Un chargé de TD est mis en cause par le site du " Parti des musulmans de France", pour avoir dit à une élève que son voile le dérangeait.
Parti ayant obtenu plus d'1% des voix à Strasbourg en 2007 ...
Quand un dessin "dérange" des musulmans, des députés se proposent de réprimer le blasphème, en France ou aux Pays-bas ... mais quand un hotelier ou un prof disent que le voile les dérangent, ils sont poursuivis et stigmatisés. Alors qu'en France nous avons eu un Voltaire disant de "Chasser l'infâme", mais nous n'avons pas de doctrine appelant à " battre les femmes désobéissantes" et "faire payer" aux musulmans " un tribut en les humilier", comme le préconise le coran envers juifs et chrétiens, le coran dont le voile rappelle que celle qui le porte vénère le contenu !
Rappelons que le PMF avait organisé une manifestation contre la loi de 2004 sur les signes religieux, le 17 janvier 2004, au cours de laquelle Mohamed Latrèche, avait tenu les propos nauséabonds suivants :
http://www.lexpress.fr/informations/parti-des-musulmans-de-france_654838.html
" Parti des musulmans de France
C'est à l'appel de son président qu'a été organisée la manifestation du 17 janvier 2004 dernier contre «la politique de haine envers les pratiquantes de la deuxième religion de France». Ce groupuscule a été créé en 1997 par un commerçant franco-algérien, Mohamed Latrèche, qui tient une épicerie-boucherie halal à Schiltigheim, dans la banlieue de Strasbourg. Proche des chiites et du Hezbollah libanais, il a suivi pendant sept ans des études de théologie et d'arabe en Syrie, d'où il est revenu «docteur de la charia».
Association destinée à récolter le soutien des «musulmans qui n'osent plus relever la tête», le PMF est le premier parti politique français fondé sur une base confessionnelle. Latrèche, qui qualifie le PS de «parti sionisé» et dénonce «les juifs qui ont tout et les musulmans qui n'ont rien», organise des manifestations sur les thèmes porteurs de la communauté, a envoyé des boucliers humains en Irak et rêve de faire élire des députés musulmans à l'Assemblée nationale. ».
Voilà les extraits du site :
http://p-m-f.org/crbst_178.html
Mardi 14/10/2008 | Posté par Hanane Kaddour -
« Jeudi après-midi, dans un TD de sociologie politique à la Sorbonne, le premier de l’année en cette rentrée universitaire, le professeur, Christian S., fait l’appel. Il manque une élève. Celle-ci arrive un peu en retard, s’excuse et s’installe. La jeune femme porte le voile, elle est musulmane. ...
« Qui êtes-vous ? Quel est votre nom ? », demande-t-il à Samia, l’élève retardataire. Cette dernière décline son identité. C’est bien elle qui manquait à l’appel, elle fait partie de ce cours.
« Ce que vous portez sur la tête me gêne. Juridiquement, vous en avez le droit, mais je vous laisse le choix de changer de professeur. » Samia n’est donc pas la bienvenue. Elle se dépêche de ranger ses affaires et de quitter le cours. Elle préfère « avoir quelque chose à apprendre, parce qu’avec vous, ça ne me semble pas possible. Au revoir ».
... Christian S. sait que ce qu’il vient de faire ne plaît pas à tout le monde. Une élève lui fait savoir qu’elle est choquée. Puis un autre. Le débat commence. Sur vingt-neuf étudiants, seuls quatre osent prendre la parole, dont deux musulmans,
Le professeur dit « Vous savez, je fais partie d’un certain nombre d’organisations altermondialistes. » Il fait savoir qu’il connaît bien le Maghreb et « que des amis y sont morts, à cause de l’islamisme ». Christian S. ajoute : « Si j’avais eu affaire à un membre du Front national, j’aurais fait la même chose. » Un étudiant en profite pour interroger le professeur sur sa conception de la laïcité : « Et si un élève portant un autre signe religieux s’était présenté à votre cours, auriez-vous agi de la même manière, Monsieur ? » Silence dans la salle… « Non », répond sèchement Christian C. "
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