manifestation n'est qu'une guerre de religion, entre ceux qui défendent de fait la charia, et le Vatican : nous n'avons rien à faire dans cette guerre là.
Il se trouve que la venue du Pape coïncide avec la date anniversaire du 11 septembre : qu'en de tels jours, des associations et partis se réclamant du féminisme et de la laïcité, n'aient pas un mot sur les horreurs commises contre les « kouffars », les femmes, les homosexuels, par les combattants d'Allah au nom de leur idéologie politico-religieuse sanguinaire, est tout simplement écoeurant.
Le CERF
http://alixautremiroir.blogspot.com/2008/09/remballe-ton-pape.html
Remballe ton pape
Que des féministes aillent manifester contre la venue du pape en France, c’est la moindre des choses. Mais accepter de s’afficher aux côtés d'ACT-UP et SUD, qui s’étaient prononcés CONTRE la loi interdisant les signes religieux à l’école en 2004 -et donc PRO-VOILE, c'est faire preuve d'un féminisme pour le moins... souple. Que viennent faire à cette manif libertaire et anti-facho ces notoires collabos de l’obscurantisme islamique ? Se racheter une virginité ?
Le comble est atteint avec la présence du MRAP dont le président Mouloud Aounit a demandé une LOI CONTRE LE BLASPHEME. La déclaration de Mouloud Aounit, président du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples sur le blasphème, sur France 3 le 13 janvier 2005 au journal de midi : «Aujourd’hui si la liberté d’expression est un bien fondamental et fait partie des droits de l’homme, la liberté de blasphémer doit être réprimée avec la plus grande fermeté. »
Que des féministes acceptent aujourd’hui ces compromissions, il y a de quoi se poser des questions.
Je n’irai pas à la manif vendredi PARCE QUE je suis féministe et athée.
Alix
Les pseudos laiques auxilliaires du jihad contre Fanny Truchelut
Que c’est beau ce concert de pleureuses ( http://www.manifestepape.info/) parce que ... quoi : un Président de la République discute avec un Pape, comme il peut parler à des tas d’autres "lobbys" particuliers.
Les Signataires devraient plutot répondre de leurs actes à eux, CONTRE LA LAICITE :
-La LDH : a attaqué en justice Fanny Truchelut, et contribué ainsi au JIHAD, tout en détruisant la vie de Fanny ...
- La Libre pensée : s’est prononcée CONTRE la loi de 2004 sur les signes religieux à l’ecole, d’accord en cela avec des catholiques à ce moment ...
- L’UFAL, Kintzler, Fourest : se sont acharnés à montrer la prétendue culpabilité de Fanny Truchelut, qui ELLE est une vraie défenseuse de la laïcité et des droits des femmes !!!
- et les autres : ONT LAISSE FAIRE le procès de Fanny Truchelut sans protester le moins du monde !!!
Et tout ce beau monde se pose en défenseur de la laïcité ...
Quelle plaisanterie.
Elisseievna
NB 1 : rappel : le "blasphème" n'est pas un délit en France
NB 2 : rappel : J. Ratzinger avait soulevé à Ratisbonne le 12 septembre 2006 le problème de la violence inhérente aux textes de l'islam, en citant l'empereur byzantin Michel Paléologue qui demandait : "Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu ne trouveras que des choses méchantes et inhumaines, comme son ordre de diffuser par les moyens de l’épée la foi qu’il professait."
Deux ou trois choses que nous, « vraies féministes », savons de la venue du Pape
Nous avons deux ou trois choses à dire au Pape, à l'occasion de sa venue.
Que sacraliser une «vierge Marie » conduit trop souvent à renforcer le mépris pour les femmes réelles de chair et d'os,
Que priver les femmes de contraception c'est les priver de santé et de liberté, elles et leurs enfants,
Que définir l'homosexualité comme un péché conduit encore à trop de drames …
Mais nous ne participerons certainement pas à une manifestation où seront présentes des associations et partis –qui ont lutté, comme de nombreux catholiques, contre la loi de 2004 sur les signes religieux à l'école, qui malgré ses défauts, était indispensable.
Et nous participerons encore moins à une manifestation à laquelle participe le MRAP, dont le président Mouloud Aounit a demandé une LOI CONTRE LE BLASPHEME. Mouloud Aounit, a en effet déclaré, sur France 3 le 13 janvier 2005 au journal de midi : «Aujourd'hui si la liberté d'expression est un bien fondamental et fait partie des droits de l'homme, la liberté de blasphémer doit être réprimée avec la plus grande fermeté. » Il est certes ensuite revenu sur ses propos, mais il continue à agir dans le même sens et taxe la loi de 2004 de « racisme anti-musulman ».
Une telle manifestation n'est qu'une guerre de religion, entre ceux qui défendent de fait la charia, et le Vatican : nous n'avons rien à faire dans cette guerre là.
Il se trouve que la venue du Pape coïncide avec la date anniversaire du 11 septembre : qu'en de tels jours, des associations et partis se réclamant du féminisme et de la laïcité, n'aient pas un mot sur les horreurs commises contre les « kouffars », les femmes, les homosexuels, par les combattants d'Allah au nom de leur idéologie politico-religieuse sanguinaire, est tout simplement écoeurant.
Le CERF
http://alixautremiroir.blogspot.com/2008/09/remballe-ton-pape.html
Remballe ton pape
Que des féministes aillent manifester contre la venue du pape en France, c’est la moindre des choses. Mais accepter de s’afficher aux côtés d'ACT-UP et SUD, qui s’étaient prononcés CONTRE la loi interdisant les signes religieux à l’école en 2004 -et donc PRO-VOILE, c'est faire preuve d'un féminisme pour le moins... souple. Que viennent faire à cette manif libertaire et anti-facho ces notoires collabos de l’obscurantisme islamique ? Se racheter une virginité ?
Le comble est atteint avec la présence du MRAP dont le président Mouloud Aounit a demandé une LOI CONTRE LE BLASPHEME. La déclaration de Mouloud Aounit, président du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples sur le blasphème, sur France 3 le 13 janvier 2005 au journal de midi : «Aujourd’hui si la liberté d’expression est un bien fondamental et fait partie des droits de l’homme, la liberté de blasphémer doit être réprimée avec la plus grande fermeté. »
Que des féministes acceptent aujourd’hui ces compromissions, il y a de quoi se poser des questions.
Je n’irai pas à la manif vendredi PARCE QUE je suis féministe et athée.
Alix
Les pseudos laiques auxilliaires du jihad contre Fanny Truchelut
Que c’est beau ce concert de pleureuses ( http://www.manifestepape.info/) parce que ... quoi : un Président de la République discute avec un Pape, comme il peut parler à des tas d’autres "lobbys" particuliers.
Les Signataires devraient plutot répondre de leurs actes à eux, CONTRE LA LAICITE :
-La LDH : a attaqué en justice Fanny Truchelut, et contribué ainsi au JIHAD, tout en détruisant la vie de Fanny ...
- La Libre pensée : s’est prononcée CONTRE la loi de 2004 sur les signes religieux à l’ecole, d’accord en cela avec des catholiques à ce moment ...
- L’UFAL, Kintzler, Fourest : se sont acharnés à montrer la prétendue culpabilité de Fanny Truchelut, qui ELLE est une vraie défenseuse de la laïcité et des droits des femmes !!!
- et les autres : ONT LAISSE FAIRE le procès de Fanny Truchelut sans protester le moins du monde !!!
Et tout ce beau monde se pose en défenseur de la laïcité ...
Quelle plaisanterie.
Elisseievna
NB 1 : rappel : le "blasphème" n'est pas un délit en France
NB 2 : rappel : J. Ratzinger avait soulevé à Ratisbonne le 12 septembre 2006 le problème de la violence inhérente aux textes de l'islam, en citant l'empereur byzantin Michel Paléologue qui demandait : "Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu ne trouveras que des choses méchantes et inhumaines, comme son ordre de diffuser par les moyens de l’épée la foi qu’il professait."
mardi 9 septembre 2008
Femme occidentale = prostituée. Femme non voilée " tu pourrais être violée"
http://www.cyberpresse.ca/article/20071217/CPOPINIONS05/712170625/6741/CPOPINIONS
17 décembre 2007 Rima Elkourib La Presse
"Mets un voile, sinon tu pourrais être violée. C'est ce que l'on recevait comme message jusqu'à tout récemment sur le site Internet du Centre communautaire musulman de Montréal.
...
Ne pas porter le hijab peut entraîner «des cas de divorce, d'adultère, de viol et d'enfants illégitimes», disait l'avertissement pour le moins ahurissant. On y disait aussi que celle qui enlève son voile voit sa «foi détruite», adopte un «comportement indécent» et sera punie en «enfer». On y traitait aussi la femme occidentale de «prostituée non payée».
17 décembre 2007 Rima Elkourib La Presse
"Mets un voile, sinon tu pourrais être violée. C'est ce que l'on recevait comme message jusqu'à tout récemment sur le site Internet du Centre communautaire musulman de Montréal.
...
Ne pas porter le hijab peut entraîner «des cas de divorce, d'adultère, de viol et d'enfants illégitimes», disait l'avertissement pour le moins ahurissant. On y disait aussi que celle qui enlève son voile voit sa «foi détruite», adopte un «comportement indécent» et sera punie en «enfer». On y traitait aussi la femme occidentale de «prostituée non payée».
jeudi 4 septembre 2008
Procès Fanny Truchelut : l’infraction n’a pas eu lieu, point.
Procès Fanny Truchelut : l’infraction n’a pas eu lieu, point.
La question posée par le procès de Fanny Truchelut n’était de toute façon pas de savoir si le voile doit être autorisé ou interdit : cette question relève du Parlement.
Mais pour ce qui est de savoir comment il faudrait interpréter les articles 225 du Code pénal, en cas de refus ..., de savoir si oui ou non, demander d’enlever le voile serait discriminer « en raison de l’appartenance » ou simplement demander une utilisation conviviale des lieux ... : cette question qui devrait être posée au législateur, et non réglée par la jurisprudence, car c’est une vraie question de droit pur : ce ne sera pas non plus l’objet du jugement concernant Fanny Truchelut.
Car dans l’affaire de Fanny Truchelut cette question ne se pose pas : puisqu’il n’y a pas eu de refus.
Fanny Truchelut n’a jamais demandé à Horia Demiati de partir, elle lui a seulement demandé d’enlever le long voile qu’elle portait dans les parties communes du gite, c’est Horia Demiati a alors décidé elle-même de partir.
Avec une autre femme voilée, une femme qui aurait avant tout eu le désir de passer un séjour agréable avec ses voisins du gite, Fanny Truchelut aurait surement pu trouver un accord et une bonne entente, et il n’y aurait pas eu d’affaire.
Mais on ne saura jamais ce qui se serait passé alors, car Horia Demiati s’est empressée de courir porter plainte !
Et les conséquences de cette plainte, la fermeture du gite de Fanny Truchelut, cette femme de 55 ans de famille ouvrière qui travaille depuis l’âge de 14 ans, ce n’est pas le problème d’Horia Demiati, cette jeune femme au beau parcours universitaire, auditrice financière en région parisienne, comme se plaisent à le rappeler ses avocats …
Fanny Truchelut n’a rien refusé, elle doit donc être relaxée.
Le .C.E.R.F
4 septembre 2008
La question posée par le procès de Fanny Truchelut n’était de toute façon pas de savoir si le voile doit être autorisé ou interdit : cette question relève du Parlement.
Mais pour ce qui est de savoir comment il faudrait interpréter les articles 225 du Code pénal, en cas de refus ..., de savoir si oui ou non, demander d’enlever le voile serait discriminer « en raison de l’appartenance » ou simplement demander une utilisation conviviale des lieux ... : cette question qui devrait être posée au législateur, et non réglée par la jurisprudence, car c’est une vraie question de droit pur : ce ne sera pas non plus l’objet du jugement concernant Fanny Truchelut.
Car dans l’affaire de Fanny Truchelut cette question ne se pose pas : puisqu’il n’y a pas eu de refus.
Fanny Truchelut n’a jamais demandé à Horia Demiati de partir, elle lui a seulement demandé d’enlever le long voile qu’elle portait dans les parties communes du gite, c’est Horia Demiati a alors décidé elle-même de partir.
Avec une autre femme voilée, une femme qui aurait avant tout eu le désir de passer un séjour agréable avec ses voisins du gite, Fanny Truchelut aurait surement pu trouver un accord et une bonne entente, et il n’y aurait pas eu d’affaire.
Mais on ne saura jamais ce qui se serait passé alors, car Horia Demiati s’est empressée de courir porter plainte !
Et les conséquences de cette plainte, la fermeture du gite de Fanny Truchelut, cette femme de 55 ans de famille ouvrière qui travaille depuis l’âge de 14 ans, ce n’est pas le problème d’Horia Demiati, cette jeune femme au beau parcours universitaire, auditrice financière en région parisienne, comme se plaisent à le rappeler ses avocats …
Fanny Truchelut n’a rien refusé, elle doit donc être relaxée.
Le .C.E.R.F
4 septembre 2008
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