Il est assez ironique de constater que des groupes féministes ou anti-inceste reprennent étourdiment le slogan palestinien "pas de justice pas de paix", quand on sait ce que le comportement du leader palestinien Arafat ...
28 octobre 2012 by Anne Lauwaert -
Yasser Arafat apparaît sous un jour différent si on considère qu’il est
« mort du SIDA , avait des relations sexuelles avec ses gardes du corps et
un penchant pour de jeunes garçons ». Sans compter le fait qu’il aurait pu
être « éliminé » par les services secrets russes…
Quant à tous ceux qui doutent de l’intérêt que les Arabes lui ont porté, ne
fût-ce que pour le condamner, il faut leur faire lire Éphèbes et courtisanes (éditions
Rivages, 1997), un opuscule qu’al-Jahiz (env. 776-869), prosateur de génie, a
rédigé à Bassora il y a… onze siècles ! Jahiz fait dialoguer deux
protagonistes, un amateur d’éphèbes – homosexuel sans complexe – et un
hétérosexuel plutôt versé dans la dégustation féminine. Comme s’il répondait à
un sondage d’aujourd’hui, Jahiz avait résumé la situation de l’homosexuel : «
Ne blâmez pas quelqu’un pour son penchant pédérastique/Car la pédérastie est
une disposition naturelle chez lui/Il se peut qu’il regrette tous les
délits/Mais des mignons il mourra inconsolé. »
Le célèbre Abu Nuwas (762-813) était, lui, connu pour trois goûts qui scandalisent aujourd’hui l’Islam : boire du vin, alors que la religion l’interdit ; apprécier la beauté des éphèbes et des mignons sans craindre de passer pour un pédéraste ; et chanter l’athéisme, ce qui est aussi une abomination. Était-ce la marque d’une complexité orientale ou de la complexité humaine . »Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Monde arabe : la culture de l’éphèbe | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
Le célèbre Abu Nuwas (762-813) était, lui, connu pour trois goûts qui scandalisent aujourd’hui l’Islam : boire du vin, alors que la religion l’interdit ; apprécier la beauté des éphèbes et des mignons sans craindre de passer pour un pédéraste ; et chanter l’athéisme, ce qui est aussi une abomination. Était-ce la marque d’une complexité orientale ou de la complexité humaine . »Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Monde arabe : la culture de l’éphèbe | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
Omar Khayyâm lui aussi chante les plaisirs et le vin…
Mais ne vous méprenez pas. Yasser Arafat était un meurtrier, génocidaire,
diabolique, déviant sexuel, qui est décédé à l’âge de 75 ans. Il était méprisé
par les Arabes et les Israéliens confondus. Le Syrien Hafez El-Assad a tenté de
l’emprisonner. Le roi Hussein de Jordanie le détestait. Et l’Egyptien Hosni
Moubarak le considérait comme un chien
Les penchants sexuels d’Arafat ont été un secret de polichinelle depuis des
années. L’ancien chef de l’intelligence roumaine, le lieutenant général Ion
Mihai Pacepa, décrit dans son livre « Horizons rouges » qu’un
de ses agents a déclaré : « Le ‘feddaï‘ [nom de code d'Arafat]
est dans sa chambre et fait l’amour à son garde du corps. Celui que j’ai
rencontré est son dernier amour. Il joue de nouveau au tigre. L’agent de
surveillance de ses microphones cachés dans la chambre à coucher a presque eu
les tympans explosés. Arafat rugissait comme un tigre, et son amant jappait
comme une hyène. »
Dans une analyse approfondie de la biographie de Yasser Arafat en 1976,
l’écrivain Thomas Kiernan donnait une chronique de la vie du jeune Arafat au
Caire. Quand Arafat a découvert que sa petite amie, Jinan al-Oraby, fréquentait
les filles des Harkabis, une famille juive égyptienne, il s’est arrangé pour
assassiner leur père. Lorsque Jinan a exprimé sa tristesse pour ses amis, elle
raconte : « Yasser est entré dans une rage… il s’est mis à me battre, à
déchirer mes vêtements… Il s’est jeté sur moi… Il a essayé de me pénétrer, mais
il ne pouvait pas le faire. Ceci l’a rendu encore plus fou. »
Kiernan parle également les relations d’Arafat avec un garçon, Ahmed, dont
les parents se sont retrouvés du côté israélien de la frontière après la guerre
de 1948. Un associé de Yasser Arafat explique : « Yasser essaye d’obtenir
que le garçon dénonce publiquement ses parents… Yasser aimait vraiment ce
garçon. Il était délicat, sensible, comme une fleur. Il était dans le cercle
intime de Yasser. Ils étaient cinq garçons à vivre dans le même lieu et vous
pouvez imaginer ce que je veux dire. »
Kiernan a continué : Arafat a tenu un « type d’audience formelle pour
le garçon » en raison de son refus de dénoncer ses parents. « Arafat
sanglotait, sanglotait comme [une jeune amoureuse]. Il a procédé à la
castration du garçon. Le lendemain, le garçon était mort. »
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