Christine de Pisan
mercredi 31 octobre 2012
dimanche 28 octobre 2012
Pétition : urgence ...
Parce que les revendications masculinistes et extrémistes de certains militants gays ou opportunistes politiques, sont en train de retourner l'opinion contre le mariage homo et contre la cause homosexuelle en général, et parce qu'il faut contrer les revendications pour la GPA, il est important de signer notre pétition.
Parce que la plupart des français admettent la vie de couple homosexuelle mais s'inquiètent de l'adoption par des couples homosexuels.
Et parce que ce n'est pas avec le genre de caricatures venimeuses de cette vidéo que le débat sur le maiage gay va avancer, ni la cause homsexuelle être comprise : http://www.melty.fr/priere-universelle-l-association-act-up-repond-avec-une-video-choc-a124509.html ...
En revanche, l'ouverture du droit à l'adoption partage l'opinion à parts presque égales : 49% des sondés se disent favorables, contre 48% qui sont opposés (3% ne se prononcent pas).
De façon surprenante, la procréation médicalement assistée (PMA) suscite davantage d'adhésion que l'adoption. 51% des Français sont favorables à l'ouverture de ce droit pour les couples de lesbiennes, contre 45% qui y sont opposés. On parle ici uniquement d'insémination artificielle ou de fécondation in vitro pour les couples de femmes, puisque le recours aux mères porteuses est interdit en France, aux couples homosexuels comme aux couples hétérosexuels.
Parce que la plupart des français admettent la vie de couple homosexuelle mais s'inquiètent de l'adoption par des couples homosexuels.
Et parce que ce n'est pas avec le genre de caricatures venimeuses de cette vidéo que le débat sur le maiage gay va avancer, ni la cause homsexuelle être comprise : http://www.melty.fr/priere-universelle-l-association-act-up-repond-avec-une-video-choc-a124509.html ...
16-10-2012
Selon notre sondage LH2-"le Nouvel Observateur", une large majorité soutient le droit au mariage pour les couples homosexuels : 58% y sont favorables, contre 38% qui y sont opposés (4% ne se prononcent pas)
En revanche, l'ouverture du droit à l'adoption partage l'opinion à parts presque égales : 49% des sondés se disent favorables, contre 48% qui sont opposés (3% ne se prononcent pas).
De façon surprenante, la procréation médicalement assistée (PMA) suscite davantage d'adhésion que l'adoption. 51% des Français sont favorables à l'ouverture de ce droit pour les couples de lesbiennes, contre 45% qui y sont opposés. On parle ici uniquement d'insémination artificielle ou de fécondation in vitro pour les couples de femmes, puisque le recours aux mères porteuses est interdit en France, aux couples homosexuels comme aux couples hétérosexuels.
Pétition : oui au mariage homosexuel, non à la gestation pour autrui
http://reformesfeministes.blogspot.fr/2012/10/petition-oui-au-mariage-homo-non-la.html
Pétition : Oui au mariage homo, non à la gestation pour autrui.
Le mariage homosexuel est liée le plus souvent aujourd’hui par ceux qui le
défendent, au droit à l’adoption, à la « non-discrimination »
envers les adoptants homosexuels, et au droit à la procréation médicalement
assistée ou à la gestion pour autrui. Nous approuvons la reconnaissance du
mariage pour les homosexuel-les mais nous dénonçons, au nom des droits des
femmes et des enfants, la légalisation des mères porteuses et le refus de
privilégier l’adoption par des couples hétérosexuels.
Nous sommes favorables à la reconnaissance par le droit de l’amour
homosexuel, de la valeur que la société doit accorder aux liens entre personnes
homosexuelles. Les règles du mariage doivent pour cela être étendues aux couples
de même sexe, que l’on appelle cette institution "mariage" ou d’un autre nom.
Mais en tant que féministes, nous disons que cette extension ne doit pas se
faire au détriment des droits des femmes et des enfants.
Sous l’influence de la théorie « queer » du genre poussée à son
extrême, qui nie le corps et la situation matérielle et physique des femmes,
les aspects physiques des rapports sociaux entre les sexes, certains lient de
manière abusive la question du mariage gay et une « identité de droit à
l’enfant » quelle que soit la sexualité.
Or il n’y a pas d’égalité entre sexualité homosexuelle et hétérosexuelle de
ce point de vue, l’une est féconde et l’autre non, et nous refusons que pour
tenter artificiellement de rétablir une « égalité », l’on institue
des lois qui bafouent les droits et méprisent les besoins des femmes et des
enfants.
Les mères porteuses sont des femmes exploitées par des hommes ou femmes
plus argentés, et en aucun cas cette exploitation ne doit être légalisée.
Les enfants sans famille ont le droit d’être protégés du mieux possible, et
que leurs besoins soient privilégiés avant toute autre considération. Or, si
les homosexuels font d’aussi bons parents pour les enfants qu’ils ont eu
biologiquement, il n’existe aucune assurance qu’un enfant privé de l’éducation
par un couple homme-femme ne soit pas de ce fait fragilisé. Le principe de
précaution doit être appliqué, les enfants ne doivent pas être l’objet
d’expérimentations sociales pour satisfaire aux caprices d’adultes.
Nous appelons au refus d’une campagne démagogique, qui utilise le thème de
la liberté pour, en réalité, instituer une législation qui peut porter
gravement atteinte à des droits fondamentaux des femmes et des enfants.
·
Nous demandons que la question du mariage homosexuel, soit clairementdistinguée de celle de l’adoption par les couples homosexuels et du recours aux
mères porteuses.
·
Les couples homosexuels doivent pouvoir se placer sous les règles dumariage relatives aux relations du couple lui-même.
·
L’adoption par des couples homosexuels doivent être possible mais avec desmodalités telles qu’aucune confusion ne soit possible pour l’enfant quant à la
vraie nature de sa filiation.
·
L’adoption par des couples hétérosexuels doit rester privilégiée, car ceprivilège n’est pas une discrimination, mais l’application du principe de
précaution.
·
Les contrats de « gestation pour autrui » doivent être interdits.
Nous rappelons enfin que nous demandons que le
nom du mari ne soit pas dans les faits imposé aux femmes mariées, et que
l’usage du nom du conjoint soit un droit pour les deux époux.
Signatures : indiquer : date, nom, prénom,
(facultativement) profession ou situation, ville
Envoyer
les signature à : le.cerf@laposte.net
Pédophilie et incestes : sous tous les horizons ...
La pédophilie et l'inceste ont été prôné par des "libertins" et leurs successeurs les soixante huitard, parmi lesquels figurent aussi des mouvements féminstes qui ont poursuivi l'oeuvre des féministes précédentes, contre ces violences, le christianisme n'a lui jamais justifié ces actes, même si des chrétiens dont des prêtres s'en sont rendus coupables, mais ni 68 ni les prêtres n'ont le monopole de ces crimes :
Il est assez ironique de constater que des groupes féministes ou anti-inceste reprennent étourdiment le slogan palestinien "pas de justice pas de paix", quand on sait ce que le comportement du leader palestinien Arafat ...
28 octobre 2012 by Anne Lauwaert -
Il est assez ironique de constater que des groupes féministes ou anti-inceste reprennent étourdiment le slogan palestinien "pas de justice pas de paix", quand on sait ce que le comportement du leader palestinien Arafat ...
28 octobre 2012 by Anne Lauwaert -
Yasser Arafat apparaît sous un jour différent si on considère qu’il est
« mort du SIDA , avait des relations sexuelles avec ses gardes du corps et
un penchant pour de jeunes garçons ». Sans compter le fait qu’il aurait pu
être « éliminé » par les services secrets russes…
Quant à tous ceux qui doutent de l’intérêt que les Arabes lui ont porté, ne
fût-ce que pour le condamner, il faut leur faire lire Éphèbes et courtisanes (éditions
Rivages, 1997), un opuscule qu’al-Jahiz (env. 776-869), prosateur de génie, a
rédigé à Bassora il y a… onze siècles ! Jahiz fait dialoguer deux
protagonistes, un amateur d’éphèbes – homosexuel sans complexe – et un
hétérosexuel plutôt versé dans la dégustation féminine. Comme s’il répondait à
un sondage d’aujourd’hui, Jahiz avait résumé la situation de l’homosexuel : «
Ne blâmez pas quelqu’un pour son penchant pédérastique/Car la pédérastie est
une disposition naturelle chez lui/Il se peut qu’il regrette tous les
délits/Mais des mignons il mourra inconsolé. »
Le célèbre Abu Nuwas (762-813) était, lui, connu pour trois goûts qui scandalisent aujourd’hui l’Islam : boire du vin, alors que la religion l’interdit ; apprécier la beauté des éphèbes et des mignons sans craindre de passer pour un pédéraste ; et chanter l’athéisme, ce qui est aussi une abomination. Était-ce la marque d’une complexité orientale ou de la complexité humaine . »Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Monde arabe : la culture de l’éphèbe | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
Le célèbre Abu Nuwas (762-813) était, lui, connu pour trois goûts qui scandalisent aujourd’hui l’Islam : boire du vin, alors que la religion l’interdit ; apprécier la beauté des éphèbes et des mignons sans craindre de passer pour un pédéraste ; et chanter l’athéisme, ce qui est aussi une abomination. Était-ce la marque d’une complexité orientale ou de la complexité humaine . »Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Monde arabe : la culture de l’éphèbe | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
Omar Khayyâm lui aussi chante les plaisirs et le vin…
Mais ne vous méprenez pas. Yasser Arafat était un meurtrier, génocidaire,
diabolique, déviant sexuel, qui est décédé à l’âge de 75 ans. Il était méprisé
par les Arabes et les Israéliens confondus. Le Syrien Hafez El-Assad a tenté de
l’emprisonner. Le roi Hussein de Jordanie le détestait. Et l’Egyptien Hosni
Moubarak le considérait comme un chien
Les penchants sexuels d’Arafat ont été un secret de polichinelle depuis des
années. L’ancien chef de l’intelligence roumaine, le lieutenant général Ion
Mihai Pacepa, décrit dans son livre « Horizons rouges » qu’un
de ses agents a déclaré : « Le ‘feddaï‘ [nom de code d'Arafat]
est dans sa chambre et fait l’amour à son garde du corps. Celui que j’ai
rencontré est son dernier amour. Il joue de nouveau au tigre. L’agent de
surveillance de ses microphones cachés dans la chambre à coucher a presque eu
les tympans explosés. Arafat rugissait comme un tigre, et son amant jappait
comme une hyène. »
Dans une analyse approfondie de la biographie de Yasser Arafat en 1976,
l’écrivain Thomas Kiernan donnait une chronique de la vie du jeune Arafat au
Caire. Quand Arafat a découvert que sa petite amie, Jinan al-Oraby, fréquentait
les filles des Harkabis, une famille juive égyptienne, il s’est arrangé pour
assassiner leur père. Lorsque Jinan a exprimé sa tristesse pour ses amis, elle
raconte : « Yasser est entré dans une rage… il s’est mis à me battre, à
déchirer mes vêtements… Il s’est jeté sur moi… Il a essayé de me pénétrer, mais
il ne pouvait pas le faire. Ceci l’a rendu encore plus fou. »
Kiernan parle également les relations d’Arafat avec un garçon, Ahmed, dont
les parents se sont retrouvés du côté israélien de la frontière après la guerre
de 1948. Un associé de Yasser Arafat explique : « Yasser essaye d’obtenir
que le garçon dénonce publiquement ses parents… Yasser aimait vraiment ce
garçon. Il était délicat, sensible, comme une fleur. Il était dans le cercle
intime de Yasser. Ils étaient cinq garçons à vivre dans le même lieu et vous
pouvez imaginer ce que je veux dire. »
Kiernan a continué : Arafat a tenu un « type d’audience formelle pour
le garçon » en raison de son refus de dénoncer ses parents. « Arafat
sanglotait, sanglotait comme [une jeune amoureuse]. Il a procédé à la
castration du garçon. Le lendemain, le garçon était mort. »
J. P. Brighelli: la société pornographique
J. P. Brighelli: la société pornographique -
http://youtu.be/DpLbneAisYs
http://youtu.be/596PzbHFxqM
CADAC : contre tous les déserts sanitaires
http://www.collectifdroitsdesfemmes.org/spip.php?article368
Communiqué contre tous les déserts sanitaires de la Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité
mardi 23 octobre 2012
Quand l’éloignement des maternités est peut être une des causes du décès d’un nouveau-né sur la route, les membres de la CN-Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité ont d’abord une pensée émue et attristée pour les parents victimes de ce drame. Ils rappellent que ce décès illustre malheureusement de façon dramatique la faillite et les manquements de l’organisation territoriale des services publics de santé imposée par les Agences Régionales de l’Hospitalisation hier et par les Agences Régionales de Santé aujourd’hui, au mépris des attentes des populations et de leur sécurité.
Quand l’éloignement des maternités est peut être une des causes du décès d’un nouveau-né sur la route, les membres de la CN-Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité ont d’abord une pensée émue et attristé e pour les parents victimes de ce drame. Ils rappellent que ce décès illustre malheureusement de façon dramatique la faillite et les manquements de l’organisation territoriale des services publics de santé imposée par les Agences Régionales de l’Hospitalisation hier et par les Agences Régionales de Santé aujourd’hui, au mépris des attentes des populations et de leur sécurité.
De 1369 en 1975 le nombre de maternités est passé à 535 en 2010, sans parler des fermetures plus récentes : Saint Avold (Meuse), Hayanges (Moselle), Saint-Antoine- Paris, Saint-Vincent de Paul -Paris, Léonard de Vinci juin (Ile-de-France), Marie-Galante, Vire et La Seyne sur Mer, ni de celles qui sont menacées à Apt, Mont Saint-Aignan, Le Blanc… En détruisant les 2/3 de nos maternités, les pouvoirs publics sont responsables de la destruction du maillage sanitaire, solidaire et égalitaire, de notre territoire.
Sur de nombreux territoires ces fermetures, qu’au côté des élus et des professionnels de santé nous dénonçons depuis de nombreuses années en qualité d’usagers, transgressent le temps de 45 minutes pourtant retenu comme délai de référence en termes de sécurité pour la femme et l’enfant. Ces situations ne peuvent être ignorées des autorités sanitaires. Elles sont répertoriées dans plusieurs études de la DREES dans lesquelles les temps d’accès sont sous-estimés du fait du mode de calcul retenu.
Quand des décisions de fermeture de services publics de santé, prises hors de tout contrôle démocratique, ont des conséquences d’une telle gravité les membres de la Coordination constatent qu’il y a rupture du pacte républicain et demandent au Président de la République, au Premier Ministre et à la Ministre de la Santé, au nom de l’égalité d’accès aux soins pour tous :
1° de décréter en urgence un arrêt immédiat des fermetures de services (maternités, cardiologie, réanimation, urgences, CIVG, Centres de santé, etc.) et d’établissements publics de santé.
2° d’abolir dans les plus brefs délais les pouvoirs exorbitants des directeurs généraux d’Agence Régionale de Santé résultant, dans ce domaine, de la loi « Hôpital, Santé, Patients et Territoires » et de rétablir des procédures démocratiques pour la définition de l’organisation territoriale de santé.
3° de rouvrir des services où c’est nécessaire en fonction des territoires et des populations concerné(e)s pour que s’applique partout la loi républicaine en raison des spécificités géographiques, du maintien de la continuité des soins et de la sécurité des personnes (par exemple pour les maternités à Marie Galante, La Seyne sur Mer, Lannemezan ou Valréas…).
4° en finir avec des fusions nocives et réductrices et casser celles qui le souhaitent comme à Pertuis ou à Creil-Senlis. Mettre en place des réseaux et des complémentarités démocratiquement choisi(e)s.
Lure le 23/10/2012 - Pour la CN son président Michel ANTONY
Lettre au Président de la République
Objet : Désert sanitaire
Monsieur le Président,
En fin de la semaine passée une mère a accouché dans une voiture sur l’autoroute A20 et a perdu son enfant sans le secours de personnels de santé. Sans préjuger des résultats de l’enquête que vous avez aussitôt diligentée, la Coordination Nationale des Comités de Défense des hôpitaux et Maternités rappelle que, de 1369 en 1975 le nombre de maternités est passé à 535 en 2010, sans parler des fermetures plus récentes : Saint Avold (Meuse), Hayanges (Moselle), Saint-Antoine, Saint-Vincent de Paul et Léonard de Vinci (Ile-de-France), Marie-Galante (Guadeloupe), Vire (Calvados) et La Seyne-sur-Mer (Var) ni de celles qui sont menacées à Apt (Vaucluse), Mont Saint-Aignan (Seine maritime), Le Blanc (Indre)…
Sur de nombreux territoires ces fermetures, qu’au côté des élus et des professionnels de santé nous dénonçons depuis de nombreuses années en qualité d’usagers, transgressent le temps de 45 minutes pourtant retenu comme délai de référence en termes de sécurité pour la femme et l’enfant. Ces situations ne peuvent être ignorées des autorités sanitaires. Elles sont répertoriées dans plusieurs études de la DREES dans lesquelles les temps d’accès sont sous-estimés du fait du mode de calcul retenu.
Dans le lot, le domicile des parents affectés par ce drame est à plus d’une heure des 4 maternités de niveau 2 aptes à traiter un pareil cas. Cette situation résulte de la fermeture en 2009 de celle de Figeac, après celles de Gourdon et de Saint-Céré. Ces suppressions pourraient ne pas être étrangères, parmi toutes les causes possibles, au drame qui vient de se produire.
Dans ces conditions, la Coordination s’étonne que l’enquête que vous avez ordonnée puisse être confiée à l’Agence Régionale de Santé de Midi-Pyrénées, autorité qui a imposé cette fermeture (les ARS prolongeant les ARH) et qui pourrait, en l’espèce se retrouver juge et partie.
Quand des décisions de fermeture de services publics de santé, prises hors de tout contrôle démocratique, ont des conséquences d’une telle gravité les membres de la Coordination constatent qu’il y a rupture du pacte républicain et vous demande, au nom de l’égalité d’accès aux soins pour tous :
1° de décréter en urgence un arrêt immédiat des fermetures de services (maternités, urgences, chirurgie, cardiologie, CIVG, Centres de santé, etc.) et d’établissements publics de santé.
2° d’abolir dans les plus brefs délais les pouvoirs exorbitants des directeurs généraux d’Agence Régionale de Santé résultant, dans ce domaine, de la loi « Hôpital, Santé, Patients et Territoires » et de rétablir des procédures démocratiques pour la définition de l’organisation territoriale de santé.
3° de rouvrir des services partout où c’est nécessaire en fonction des territoires et des populations concernées pour que s’applique partout la loi républicaine en raison des spécificités géographiques, du maintien de la continuité des soins et la sécurité des personnes (par exemple à Marie Galante, La Seyne sur Mer, Lannemezan ou Valréas…).
4° en finir avec des fusions nocives et réductrices et casser celles qui le souhaitent comme à Pertuis ou Creil-Senlis. Mettre en remplacement des réseaux et des complémentarités démocratiquement choisi(e)s
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération distinguée.
Lure le 23/10/2012 - Michel ANTONY président de la Coordination Nationale
Communiqué contre tous les déserts sanitaires de la Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité
mardi 23 octobre 2012
Quand l’éloignement des maternités est peut être une des causes du décès d’un nouveau-né sur la route, les membres de la CN-Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité ont d’abord une pensée émue et attristée pour les parents victimes de ce drame. Ils rappellent que ce décès illustre malheureusement de façon dramatique la faillite et les manquements de l’organisation territoriale des services publics de santé imposée par les Agences Régionales de l’Hospitalisation hier et par les Agences Régionales de Santé aujourd’hui, au mépris des attentes des populations et de leur sécurité.
Quand l’éloignement des maternités est peut être une des causes du décès d’un nouveau-né sur la route, les membres de la CN-Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité ont d’abord une pensée émue et attristé e pour les parents victimes de ce drame. Ils rappellent que ce décès illustre malheureusement de façon dramatique la faillite et les manquements de l’organisation territoriale des services publics de santé imposée par les Agences Régionales de l’Hospitalisation hier et par les Agences Régionales de Santé aujourd’hui, au mépris des attentes des populations et de leur sécurité.
De 1369 en 1975 le nombre de maternités est passé à 535 en 2010, sans parler des fermetures plus récentes : Saint Avold (Meuse), Hayanges (Moselle), Saint-Antoine- Paris, Saint-Vincent de Paul -Paris, Léonard de Vinci juin (Ile-de-France), Marie-Galante, Vire et La Seyne sur Mer, ni de celles qui sont menacées à Apt, Mont Saint-Aignan, Le Blanc… En détruisant les 2/3 de nos maternités, les pouvoirs publics sont responsables de la destruction du maillage sanitaire, solidaire et égalitaire, de notre territoire.
Sur de nombreux territoires ces fermetures, qu’au côté des élus et des professionnels de santé nous dénonçons depuis de nombreuses années en qualité d’usagers, transgressent le temps de 45 minutes pourtant retenu comme délai de référence en termes de sécurité pour la femme et l’enfant. Ces situations ne peuvent être ignorées des autorités sanitaires. Elles sont répertoriées dans plusieurs études de la DREES dans lesquelles les temps d’accès sont sous-estimés du fait du mode de calcul retenu.
Quand des décisions de fermeture de services publics de santé, prises hors de tout contrôle démocratique, ont des conséquences d’une telle gravité les membres de la Coordination constatent qu’il y a rupture du pacte républicain et demandent au Président de la République, au Premier Ministre et à la Ministre de la Santé, au nom de l’égalité d’accès aux soins pour tous :
1° de décréter en urgence un arrêt immédiat des fermetures de services (maternités, cardiologie, réanimation, urgences, CIVG, Centres de santé, etc.) et d’établissements publics de santé.
2° d’abolir dans les plus brefs délais les pouvoirs exorbitants des directeurs généraux d’Agence Régionale de Santé résultant, dans ce domaine, de la loi « Hôpital, Santé, Patients et Territoires » et de rétablir des procédures démocratiques pour la définition de l’organisation territoriale de santé.
3° de rouvrir des services où c’est nécessaire en fonction des territoires et des populations concerné(e)s pour que s’applique partout la loi républicaine en raison des spécificités géographiques, du maintien de la continuité des soins et de la sécurité des personnes (par exemple pour les maternités à Marie Galante, La Seyne sur Mer, Lannemezan ou Valréas…).
4° en finir avec des fusions nocives et réductrices et casser celles qui le souhaitent comme à Pertuis ou à Creil-Senlis. Mettre en place des réseaux et des complémentarités démocratiquement choisi(e)s.
Lure le 23/10/2012 - Pour la CN son président Michel ANTONY
Lettre au Président de la République
Objet : Désert sanitaire
Monsieur le Président,
En fin de la semaine passée une mère a accouché dans une voiture sur l’autoroute A20 et a perdu son enfant sans le secours de personnels de santé. Sans préjuger des résultats de l’enquête que vous avez aussitôt diligentée, la Coordination Nationale des Comités de Défense des hôpitaux et Maternités rappelle que, de 1369 en 1975 le nombre de maternités est passé à 535 en 2010, sans parler des fermetures plus récentes : Saint Avold (Meuse), Hayanges (Moselle), Saint-Antoine, Saint-Vincent de Paul et Léonard de Vinci (Ile-de-France), Marie-Galante (Guadeloupe), Vire (Calvados) et La Seyne-sur-Mer (Var) ni de celles qui sont menacées à Apt (Vaucluse), Mont Saint-Aignan (Seine maritime), Le Blanc (Indre)…
Sur de nombreux territoires ces fermetures, qu’au côté des élus et des professionnels de santé nous dénonçons depuis de nombreuses années en qualité d’usagers, transgressent le temps de 45 minutes pourtant retenu comme délai de référence en termes de sécurité pour la femme et l’enfant. Ces situations ne peuvent être ignorées des autorités sanitaires. Elles sont répertoriées dans plusieurs études de la DREES dans lesquelles les temps d’accès sont sous-estimés du fait du mode de calcul retenu.
Dans le lot, le domicile des parents affectés par ce drame est à plus d’une heure des 4 maternités de niveau 2 aptes à traiter un pareil cas. Cette situation résulte de la fermeture en 2009 de celle de Figeac, après celles de Gourdon et de Saint-Céré. Ces suppressions pourraient ne pas être étrangères, parmi toutes les causes possibles, au drame qui vient de se produire.
Dans ces conditions, la Coordination s’étonne que l’enquête que vous avez ordonnée puisse être confiée à l’Agence Régionale de Santé de Midi-Pyrénées, autorité qui a imposé cette fermeture (les ARS prolongeant les ARH) et qui pourrait, en l’espèce se retrouver juge et partie.
Quand des décisions de fermeture de services publics de santé, prises hors de tout contrôle démocratique, ont des conséquences d’une telle gravité les membres de la Coordination constatent qu’il y a rupture du pacte républicain et vous demande, au nom de l’égalité d’accès aux soins pour tous :
1° de décréter en urgence un arrêt immédiat des fermetures de services (maternités, urgences, chirurgie, cardiologie, CIVG, Centres de santé, etc.) et d’établissements publics de santé.
2° d’abolir dans les plus brefs délais les pouvoirs exorbitants des directeurs généraux d’Agence Régionale de Santé résultant, dans ce domaine, de la loi « Hôpital, Santé, Patients et Territoires » et de rétablir des procédures démocratiques pour la définition de l’organisation territoriale de santé.
3° de rouvrir des services partout où c’est nécessaire en fonction des territoires et des populations concernées pour que s’applique partout la loi républicaine en raison des spécificités géographiques, du maintien de la continuité des soins et la sécurité des personnes (par exemple à Marie Galante, La Seyne sur Mer, Lannemezan ou Valréas…).
4° en finir avec des fusions nocives et réductrices et casser celles qui le souhaitent comme à Pertuis ou Creil-Senlis. Mettre en remplacement des réseaux et des complémentarités démocratiquement choisi(e)s
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération distinguée.
Lure le 23/10/2012 - Michel ANTONY président de la Coordination Nationale
dimanche 21 octobre 2012
Une femme d'Arabie débat à la télévision
http://youtu.be/r7OYRknGgEchttp://www.dailymotion.com/video/xa2g80_nonie-darwish-decrit-le-climat-d-op_news
Nonie Darwish décrit le climat d'oppression sous la Charia
Nonie Darwish décrit le climat d'oppression sous... par Nzwamba Wafa Sultan critique le statut de la femme dans l'Islam
Wafa Sultan critique le statut de la femme dans... par Nzwamba http://www.dailymotion.com/video/xa25tg_wafa-sultan-critique-le-statut-de-l_news La psychiatre Wafa Sultan explique : L’islam ne traite pas la femme avec honneur. L’islam dit de voir la prise d’esclave comme un acte de compassion, la masturbation sur une enfant comme un mariage.. L’islam a détruit ainsi la structure mentale des nations arabophones.
Nonie Darwish décrit le climat d'oppression sous... par Nzwamba Wafa Sultan critique le statut de la femme dans l'Islam
Wafa Sultan critique le statut de la femme dans... par Nzwamba http://www.dailymotion.com/video/xa25tg_wafa-sultan-critique-le-statut-de-l_news La psychiatre Wafa Sultan explique : L’islam ne traite pas la femme avec honneur. L’islam dit de voir la prise d’esclave comme un acte de compassion, la masturbation sur une enfant comme un mariage.. L’islam a détruit ainsi la structure mentale des nations arabophones.
lundi 15 octobre 2012
Pétition : oui au mariage homo, non à la gestation pour autrui
Pétition : Oui au mariage homo, non à la gestation pour autrui.
Le mariage homosexuel est liée le plus souvent aujourd’hui par ceux qui le
défendent, au droit à l’adoption, à la « non-discrimination »
envers les adoptants homosexuels, et au droit à la procréation médicalement
assistée ou à la gestion pour autrui. Nous approuvons la reconnaissance du
mariage pour les homosexuel-les mais nous dénonçons, au nom des droits des
femmes et des enfants, la légalisation des mères porteuses et le refus de
privilégier l’adoption par des couples hétérosexuels.
Nous sommes favorables à la reconnaissance par le droit de l’amour
homosexuel, de la valeur que la société doit accorder aux liens entre personnes
homosexuelles. Les règles du mariage doivent pour cela être étendues aux couples
de même sexe, que l’on appelle cette institution "mariage" ou d’un autre nom.
Mais en tant que féministes, nous disons que cette extension ne doit pas se
faire au détriment des droits des femmes et des enfants.
Sous l’influence de la théorie « queer » du genre poussée à son
extrême, qui nie le corps et la situation matérielle et physique des femmes,
les aspects physiques des rapports sociaux entre les sexes, certains lient de
manière abusive la question du mariage gay et une « identité de droit à
l’enfant » quelle que soit la sexualité.
Or il n’y a pas d’égalité entre sexualité homosexuelle et hétérosexuelle de
ce point de vue, l’une est féconde et l’autre non, et nous refusons que pour
tenter artificiellement de rétablir une « égalité », l’on institue
des lois qui bafouent les droits et méprisent les besoins des femmes et des
enfants.
Les mères porteuses sont des femmes exploitées par des hommes ou femmes
plus argentés, et en aucun cas cette exploitation ne doit être légalisée.
Les enfants sans famille ont le droit d’être protégés du mieux possible, et
que leurs besoins soient privilégiés avant toute autre considération. Or, si
les homosexuels font d’aussi bons parents pour les enfants qu’ils ont eu
biologiquement, il n’existe aucune assurance qu’un enfant privé de l’éducation
par un couple homme-femme ne soit pas de ce fait fragilisé. Le principe de
précaution doit être appliqué, les enfants ne doivent pas être l’objet
d’expérimentations sociales pour satisfaire aux caprices d’adultes.
Nous appelons au refus d’une campagne démagogique, qui utilise le thème de
la liberté pour, en réalité, instituer une législation qui peut porter
gravement atteinte à des droits fondamentaux des femmes et des enfants.
·
Nous demandons que la question du mariage homosexuel, soit clairement
distinguée de celle de l’adoption par les couples homosexuels et du recours aux
mères porteuses.
·
Les couples homosexuels doivent pouvoir se placer sous les règles du
mariage relatives aux relations du couple lui-même.
·
L’adoption par des couples homosexuels doivent être possible mais avec des
modalités telles qu’aucune confusion ne soit possible pour l’enfant quant à la
vraie nature de sa filiation.
·
L’adoption par des couples hétérosexuels doit rester privilégiée, car ce
privilège n’est pas une discrimination, mais l’application du principe de
précaution.
·
Les contrats de « gestation pour autrui » doivent être interdits.
Nous rappelons enfin que nous demandons que le
nom du mari ne soit pas dans les faits imposé aux femmes mariées, et que
l’usage du nom du conjoint soit un droit pour les deux époux.
Signatures : indiquer : date, nom, prénom,
(facultativement) profession ou situation, ville
Envoyer
les signature à : le.cerf@laposte.net
L'art et la manière ...
Les FEMEN passent à l'attaque pour dénoncer les... par 20Minutes http://www.20minutes.fr/societe/1022638-video-femen-attaquent-ministere-justice-contre-viols-collectifs Vidéo: Les Femen attaquent le ministère de la Justice contre les viols collectifs
samedi 13 octobre 2012
Pétition : : Oui au mariage homo, non à la gestation pour autrui.
Pétition : Oui au mariage homo, non à la gestation pour autrui.
Le mariage homosexuel est liée le plus souvent aujourd’hui par ceux qui le
défendent, au droit à l’adoption, à la « non-discrimination »
envers les adoptants homosexuels, et au droit à la procréation médicalement
assistée ou à la gestion pour autrui. Nous approuvons la reconnaissance du
mariage pour les homosexuel-les mais nous dénonçons, au nom des droits des
femmes et des enfants, la légalisation des mères porteuses et le refus de
privilégier l’adoption par des couples hétérosexuels.
Nous sommes favorables à la reconnaissance par le droit de l’amour
homosexuel, de la valeur que la société doit accorder aux liens entre personnes
homosexuelles. Les règles du mariage doivent pour cela être étendues aux couples
de même sexe, que l’on appelle cette institution "mariage" ou d’un autre nom.
Mais en tant que féministes, nous disons que cette extension ne doit pas se
faire au détriment des droits des femmes et des enfants.
Sous l’influence de la théorie « queer » du genre poussée à son
extrême, qui nie le corps et la situation matérielle et physique des femmes,
les aspects physiques des rapports sociaux entre les sexes, certains lient de
manière abusive la question du mariage gay et une « identité de droit à
l’enfant » quelle que soit la sexualité.
Or il n’y a pas d’égalité entre sexualité homosexuelle et hétérosexuelle de
ce point de vue, l’une est féconde et l’autre non, et nous refusons que pour
tenter artificiellement de rétablir une « égalité », l’on institue
des lois qui bafouent les droits et méprisent les besoins des femmes et des
enfants.
Les mères porteuses sont des femmes exploitées par des hommes ou femmes
plus argentés, et en aucun cas cette exploitation ne doit être légalisée.
Les enfants sans famille ont le droit d’être protégés du mieux possible, et
que leurs besoins soient privilégiés avant toute autre considération. Or, si
les homosexuels font d’aussi bons parents pour les enfants qu’ils ont eu
biologiquement, il n’existe aucune assurance qu’un enfant privé de l’éducation
par un couple homme-femme ne soit pas de ce fait fragilisé. Le principe de
précaution doit être appliqué, les enfants ne doivent pas être l’objet
d’expérimentations sociales pour satisfaire aux caprices d’adultes.
Nous appelons au refus d’une campagne démagogique, qui utilise le thème de
la liberté pour, en réalité, instituer une législation qui peut porter
gravement atteinte à des droits fondamentaux des femmes et des enfants.
·
Nous demandons que la question du mariage homosexuel, soit clairement
distinguée de celle de l’adoption par les couples homosexuels et du recours aux
mères porteuses.
·
Les couples homosexuels doivent pouvoir se placer sous les règles du
mariage relatives aux relations du couple lui-même.
·
L’adoption par des couples homosexuels doivent être possible mais avec des
modalités telles qu’aucune confusion ne soit possible pour l’enfant quant à la
vraie nature de sa filiation.
·
L’adoption par des couples hétérosexuels doit rester privilégiée, car ce
privilège n’est pas une discrimination, mais l’application du principe de
précaution.
·
Les contrats de « gestation pour autrui » doivent être interdits.
Nous rappelons enfin que nous demandons que le
nom du mari ne soit pas dans les faits imposé aux femmes mariées, et que
l’usage du nom du conjoint soit un droit pour les deux époux.
Signatures : indiquer : date, nom, prénom,
(facultativement) profession ou situation, ville
Envoyer
les signature à : le.cerf@laposte.net
mardi 9 octobre 2012
Inscription à :
Articles (Atom)